Béatrice : Engagement
L'action se situe en suite directe du 3e chapitre de Béatrice : les débuts
Chapitre 1 : Premiere rencontre, la demeure
Finalement, ce n'est pas une partie de plaisir de conduire completement nue ! La pédale d'accélération ça va encore mais les deux
autres, elles sont dures ! D'un autre coté, cela m'empeche de penser constamment à ma peur de croiser quelqu'un et qu'il me voit
ainsi, surtout une patrouille de gendarmerie, cela ne m'amuserait pas du tout ! Autre problème, c'est mon siège ! Si mon anus remplit
bien son office, pour mon vagin, c'est impossible et le sperme de mon maitre est en train de tacher mon fauteuil ! Ce sera toujours
la honte pour moi si je n'arrive pas à avoir cette tache, je me souviendrai tout le temps de notre première fois sur ce parking de
campagne...
Tout à coup la voiture de mon maitre s'arrete avec les warnings, je suis obligée de piler et me fais un peu mal aux pieds, je peste
intérieurement. Je le vois descendre et approcher de moi d'un pas décidé. Ma portière s'ouvre me rappelant qu'il fait bien plus frais
dehors qu'à l'abris dans l'habitacle.
- Descends !
Je m'empresse de sortir nue debout sur le bitume.
- Au pied !
Je frémis inquiète mais je préfère ne pas le provoquer en cet endroit et me mets vite à 4 pattes. Je le vois sourire satisfait.
Il se penche à l'intérieur de ma voiture et coupe le contact puis referme la porte avant de verrouiller mon véhicule sur la voie de
droite au milieu de nulle part.
- Tu vas filer dans les herbes à l'abri et m'attendre compris la chienne ? je serai de retour d'ici 10 mn pas plus ! Tu as compris
ma petite ? toi aller dans l'herbe ! toi te cacher et attendre moi !
Je rougis de honte de l'entendre me parler comme cela, comme si j'avais du mal à comprendre ce qu'il me dit. Tout à coup, je pousse
un cri de douleur, surprise par une grosse claque sur mes fesses.
- Allez file fifille ! file !
Je m'empresse de descendre à 4 pattes dans le fossé pour gagner le champs proche de ma voiture et m'allonger dans les blés.
Je me choisis un coin d'où je peux surveiller la route. Je vois mon maitre remonter dans sa voiture et celle-ci s'éloigne au loin,
rapidement, me laissant seule dans ce champs avec ma voiture fermée sous mon nez. Jamais je ne me serais attendue à cela !
Qu'est ce qui peut bien lui avoir pris ! Le temps passe très lentement quand on attend ainsi sans bouger. Et si encore il n'y
avait que cela ! Comme je ne bouge pas et ne fais aucun bruit, la nature au lieu d'etre calme est devenue très agitée, un vrai
concert, mais pas du tout symphonique ! Je sursaute sans cesse au moindre bruit approchant, moi qui ai horreur des guepes, plusieurs
ne sont pas passé loin de moi, et nue je me sens tres vulnérable ! Et quand les bruits sont plus forts, je panique complètement !
Je me dis qu'il doit y avoir des mulots dans ce champs et c'est bien la dernière chose que j'ai envie de voir venir à moi !
De ce fait, je commence à bouger et à faire moi-même un peu de bruit en me disant que cela éloignera surement les betes craintives.
Comme elles ne peuvent pas savoir que je suis plus craintive qu'elles, ce sera toujours cela de gagné !
Un petit bruit me ravit alors, jamais je n'avais imaginé jusqu'ici que je serai heureuse un jour d'entendre une sonnette de vélo.
Mon maitre est de retour ! je file vite au pied sur la route, il ouvre ma voiture et plie son vélo pour le mettre dans le coffre.
Je me demande pourquoi il fait tout cela ! Il approche de moi et me mélange les cheveux sur le crane en me caressant la tete.
- Je t'ai adoptée en tant qu'esclave ma petite. Maintenant, il va falloir que j'adopte la chienne !
Je le regarde les yeux ronds inquiete, me demandant ce qu'il veut dire.
- Tu vois cette route ?
Comment ne pas la voir, je suis nue à 4 pattes sur le bitume de cette route, il faudrait que je sois aveugle ! Nos chiens doivent
nous trouver vraiment idiots !
- Tu vas avancer sur elle à 4 pattes en bonne chienne, je ne te dis pas la distance mais cela fait 10 mn pour un aller retour
voiture plus vélo.
Je vois un petit sourire sur son visage quand il me dit cela et qu'il me voit en train d'essayer de calculer combien de temps
il va me falloir pour y aller à 4 pattes.
- Le premier portail que tu verras sur ta gauche est celui de ma résidence, il te suffira alors d'attirer mon attention en bonne
chienne errante pour essayer de te faire adopter par moi !
Je l'ecoute effarée tout en continuant d'essayer d'estimer mon temps de trajet. Je me dis que je n'ai pas fini de sauter dans le
fossé si cette route est aussi passante que celle du parking de notre rencontre. Mais tout à coup la lumière se fait dans mon
petit cerveau ! Quelle idiote je suis ! C'est si simple pour ce trajet ! Je finis par me dire que je suis vraiment bete !
Pourquoi calculer un temps de trajet à 4 pattes à partir de ses indications, je n'ai pas de montre pour faire mon trajet! Je
ne saurai jamais combien de temps se sera écoulé !
Mon maitre voit l'étincelle dans mes yeux et rit !
- Bien ma petite, tu as compris qu'il ne fallait pas te torturer l'esprit inutilement ! la seule chose importante je te l'ai dite :
le premier portail à gauche !
Et riant encore, je le vois s'installer au volant de ma voiture et disparaitre à l'horizon. J'ai du mal à y croire ! Je suis nue,
abandonnée sur une route de campagne, et devant cheminer à 4 pattes !
Je me dis autant ne pas trainer, pas envie que l'on me voit ainsi et je file sur la route sans oser quitter ma position, de
peur que mon maitre ne me guette de loin. A peine ai je fait une cinquantaine de mètres que je me dis que le bitume et moi, nous
n'allons pas etre de bons amis ! Cela m'irrite les mains, les genoux et mes orteils ! je file vite dans l'herbe sur le coté,
au diable les insectes ! il me faut vaincre mon arachnophobie !
Comble du bonheur, après quelques minutes de trajet, il me faut escalader le talus de l'autre coté du fossé à toute vitesse et
j'ai tout juste le temps de m'aplatir au sol dans les hautes herbes pour éviter qu'une voiture venant dans mon sens ne me voit.
Je suis toute contente de me relever sans souffrance, en voyant une magnifique ortie me narguer à quelques centimètres de mon nez!
Je ne suis vraiment pas une fille de la campagne ! Encore moins une chienne de ferme on dirait !
Je reprends mon périple, digne des chevaliers de la table ronde ! Finalement eux, ils n'avaient aucun mérite, à cheval, avec
des gens pour les servir ! J'aurai bien aimé les voir nus dans la campagne à 4 pattes ! ils auraient moins faits les fiers !
N'est pas le plus courageux celui que l'on croit finalement !
J'arrive enfin en vue d'un portail, j'ai completement perdu la notion du temps ! Juste eu le temps de croiser 2 autres voitures !
Heureusement, j'ai réussi à chaque fois à me cacher bien que ce fut juste, ayant pris plus de précautions avant de m'allonger
quelque part que la premiere fois. Mais bon manque de chance, le portail n'est pas du bon coté de la route. Je m'aplatis le plus
possible pour le passer sans etre vue des habitants des lieux et me dis que je ne vais jamais arriver à bon port !
Quelle est longue cette route ! Mais peu de temps après, c'est le bonheur, je vois une belle résidence dans les hauteurs sur
la gauche, cerclée d'un mur assez haut mais ne pouvant la cacher avec le dénivelé du terrain et enfin un portail à gauche !
Enfin, la fin de cette route de cauchemar ! Je me précipite au portail composé deux belles grilles et je vois en haut sur le coté de la
maison mon maitre, en terrasse, en train de boire un verre bien installé dans un transat !
Je regarde la sonnette et me dis que si je l'utilise, il saura que je me suis levée et donc ce sera mauvais pour moi !
Pas d'autre solution, je me mets à aboyer le plus fort possible, alternant les WOUA WOUA et les WOUF WOUF !
Je m'epoumone mais cela reste sans effet malgré mes efforts!
Je peste et commence à perdre espoir, j'espère qu'il n'y avait pas un temps limite pour moi venir et que je n'ai pas échoué!
Après avoir réfléchi un peu, je me décide à longer le mur pour en faire le tour, sur le petit chemin qui le longe. Je me dis
que cela me rapprochera peut etre de sa terrasse et que je pourrais peut etre enfin attirer son attention.
Cette fois, ce sont les morceaux de pierre calcaire qui m'horripilent et avec lesquelles je ne suis plus du tout amie !
Rien n'est fait pour les petites chiennes comme moi dans ce pays ! J'espère que les animaux sont bien protégées au niveau de leurs
pattes ! Je finis par arriver au premier coin du mur et je vois avec bonheur que le chemin continue le long du mur, une fois le
virage pris. J'avance encore un peu lorsque j'entends du bruit dans les taillis. Je me fige effrayée, on dirait qu'il s'agit d'une
grosse bete. Je prie pour qu'elle passe à l'écart et ne vienne pas dans ma direction. Tous mes sens sont en éveil, la tension
s'est emparée totalement de moi et je hurle quand tout à coup je me retrouve nez à nez ou plutôt nez à museau avec un gros danois!
J'ai toujours été impressionnée par ce genre de chien mais vu de la position à 4 pattes, je peux vous dire que c'est infiniment
plus effrayant ! Je panique et fais un mouvement en arrière prête à me relever pour m'éloigner de lui.
- Pas bouger ! Sage ma fifille !
Je vois alors mon maitre qui approche devant moi, derrière le danois, venant de gagner le chemin par une petite porte situé dans
son mur de cloture.
- Il n'est pas méchant, c'est le chien de mes voisins, si tu te releves, tu rentres chez toi compris !
- Oui maitre mais il me fait peur !
- Allons allons ! C'est un de tes congénères, il va falloir t'habituer à eux tu sais ! Tu es un peu sauvage on dirait !
Le danois passe derrière moi et me renifle les fesses. Je suis bien ouverte de par ma position et je n'ose pas bouger par peur
qu'il me morde. Je sens alors horrifiée sa langue qui passe sur mes levres et m'ouvre le sexe.
- Pas bouger ! Il est en train de t'évaluer pour savoir si tu es montable par lui !
Je l'écoute horrifiée, je me dis qu'il ne veut tout de même pas dire qu'il me prend pour une femelle.
Je crie à nouveau alors qu'il me prend les hanches entre ses pattes avant, me coincant bien et montant sur mon dos.
Je n'ai pas le temps de réagir que déjà je sens un bout chaud se positionner entre mes levres et alors que j'allais supplier
mon maitre de l'éloigner de moi, je sens sa queue glisser en moi, s'allongeant et grossissant dans mon vagin, m'emplissant en
trois petites poussées. Je suis morte de honte, humiliée, prise par le danois sur ce chemin devant mon maitre.
Il semble lui tres heureux de me voir ainsi prise, quel salaud ! Jamais nous n'avions parlé de cela !
Je peste contre moi pendant qu'il me prend, jamais je n'aurai du etre si faible, j'aurai du me relever ! Et encore, est ce que
cela aurait servi à quelque chose, je suis nue et pieds nus surtout, je n'aurais jamais réussi à aller plus vite que ce chien et
cela n'aurait fait que retarder les choses et les rendre peut-etre encore plus douloureuse !
Je le sens qui gonfle en moi, une espèce d'énorme boule qui se forme dans mon vagin, à son entrée. Le danois continue de me pilonner
et je m'entends gémir malgré moi. Je rougis humiliée, je suis en train d'éprouver du plaisir avec cette bete ! Qu'est ce qui
m'arrive ! Il pousse encore plus en moi et me pilonne ! Ses jets de sperme en moi me surprennent et déclenche mon plaisir !
Je jouis sous lui alors que son sperme trop abondant sort de mon vagin pour couler au sol ! Je suis sans voix ! Sous le choc de
ce qui m'arrive et de ce plaisir intense qu'un simple chien m'a donné !
Il tire d'un coup pour sortir de moi et s'avance vers mon maitre. Je fixe alors ébahie sa queue, longue et pointue, et cette boule
énorme à sa base. Je comprends pourquoi il m'a fait tant d'effet ! Je rougis encore plus en voyant ce sexe qui vient de me faire
jouir. Mon maitre, amusé, lui caresse la tete.
- Bon toutou ça oui! Tu as bien aimé mon beau ? La chienne t'a donné du plaisir Valère ? Allez file, rentre chez toi !
Il lui tapote la croupe indiquant une direction et le chien disparait, retournant chez lui. Il s'approche de moi et s'accroupit.
- Je ne savais pas que tu etais en chaleur fifille ! Tu te tapes toujours le premier chien que tu vois ?
- Ho non non jamais maitre, jamais je n'ai fait cela ! je vous le jure !
Il me caresse la tete et le dos comme à une simple chienne.
- Je te crois fifille ! Sinon tu me l'aurais dit ! Je suis fier de toi ! Je t'adopte comme chienne aussi ! Allez suis-moi!
J'avance soumise à 4 pattes derrière lui, soulagée d'etre enfin adoptée. Il referme la porte derrière moi et je me retrouve dans
une pelouse, un peu sauvage mais qu'est ce que c'est agréable après la route et le chemin. Mes genoux et mains apprécient ce
changement. Je remonte derrière mon maitre vers la terrasse, regardant régulièrement sur ma droite avec angoisse. La montée me
rend de plus en plus visible de la route. Cela ne semble pas du tout etre un problème pour mon maitre, mais comme il me l'a déjà
dit, c'est moi qui suis nue pas lui! On oblique sur l'arrière de la maison et je ne me fais pas prier pour aller dans cette direction.
Fin de ma peur d'etre vue par un passant et puis je suis curieuse et me demande ce qu'il y a de ce coté.
Ma curiosité étant la plus forte, je passe meme devant mon maitre. Je découvre alors avec plaisir une piscine avec une petite chute
d'eau à une de ses extrémités. Très jolie ! et une vaste terrasse carrelée couleur jaune, c'est vraiment tres beau, avec quelques
arbres pour apporter un peu d'ombre. Dommage qu'il fasse si frais, pas possible de se baigner en cette saison !
Je pousse un cri surprise dans ma contemplation, je suis glacée et dégoulinante d'eau froide ! Je tremble et me secoue pour essayer
de me débarrasser de cette eau. Mon maitre a ouvert un robinet et est en train de m'arroser avec son jet !
- Il faut bien que je te nettoie après ta saillie ma petite ! Allez tends ta croupe et vite !
J'hésite un peu, c'est si froid mais je sens alors une terrible douleur embraser mes reins ! Un coup de martinet brutal vient de
heurter mes fesses et ma chatte ! Je me tourne rapidement croupe offerte au jet terrorisée et je crie de nouveau ! Un second coup
de martinet vient de tomber sur ma croupe ouverte me martyrisant mes levres ! Je pleure sous le choc et sens beaucoup le froid du
jet qui me fouille et me nettoie. Je hurle quand il enfonce le bout du tuyau dans mon vagin et l'y laisse une bonne minute pour
nettoyer mon vagin. Je suis tremblante quand enfin le jet cesse.
- Roule toi là dessus pour te sécher ma petite !
Mon maitre me montre une vieille serviette qu'il a jeté à terre mais je me garde bien de faire la difficile et me frotte vite
dessus, me mettant en boule dans la serviette pour me rechauffer.
Mon maitre s'accroupit alors et m'attrape la tete. Sa bouche se pose sur la mienne et sa langue se met à fouiller ma cavité buccale,
je lie ma langue à la sienne et me redresse me love contre lui pour un long baiser.
Il me caresse le dos, la croupe, taquine mes tetons tout en continuant notre baiser et je fonds littéralement pour lui.
- Je crois que je vais te garder très très longtemps ma petite !
- J'en serai très heureuse maitre !
Et en plus je le pense vraiment ! Nous ne sommes que samedi midi mais j'ai déjà vécu avec lui bien plus de moments forts que dans
le reste de ma vie, courte, mais tout de même !
- Allez ma belle, il est temps de manger ! Je veux avoir mon esclave pour me servir et déjeuner avec elle !
Je me redresse aidée par lui, toute contente, la faim commençant à me tenailler l'estomac et heureuse de cette invitation à
déjeuner de mon maitre.
A suivre...
Béatrice : engagement
Chapitre 2 : Premiere rencontre, début chez mon maitre
A peine entrée dans la cuisine, via la baie vitrée donnant sur la piscine, mon maitre m'attrape par la nuque et me penche en avant
sur la table. J'entends un cliquetis de chaine et sens qu'il me passe 2 bracelets en métal aux chevilles puis il me fait mettre mes
bras tendus devant moi et 2 autres bracelets se referment sur mes poignets. Je sens les poids des chaines et une fois redressée,
je vois que j'ai une chaine d'environ un metre aux chevilles et environ 30 cm aux poignets.
- Voilà tu es en tenue d'esclave ma petite ! Maintenant mets la table, tout ce qu'il te faut se trouve dans ces armoires !
Il me désigne la cuisine aménagée et je me dis qu'il va falloir que j'ouvre un peu tout pour trouver ce dont j'ai besoin.
- Le repas mijote dans le four. Tu dresses la table ici pour nous deux, toi à cette extrémité de la table.
Il me désigne sechement le bout de la table coté four, se réservant le coté donnant sur la piscine.
Je commence à ouvrir tiroirs et placards à la recherche des assiettes et couverts, et alors que je suis penchée, je suis surprise
par un vilain coup de martinet sur mes fesses et ma vulve. je suis aussitot au bord des larmes.
- Allez plus vite esclave paresseuse, j'ai faim !
Je m'empresse de dresser la table non sans me prendre une demi-douzaine de coups de martinet sur les fesses pendant le temps
nécessaire à cette tache. Je suis en larmes une fois terminé.
- Monsieur est servi !
- Merci esclave !
Je le vois s'installer à table et m'affaire ensuite pour sortir le plat du four et le servir, lui donnant les meilleurs morceaux
de son coq au vin, les plus beaux champignons et les plus belles pommes de terre.
- Puis je me servir maitre ?
- oui tu as la permission esclave!
Je me sers les morceaux les plus osseux, les champignons coupés et les pommes de terre défaites puis avec mon assiette, je
me dirrige vers mon bout de table non sans recevoir une bonne claque sur le cul au passage. Cela provoque un rire franc et
heureux chez mon maitre. Je tire ma chaise et vois alors 2 godes de belle taille : 20 cm de long et 5 de diametre environ fixés
sur ma chaise. Mon maitre sourit en voyant ma tete. Je préfère ne rien dire pour ne pas risquer de fessées et me place au dessus
des godes, les guides à l'entrée de mes orifices et je m'assieds dessus en grimacant, celui qui entre dans mon cul me faisant
bien mal en m'ouvrant. Une fois le gland passé dans mon anus, je m'assieds plus facilement et m'enfonce bien sur les 2 godes.
Je pousse un petit soupir soulagée d'y etre parvenu. Mon maitre alors agite son verre sous mon nez !
- J'ai soif esclave, tu as oublié de me servir !
Je m'empresse de vite me relever, me désenfilant des godes pour vite servir un verre de vin à mon maitre.
- Pardonnez moi maitre, je suis confuse !
- Penche toi en avant !
- oui tout de suite maitre !
Je me penche m'arrondissant sous ses yeux, fesses ouvertes et les coups de martinet se succèdent alors, zebrant mon cul de rouge.
Une bonne quinzaine de coups qui me laissent pantelantes de douleur et de surprise.
- Tu es pardonnée esclave ! allez file manger !
Je retourne à ma place et engage un nouveau concours de grimace en m'enfoncant sur les godes.
Je commence enfin mon repas et je dois avouer que mon maitre est un fin cuisinier ! Je me régale tout en surveillant qu'il n'a
aucun besoin de quelque chose. Mes chaines me genent mais je n'ai pas le choix, il faut que je m'y habitue.
- Alors esclave, tu commences à jouer lundi ?
- Oui maitre, contre une joueuse d'ici, Sabine S., je ne la connais pas et vous ?
- Je l'ai déjà vu jouer, elle est solide mais en variant les coups, tu l'useras et gagneras facilement !
- J'ai donc mes chances maitre ?
- Surement, il faut que je vois un peu ton niveau ! Je vais t'entraine dans 2 heures, pour te laisser un peu digérer ton repas
auparavant. Mon but est de te faire progresser ma petite !
- Merci maitre !
Nous terminons en échangeant quelques banalités sur le tennis, le temps probable.
Je me redresse alors, me desengageant des godes. je débarrasse la table et approche du lave-vaisselle.
- Non esclave ! tu vas faire la vaisselle ! pas de lave-vaisselle pour si peu et surtout quand j'ai une esclave pour nettoyer!
- Bien maitre, je comprends maitre.
Je termine de desservir la table pour tout mettre dans un des 2 bacs et le reste sur le plan de travail puis nettoie la table.
Je prépare ensuite mes bacs, prévois une serviette pour nettoyer et commence la vaisselle. A peine ai-je entamé le lavage de la
première assiette, je sens la queue de mon maitre se nicher dans la raie de mes fesses.
- Ca m'excite la vaisselle esclave ! continue ton travail sans te préoccuper de moi !
Je reprends le lavage et je le sens alors pousser et entrer dans mon vagin. Il remue fortement en moi se plantant bien au fond,
claquant contre mon col et me soulevant un peu du sol ! Il mesure bien 30 cm de plus que moi ! Ca me rend dingue ! Le plaisir
fuse aussitot dans mon ventre et j'halete tout en continuant la vaisselle. Il se met à accélerer puis ralentir, allant jusqu'à
sortir de moi avant de replonger d'un coup à fond ! Je gémis de plaisir et cela renforce le sien visiblement ! Il me prend
de plus en plus vite et fort et je finis par jouir avec lui alors que je termine enfin de tout mettre dans le bac de rincage.
Je laisse passer quelques minutes ainsi avec lui qui palpite en moi, le temps de recouvrer mes esprits. Je reçois alors une bonne
fessée.
- Allez faignasse ! essuie la vaisselle ! et plus vite que cela !
J'obeis et essuie alors qu'il reste bien planté en moi ! Mais qu'est ce que j'aime sa queue ! C'est si bon de le sentir ainsi dur
, long, gros et chaud en moi ! Je ne suis pas amoureuse de lui mais cela risque bien d'arriver tres vite ! Il est si formidable !
Il sort de moi et me laisse ranger la vaisselle, tout en mordillant ma nuque tout le long du rangement, ainsi que mes épaules.
Cela affole de nouveau mes sens. Je me dis que je suis vraiment une sacré salope pour aimer tout ce qu'il me fait !
- Suis moi esclave, c'est l'heure de la sieste avant ton entrainement !
Il me guide jusque sa chambre, un grand lit à baldaquin au milieu d'une piece bien eclairée, des armoires à glaces de chaque coté
du lit. J'apprécie ce décor. J'avance toujours accompagnée par mon cliquetis de chaine jusqu'au lit suivant mon maitre.
- Déshabille moi esclave !
Je ne me fais pas prier et lui retire sa chemise passant mes mains sur son torse, appréciant sa chaleur puis lui retire ses
chaussures et chaussettes, surprise de ne pas etre agressé par de vilaines odeurs ! Un autre bon point pour lui, il fait attention
à son hygiene puis je lui retire son pantalon et son boxer, massant au passage doucement ses couilles et sa si belle queue.
- A plat ventre esclave au milieu du lit !
Je m'empresse d'obeir alors que je l'entends se retirer de la piece. Quelques bruits d'eau m'indiquent qu'il est en train de se
raffraichir. Je suis si épuisée que je m'endors en l'attendant ainsi. Je suis réveillée tout à coup par son intrusion dans mon cul.
La douleur fuse dans mes reins alors qu'il me rentre son gland d'un coup dans l'anus puis se plante en moi en poussant de tout son
poids et s'allonge sur moi, me couvrant de son corps. Il me caresse la tete et embrasse ma nuque.
- là ! là ! du calme ! je ne vais pas te faire mal ! nous allons dormir ainsi !
Je n'ose rien dire mais me dis que je vais finir étouffée! mais sa queue toute chaude en moi me plait et j'aime me sentir sous lui
ainsi et en plus calinée. Je m'abandonne de nouveau au sommeil et suppose que lui aussi après moi.
Je suis réveillée par le reveil qui bipe, en meme temps que lui. J'entends sa main s'abattre sur le dessus de l'appareil pour lui
clouer le bec et je sens sa queue amollie dans mon cul qui commence à reprendre vigueur.
- Ne bouge pas esclave !
Je n'ose pas broncher et il me mordille la nuque. Plus il mord et plus sa queue gonfle et durcit ! Apres une ou deux minutes, je
le sens remuer, m'enculant pour la deuxieme fois de la journée mais cette fois dans le confort d'un lit ! Mon bassin répond à ses
mouvements et je gémis et halete de plaisir pendant qu'il accelere en moi me pourfandant de son dard. Que j'aime cela !
Il s'active me prenant bien de toute sa longueur.
- Je vous aime maitre !
Je me dis mais qu'est ce qui me prend ! Pourquoi ai je dit cela ? J'espère qu'il ne va pas me virer pour cet aveu ! s'il ne cherche
qu'une relation maitre esclave je suis foutue !
- J'aime ton cul esclave et... je t'aime aussi esclave !
Je suis soulagée et ma bouche cherche la sienne, nos langues se melent et s'emmelent alors que son vit m'ouvre de plus en plus
fortement le cul. Mes mains se crispent dans le drap tellement les sensations sont fortes. Après quelques minutes de ce traitement,
je jouis sans que nos langues se soient quittées puis je le sens se vider dans mon cul.
On caline ainsi lui restant en moi quelques minutes tout en nous embrassant puis il sort enfin comme à regret et à regret pour moi
c'est certain. Je me niche alors dans ses bras, lui sur le dos, moi sur le coté à sa gauche. Son bras m'entoure et sa main vient sur
mes fesses me caressant pendant notre petit calin.
- Ce n'est pas ce que je voulais esclave !
- Je vous ai déçu maitre ?
Je panique en l'entendant me dire cela.
- Ho non pas du tout esclave !
Je pousse un soupir soulagée.
- Juste que je ne voulais pas tomber amoureux de toi ! J'ai peur de ne pas pouvoir etre aussi exigeant avec toi que tu le souhaites
si je t'aime ! Et je ne voudrais pas que tu me quittes parce que je suis trop faible !
- Pas de risque maitre ! je suis folle de vous ! et si vous vous ramolissez, je vous le dirai pour rectifier le cap !
- Cela me va bien esclave ! Jamais je n'ai rencontré quelqu'un comme toi !
Je pousse un cri n'ayant pas le temps de profiter de ce moment ! Une énorme claque vient de tomber en travers de mon cul.
- Allez à genoux sur le lit et penche toi en avant croupe en l'air bien offerte !
Je m'empresse d'obeir pendant qu'il se leve. Je grimace en sentant un objet se poser sur mon anus encore douloureux suite au
passage de mon maitre. Je regarde dans les glaces de coté et voit qu'il essaie de m'enfoncer un plug de belle taille dans mon cul.
- Pousse comme si tu faisais caca ! allez esclave !
Une nouvelle claque tombe sur mon cul. Je lui obeis et pousse soumise, le plug glisse en moi, froid en métal. La partie la plus
large passe enfin le cap de mon anus et le plug se retrouve bien coincé en moi. Je vois surprise que sous sa base, il y a un
receptacle contenant de l'electronique. Bizarre, en métal il ne peux pas vibrer ! Je le vois passer un boxer, short et polo, ainsi
que des chaussettes et de belles nike noires.
- Allez debout, on va t'entrainer pour lundi championne !
Je me redresse et le suis à petits pas à cause de ma chaine. Je le vois prendre un grand sac de sport et il me le balance sur le dos.
Je grimace sous le poids et le porte docile derrière lui qui me guide jusqu'au dehors. Nous contournons la piscine et avançons
vers une rangée d'arbres au fond de son jardin. Je me demande où il peut bien m'emmener pour m'entrainer et je vois alors surprise
une petite allée couverte d'un peu de sable blanc entre les arbres. Nous cheminons dans ce petit bois environ 2 minutes et arrivons
alors dans un espace découvert. Je comprends alors en voyant les 2 terrains de tennis, qu'il est vraiment sérieux quand il parle
de m'entrainer. Il y a un terrain en herbe et un en terre battue. Il me guide vers ce dernier et je pose le sac sur un banc.
Il dévérouille alors mes poignets et range la chaine puis déverouille la chaine de mes chevilles, l'envoyant rejoindre la premiere.
- Je t'aurai bien entrainée avec les chaines mais les risques de blessure sont trop importants ! Par contre tu vas t'entrainer nue,
pieds nus et pluggée. Lundi, quand tu n'auras plus ces contraintes, tu sentiras comme des ailes te pousser dans le dos pendant
ton match.
Il me donne une raquette, de pietre qualité, surement pour que je sois aussi mieux lundi et file se placer en face de moi.
- Première lecçon ma belle ! La lecture du service adverse !
J'aime quand il me dit ma belle...Et là j'ai tout juste le temps de m'écarter pour ne pas etre percutée par la balle qu'il vient de
me lancer. Le bruit du grillage percuté de plein fouet parvient alors à mes oreilles et je m'écroule de douleur à terre !
Mon cul est en feu ! Le plug vient de liberer une charge électrique en moi ! Je pleure et me redresse difficilement.
- C'est pour mieux te motiver ma belle ! Je vois une commande à distance dans sa main ! Chaque balle ratée te vaudra ce traitement
ma belle !
Je deteste quand il m'appelle ma belle finalement ! La suivante arrive toute aussi puissante et j'arrive à placer cette fois ma
raquette en opposition, la balle retourne dans le terrain à belle vitesse et j'en suis toute contente !
- Super ! Continue !
Le service suivant me fait vibrer la main, le poignet et mon avant bras tellement elle est forte ! mais encore une fois, j'ai réussi
à la retourner. Le petit malin enchaine ensuite avec un sercice croisé lifté pour me sortir completement du terrain, mais j'ai vu
la manoeuvre et j'ai tout juste le temps de parvenir à la balle et à la retourner ! Saloperie de plug, ca ralentit terriblement mes
courses cet engin ! Il enchaine alors les services tantot à plat, slicés, liftés, coupés et meme un à la chang sur lequel je faillis
jouer à lendl ! Je m'en sors pas trop mal, ne subissant que 2 décharges electriques supplémentaires ! Je suis hyper concentrée,
essayant de décrypter ses gestes pour anticiper son type de service, et je finis par le lire comme un livre ouvert !
Je suis heureuse, n'ayant jamais réussi cela auparavant et comprends que c'est la motivation supplémentaire qu'il m'a donnée avec
la menace electrique qui fait que je m'en sors aussi bien !
- Bien ma belle ! Tu t'en sors tres bien ! Seconde leçon aujourd'hui, que nous travaillerons pendant quelques mois c'est certain,
apprendre à ne pas reculer ! Nous allons faire des échanges et tu devras toujours avancer pour frapper la balle sinon...
Je le vois agiter la télécommande dans sa main et frissonne de peur. Un premier echange simple débute. J'ai du mal à le tenir,
pieds nus j'arrive toujours un peu en retard et ne peux appuyer mes coups comme je veux et le plug me freine aussi beaucoup.
Je gagne le premier échange mais finis par sortir une balle sur le second. La décharge me fait m'ecrouler de nouveau à terre.
- Mais je n'ai pas reculé maitre !
- Non mais ce n'est pas une raison pour arroser le terrain n'importe où ma belle ! Ta balle est faute !
Je reprends mon soufle et les échanges et avance de plus en plus, refusant de reculer par peur de la decharge, preferant finir au
filet en prenant des risques que de perdre un echange sur un bete pas en arriere. Les decharges qui se produisaient un echange sur
deux finissent par s'espacer de plus en plus. Je vois mon maitre de plus en plus fier de moi. Nous finissons de jouer apres environ
3 heures ainsi et je n'en reviens pas d'avoir autant progresser.
- Tu as du potentiel ma petite ! Allez à genoux devant le banc et penche toi dessus !
j'obeis me demandant pourquoi je mériterais une fessée alors qu'il est content de moi ! Je sens alors le contact d'un objet dur
enveloppé de latex entre mes levres. Je regarde sous moi et vois qu'il est en train de m'enfoncer le manche de sa raquette doté
d'un préservatif. Je sens le manche glisser en moi et buter contre mon col. J'ai honte penchée sur ce banc et prise par la raquette.
Il la remue rapidement et vigoureusement en moi me faisant gémir de plaisir. Il continue ainsi variant la vitesse des mouvements,
vrillant le manche. je finis par crier de plaisir et je jouis. J'ai honte de moi ! je jouis avec mon maitre inconnu la premiere fois
qu'il me prend, je jouis avec un danois, je jouis avec un manche de raquette ! je suis vraiment la dernière des dernières.
- a genoux esclave !
Je m'empresse d'obeir, la raquette entre mes cuisses toujours logée en moi. Mon maitre sort sa queue sous mon nez, dure, tendue.
Le spectacle de la raquette l'a beaucoup excité on dirait ! Il remue dans ma bouche me tenant par les oreilles, coulissant jusqu'à
forcer ma gorge, et rapidement il jouit dans ma gorge, me gavant de son sperme !
- Nettoie esclave !
J'obeis et lappe sa queue, le nettoie à petits coups de langue. Je l'aime tant ! Une fois bien nettoyé, il se rhabille et me redresse,
me remets mes chaines.
- En route pour la douche esclave ! J'ai besoin d'etre récuré avec toute cette terre ! et toi encore plus !
Il rit et je regarde mon corps effectivement souillée de partout avec la terre. Je ris à mon tour et emporte le sac direction la
maison. Je l'ai vraiment bien choisi ! S'il fallait recommencer, je ferai la meme chose !
A suivre...
Béatrice : les débuts
Chapitre 6 : Premiere rencontre, soirée romantique
J'avance à petit rythme en direction de la maison, la fatigue physique est tombé soudainement sur moi. Toutes les émotions,
l'entrainement et nos jeux sexuels ont finalement de l'effet sur moi. Nous arrivons enfin à la piscine quand je vois mon maitre
se saisir d'un tuyau d'arrosage. Je me dis qu'il ne va pas recommencer tout de meme, pas après nos activités, je vais etre percluse
de crampes. Voyant mon visage décomposé, il se met à rire.
- Mais non ! n'aie pas peur ! Je veux faire de toi une championne pas te détruire ! Simplement, je n'aime pas le desordre.
Je le vois alors avec soulagement enrouler le tuyau pour le ranger près d'un muret.
- Allez suis-moi esclave !
Je n'ose pas désobeir, je n'en ai plus vraiment la force en fait! Malgré mon angoisse, je m'empresse de prendre la meme direction
que lui, me forçant à ne pas penser aux risques alors que nous contournons la maison pour gagner la porte d'entrée. Je vois
parfaitement la route et me dis que tout occupant d'une voiture qui arriverait aurait la meme vue sur moi. J'accélère alors mon pas
mais mon maitre visiblement amusé par la situation n'en fait pas de meme.
Il ouvre la porte et me prend le sac des mains.
- Ne bouge pas de là !
Il referme la porte derrière lui et disparait dans la maison. Je panique un peu, les minutes s'égrenant lentement alors que je suis
plantée devant la porte toujours aussi visible de tout passant. Etre seule en plus une nouvelle fois n'arrange pas mon niveau de
nervosité. Je deteste etre seule dans un nouvel environnement.
Je pousse un petit soupir soulagée quand la porte s'ouvre de nouveau, dévoilant mon maitre une bassine d'eau à la main.
- Allez grimpe la dedans ! Nettoie tes pieds et jambes ! m'ordonne t'il après l'avoir déposée au bas du perron.
Il me tend un gant de toilette et du liquide de douche.
- Je ne tiens pas à ce que tu salisses toute la maison, j'ai d'autres projets pour toi ce soir que du nettoyage !
Il ne m'en dit pas plus et cela aiguise ma curiosité. Je me frotte bien et récure mes pieds, l'eau est tiede, agréable. Je me seche
ensuite dans une serviette qu'il me tend puis je vide la bassine et l'emporte avec la serviette, suivant enfin mon maitre dans
la maison à l'abris des regards.
Nous nous retrouvons dans la salle de bain, jolie piece, d'une belle taille avec une grande baignoire d'angle, une douche à l'opposée
construite en dur et visiblement bien vaste, un superbe meuble avec 2 vasques, un miroir immense et bien pratique dans lequel je
vois qu'une douche est plus que nécessaire pour moi !
- Pause !
Je regarde surprise mon maitre !
- Oui nous faisons une pause dans nos jeux maitre-esclave-chienne ! Il n'y a plus qu'un homme et une femme comme je te l'ai promis
Il m'ouvre galamment la porte de la douche pour me laisser passer. Je me redresse toute contente de ses attentions et me glisse
à l'intérieur. Tous les murs sont carrelés, dans des tons bruns pales, avec une fresque champetre du plus bel effet. Je le sens se
glisser derrière moi et refermer la porte vitrée. Je pousse un petit cri quand un jet me suprend, me frappant la figure.
L'eau coule de plusieurs buses du plafond et des jets massant sortent des murs.
Mon maitre rit.
- C'est vrai que tu es petite, normalement ce jet est pour le torse !
- Au moins, je suis débarbouillée ! dis en riant, heureuse sous les jets massants et la douce chaleur de l'eau.
Il me prend alors doucement contre lui et se penche, ses levres chaudes et douces se posent sur les miennes et nos langues se melent
langoureusement, jouant à se chercher l'une l'autre, entre 2 petites vrilles liées.
Je me love contre lui heureuse de cette douceur après ce que j'ai vécu. Ses mains me massent le dos, me détendant, me relaxant.
Je me sens bien et lui aussi visiblement, notre calin se prolongeant ainsi longuement.
Il finit par me shampouiner la tete et faire mousser le gel douche sur tout mon corps en s'amusant à me transformer en
une espèce de femme des neiges. je ris et lui rends la pareille avant que nous ne nous offrions bien aux jets pour nous rincer.
- Désolé, je ne suis pas un surhomme, j'espère que tu n'es pas déçue que nous n'ayons rien fait sous la douche ! me dit il
- Non non ! Après ce que nous avons fait, je n'aurai pas pu sans avoir de crampes maitre !
Il me pose alors un doigt sur la bouche.
- Pas maitre ! appelle moi par un petit nom, nous sommes en pause...
- Chou alors ! On ne se connait pas encore assez pour que je vous appelle autrement mais là vous etes tellement chou avec moi
que cela me semble approprié !
- Tres bien ma chérie ! par contre cela me plait que tu me vouvoies donc tu peux continuer.
Je vois un petit sourire qui se dessine, il me plait et me fait vraiment craquer. Je suis heureuse d'avoir osé venir. Les jets
se stoppent alors et ll ouvre la porte d'un cran pour attraper un peignoir en eponge rose. Je le laisse m'enrouler dedans avec
plaisir, appréciant la texture sur ma peau, bourgeoise moi ?! Ben oui ! je crois que je ne suis pas faite pour etre esclave
à temps complet ! Enfin non j'en suis sure ! Heureusement qu'il ne me l'impose pas finalement !
Affublé aussi d'un peignoir, il m'entraine dans une petite piece attenante à sa chambre. Je me vois alors en plusieurs exemplaires.
Il y a des miroirs partout. Et derrière, des placards, un vrai paradis du rangement. Il fait glisser une porte et je distingue alors
plusieurs tenues féminines sous housses, m'empechant de les apprécier. Il en sort une et l'accroche à un portant.
Je retire rapidement la housse, toujours aussi curieuse et découvre une superbe robe noire de couturier, admire la coupe et le tissus.
Je laisse glisser le peignoir au sol et me glisse dans la robe qui me va comme un gant. Elle s'ajuste parfaitement, et je sens
qu'elle est neuve, qu'il l'a achetée spécialement pour moi. J'apprécie son coup d'oeil, elle est vraiment pile à ma taille.
Il ouvre une autre porte me dévoilant un univers de dessous en dentelle pour me donner une petite culotte noire en satin
toute simple mais plaisante à porter.Nouvelle porte au fond de la pièce et surprise, celle-ci s'ouvre sur un petit boudoir de
reve, avec une superbe petite commode avec miroir stylisé et une multitude de produits de beauté et parfums.
Je m'installe sur le petit siège devant alors qu'il m'abandonne dans ce petit paradis.
Une heure plus tard, je suis prete, sportive mais coquette malgré tout et lorsque je sors enfin de ce boudoir enchanté, je tombe
sur mon maitre, élégant dans son costume sombre et sa chemise bleue, il n'a pas mis de cravate mais tant mieux, je préfère sans!
Il me tend le bras et nous sortons ainsi de la maison, direction une confortable voiture.
Pendant le trajet, nous discutons loisirs, vacances, reves jusqu'à ce que je me rende compte que nous sommes arrivés.
Quand je parle de mes passions, j'oublie mon environnement !
Nous nous retrouvons installés à une table discrete mais bien placée dans la salle principale du restaurant.
Après avoir commandé pour nous deux, mon maitre me prend tendrement la main dans la sienne et me charme de sa voix chaude.
Nous finissons par choquer doucement nos flutes de champagne, servies avec classe par le serveur jusqu'à ce qu'il manque presque
de se prendre les pieds dans le tapis en repartant, son regard etant resté accroché à mon décolleté.
Je rougis en voyant que ma robe s'est un peu trop ouverte et que mes mamelons sont visibles si l'on regarde de coté.
Je me réajuste vite en rougissant alors que mon maitre rit de ma confusion. Il s'incline vers moi.
- Ta beauté en éblouit plus d'un ! Il me sourit et me fait un clin d'oeil. Je suis sur que tu as envie d'aller te rafraichir
avant le repas.
- Me rafraichir ? non pas du tout non ?
Il me fixe droit dans les yeux.
- Tu as envie de te rafraichir un peu.
Je n'ose plus le contredire et acquiesce, prenant mon sac tout en me dirigeant vers les commodités.
Je m'éloigne et vois mon maitre discuter un peu avec le serveur qui dessert nos flutes. J'entre dans un petit salon qui s'ouvre
sur les toilettes hommes et femmes et j'ouvre une cabine hésitante. Tout est tres propre et sent bon, mais je n'ai pas d'envie,
je demeure hésitante sur la conduite à tenir. Tout à coup, c'est le noir complet et étouffant. Du tissus entre dans ma bouche et
se colle à mes narines quand je cherche de l'air. Mes mains sont tirées dans mon dos et menottées alors que je me demande encore
ce qui m'arrive et je suis propulsée en avant. La porte claque et le cliquetis de la serrure que l'on verrouille retentit.
Je m'apprete à hurler quand on me murmure à l'oreille.
- Chut salope ou je te creve.
Je sens la pointe d'un couteau sur ma gorge avec horreur. Je n'ai pas reconnu la voix et je prends peur. Je n'ai pas l'impression
qu'il s'agisse d'un jeu de mon maitre. Je suis terrifiée et cherche toujours à bien reprendre mon souffle alors qu'une main de
mon agresseur me trousse la robe et m'arrache ma si jolie culotte en satin. je m'apprete de nouveau à hurler mais la pointe du
couteau insiste à nouveau sur ma gorge et m'en dissuade. Je me laisse guider vers le sol et me penche en avant sur la cuvette
n'osant pas resister.
Je pleure mouillant le tissus de l'espèce de cagoule quand le sexe dur de mon agresseur force mon cul d'un coup
sans aucun ménagement. Le rythme est rapide, violent, j'ai l'anus en feu, des douleurs dans les reins mais je n'ose pas hurler
et me mords les levres pour retenir les hurlements naissant dans ma gorge.
Je reconnais alors les gémissements de plaisir de mon maitre et me détends. Je souffre toujours mais cela me rassure que ce soit
lui, de lui je suis prete à tout accepter. Je le sens qui se vide enfin en moi, à jets puissants.
Je cligne des yeux éblouie par le retour brutal de la lumière quand la cagoule est enfin arrachée de ma tete.
Je sens la langue de mon maitre m'ouvrir la bouche et je lui rends son baiser alors qu'il reste bien planté en moi.
- As tu eu peur ma chérie ?
- Ho oui, je ne vous avais pas reconnu, j'ai vraiment cru que je me faisais violer.
- Est ce que cela t'a plu ?
- Oui beaucoup mais juste parce que finalement c'est vous, sinon je crois que je n'arriverais pas à m'en remettre!
- Mmmm tu es parfaite ma petite !
- Merci maitre
- Non non c'est une soirée romantique !
- Merci mon chou.
Je n'ose pas lui dire qu'un viol c'est assez peu romantique mais après tout c'est distrayant au cours d'une soirée romantique.
Cela change de tous mes rendez-vous galants précédents !
Il sort alors de mon anus et me fait mettre à genoux toujours menottée et s'enfonce dans ma bouche.
- Nettoie moi bien ma petite, je ne vais pas me promener bite à l'air jusqu'à un lavabo tout de meme ! et il rit.
Humour de mec, impossible à éviter ! Je m'applique à bien le nettoyer et regarde avec fierté son gland tout brillant quand il le
retire de ma bouche et range sa queue dans son pantalon. Il me fait me relever et rajuste le bas de ma robe. Je vois avec
satisfaction qu'elle n'est pas chiffonnée. Vive les grandes marques ! Il me fait pencher alors en avant me surprenant completement.
Je pousse un cri de douleur alors qu'il me plugge par surprise. Mon anus encore ouvert accueuille l'intrus relativement facilement.
Je soupire soulagée qu'il m'ait enculée au lieu de baisée, sinon mon cul serait completement ravagé.
Il me redresse à nouveau et retire mes menottes, les rangeant dans une poche interieure de sa veste. Il va falloir que je me
mefie un peu de ce qu'il peut emporter à nos rendez-vous romantiques ! Il m'écarte un peu le haut de ma robe et je me retrouve
aussi décolletée que lorsque ce pauvre serveur a failli finir à plat ventre au milieu de la salle.
Il me tend le bras et nous regagnons notre table ainsi. Je suis un peu raide dans ma démarche, le plug me torturant. J'ai l'impression
d'etre comme nue dans cette salle, mes tetons menacant de sortir à tout moment et j'ai la sensation absurde que tout le monde sait
que je suis pluggée.
Je pousse un soupir de soulagement quand je peux enfin regagner mon siege.
Le reste du repas se passe tout à fait classiquement. Je suis juste tres génée d'etre pluggée dans ce beau restaurant et les
serveurs semblent se relayer pour pouvoir tous regarder dans mon décolletée à tour de role.
Nous finissons par reprendre le chemin du retour. Mon maitre laisse un bon pourboire et je ne sais pas si c'est celui-ci ou
le souvenir que je leur laisse qui ravit le plus les serveurs, ceux-ci s'empressant autour de nous, aux petits soins,
jusque notre sortie.
La nuit est tombée depuis un moment et la rue est calme. Mon maitre lache ma main et pose sa paume sur mes fesses, les massant,
me procurant de curieuses sensations alors que je marche et que le plugg m'ouvre malgré moi.
Il soulève alors le bas de ma robe à mi-chemin de notre trajet jusque la voiture me faisant aussitot m'arreter sur place,
choquée de me retrouver cul nu en pleine ville. Je regarde paniquée autour de nous s'il n'y a pas de témoin et constate soulagée
que tout semble calme. Je le sens écarter mes fesses des mains mettant la base du plug bien en vue.
- Mais tu es pluggée petite pute ! Tu n'as pas honte de m'accompagner à un rendez-vous romantique sans culotte et pluggée ? Tu es
la pire salope que je connaisse tu sais !
Je l'écoute outrée et bafouille que c'est lui qui en est responsable !
- Tais-toi petite dévergondée ! Tu oserais dire que c'est de ma faute ! Tu sais à qui tu parles ?
- Exusez moi maitre !
- Je ne suis pas ton maitre mais ca meriterait bien que je le sois en cet instant !
- Excusez moi mon chou. Je dis cela piteusement
- Quelle honte ! j'avais dit que c'etait un rendez-vous romantique !
Je gémis de douleur alors qu'il me tire brutalement les cheveux, sa main se refermant sur ma tete sans précaution.
Je me retrouve penchée en avant sur un capot de voiture cul encore plus en l'air et toujours aussi nu.
Je me reprends de justesse, essayant de me controler alors que les claques tombent sur mes fesses, les rougissant en quelques
secondes. Je pleure de nouveau, meurtrie et humiliée par cette fessée cul nu dans la rue.
- C'est mérité non ?
- Oui oui mon chou !
- Tu as vraiment toute une éducation à refaire ma petite ! Tu oses venir à un diner romantique sans culotte et avec un objet
planté dans le cul ! tu devrais avoir honte !
Le pire, c'est que j'ai vraiment honte et trouve que la fessée est méritée.
- Je vous supplie de bien vouloir me pardonner mon chéri, je ne sais pas ce qui m'a prise...
- Moi je le sais !
Je sens alors qu'il bouge le plug dans mon cul, s'amusant à le sortir en partie avant de me le renfoncer dans le cul.
Encore son humour de mec ! Mais il continue et je ne proteste meme pas. Je commence à gémir, le laissant m'enculer avec ce plug
penchée sur le capot. Une voiture passe et je fixe alors le capot horrifiée pour ne pas regarder dans sa direction alors qu'il
continue de jouer avec le plug sans faiblir. Heureusement, les occupants ne semblent pas nous remarquer. Je sens un doigt venir
presser mon clito et je pousse un petit cri, jouissant tres fortement alors qu'une seconde voiture passe en klaxonnant pour
saluer mon maitre et l'encourager surement dans son activité. Je jouis humiliée et honteuse.
Je sens le plug sortir de mon cul et je le vois, effarée, surgir dans ma vision, sous mon nez.
- Nettoie ton objet de plaisir chienne en chaleur !
Je m'empresse de le laper et le nettoyer tout en grimacant, le gout n'etant pas tres plaisant, me faisant oublier le délicieux
gateau à la fraise que j'ai pris en dessert. Une fois bien propre, je le vois glisser le plug dans mon sac.
A retenir, me méfier du contenu de ses poches et vérifier aussi celui de mon propre sac !
Il me redresse et sa main tapote mes fesses.
- Tu es formidable ma chérie ! Je suis fier de toi ! et il m'embrasse à nouveau tout en massant mes fesses.
Une fois nos langues retournées dans nos bouches respectives, j'essaie de rajuster ma robe.
- Non, fais moi plaisir ma chérie, tu as un si beau cul ! Laisse le à l'air et puis ecarte le haut de ta robe que je puisse
aussi profiter de la vue de ta merveilleuse poitrine !
J'obeis en frissonnant un peu, la nuit est fraiche tout de meme. Et j'ai plus chaud au niveau du cul que de mes seins !
Nous reprenons le chemin ainsi jusque la voiture et à moitié nue, je m'installe enfin sur le siege avant.
Vive les soirées romantiques ! La voiture démarre et nous prenons le chemin du retour.
A suivre...
French_Master
N'hesitez pas à m'écrire : goodtimefr@live.fr
Béatrice : Engagement
Chapitre 4 : Préparation au match - footing
Le retour du restaurant fut beaucoup plus calme heureusement. Après avoir été dépluggée, nous primes une douche ensemble où je dus
nettoyer mon maitre comme il se devait et pendant laquelle, ses mains et surtout doigts s'égarèrent sur et en moi.
Cependant il eut la gentillesse de ne pas m'épuiser plus que je ne l'étais par un nouvel orgasme. La journée avait été suffisamment
fatigante pour nous deux semblait il...
- L'avant-veille et la veille d'un match, je ne tourmenterai pas tes nuits. Je veux que tu deviennes avant tout une championne. Pas juste
une esclave ! J'ai envie d'avoir une célébrité à mes pieds, pas une mademoiselle tout le monde !
- Merci pour le mademoiselle tout le monde !
- C'est ce que tu es pour le moment ! Mais je vais vite changer tout cela ! Allez au lit future championne ! Demain, tu ne seras pas
du tout esclave de la journée ! Juste une championne en préparation !
- On va s'ennuyer alors par rapport à aujourd'hui maitre !
- Tu verras bien, on en reparlera demain soir ma petite !
Nous nous embrassames longuement puis je me nichais dans ses bras, lovée sur son coté gauche, ma tete dans le pli de son épaule pour
nous endormir rapidement ainsi.
Mon premier réveil dans ce nouveau domicile fut un peu brutal ! J'étais à terre, surprise, meurtrie par ma chute du lit pendant
mon sommeil, me demandant ce qui se passait. J'étais en train de rassembler mes pensées lorsque je fus plaquée au sol par le poids
de mon maitre qui venait de s'assoir sur mon dos.
- Ne bouge pas !
- Oui maitre.
Je gémis de douleur, une grosse claque venait de tomber sur mes fesses.
- Qu'est ce que tu attends pour écarter tes cuisses ! Il faut tout te dire ?
- Mais maitre...
- Tais toi !
Une nouvelle claque tomba en travers de mon cul, m'arrachant un grand cri de douleur. Je m'empressais d'écarter en grand mes cuisses,
effrayée par cette violence matinale imprévue et inédite pour moi.
Une nouvelle claque tomba sur mes fesses.
- Quelle salope tu es ! On te demande d'écarter tes cuisses et tu le fais au point de faire le grand écart ! Sale petite trainée !
Je refermais un peu mes cuisses, outrée tout de même par son exagération des faits. Une nouvelle claque me fit crier de douleur.
- Je ne t'ai pas dit de refermer tes cuisses ! Tu es conne ou quoi ? Il faut que je t'entraine le cerveau aussi !?!
Je sens alors une pression sur mon anus, un objet froid et dur et je me dis que ce doit etre à nouveau le plug métallique et electrique
de la veille, ce qui augmente encore la tension en moi.
Les claques s'enchainent sur mes fesses, mon maitre pestant après moi qui me contracte et rend l'invasion de mon cul par le plug plus
difficile.
En larmes, je le sens qui me force enfin complètement l'anus pour venir se loger en moi.
- Et bien ! Tu as les réveils toujours aussi difficiles ?
- Mais je suis tombée du lit !
- Normal, c'est moi qui t'ai poussée !
- Mais Maitre...
- Viens dans mes bras ma petite ! Tu ne t'es pas fait mal ? Ca va ?
Je me blottis contre lui, lui pardonnant ce qu'il vient de me faire, me lovant dans ses bras.
Après quelques minutes, il m'aide à me relever pour m'emmener à la cuisine déjeuner.
- Petit déjeuner pour championne ! Tiens, emmene ton assiette sur la table de la terrasse ainsi que mon bol. N'oublie pas les couverts !
Je m'affaire à préparer tout ce qu'il faut pendant que mon maitre cuisine.
- A table ma chérie, c'est pret !
J'ai droit alors à un petit steack grillé avec des pates.
- Protéines et sucres lents ! Tu vas en avoir besoin pour ton entrainement du jour !
- Merci c'est gentil mon chou, en quoi consiste cet entrainement ?
- Ho rien d'extraordinaire, un footing pour se décrasser ce matin, suivi de quelques exercices d'assouplissement et cet après-midi,
on fera à nouveau un peu de technique sur le terrain.
- Je suis curieuse de m'y mettre mon chou !
- Ce ne sera pas trop dur aujourd'hui ma petite ! Tu as un match demain ! On fera du travail de fond lorsque tu n'auras pas de tournoi
à jouer !
- J'ai vraiment envie de devenir meilleure tu sais mon chou !
- Je t'ai promis de faire de toi une championne ! Tu vas y arriver ! Tu as déjà le physique, une bonne technique qui a besoin d'etre
plus sollicitée, tu as besoin d'etre poussée dans tes retranchements pour progresser et je vais te forger un mental à toute épreuve !
- Quel beau programme !
Nous mangeames en discutant un peu tennis, les tournois en cours, mon adversaire du lendemain, mes reves de gagner Roland Garros...
Il me rassura en me disant que j'étais entre de bonnes mains, que toutes mes ambitions ne se réaliseraient peut etre pas, mais
qu'il avait entrainé une joueuse qui avait été demi-finaliste en grand chelem mais malgré tout il avait été écarté du giron de la
fédération, pour ses méthodes un peu extremes. Depuis il avait été faire quelques stages en chine pour suivre les entrainements des
athletes chinoises pour les JO et avait parfait ses techniques. Il rit en y pensant, me disant que seule moi devait etre capable
de m'entrainer selon ce qu'il projetait dans ce pays et que si j'adhérais totalement à ses méthodes, j'irai très très loin.
J'étais inquiete mais tout cela me plaisait. La possibilité de gagner des tournois de haut niveau, de devenir une star, et derrière
tout cela, de vivre une vie d'esclave, avoir une vie sexuelle hors norme...
Je desservis finalement la table, m'habituant bien au plug en moi, me déplaçant avec de plus en plus d'aisance.
Mon maitre disparut quelques minutes et revint habillé, chaussures de sport aux pieds, un petit sac sur le dos.
- Au pied fifille ! Sage ! Oui tu es toute belle ! me dit il alors que je lapais ses mains.
Qu'est ce que je deteste quand il m'appelle comme cela ! Malgré tout, soumise, je me mis à 4 pattes pour filer près de lui, nue et
plugguée. Le collier me serra le cou, le temps que je m'habitue à sa présence mais rapidement, un coup sec sur la laisse qui
y était attachée me força à avancer à la suite de mon maitre.
Nous traversames la pelouse pour gagner la petite porte donnant sur le chemin de campagne. Le souvenir de Valère revint aussitôt
à mon esprit, me glaçant d'effroi. J'espère que ce danois n'est pas en train de se promener par ici. C'était le seul point noir
pour moi. Je commençais à vraiment prendre goût à etre en laisse comme une chienne. Cela m'excite à un point ! Etre nue en laisse,
à 4 pattes, le cul ouvert aux yeux de mon maitre, j'en deviens une fontaine. Me dire qu'à tout moment, on peut etre surpris dans
notre promenade, rien que de l'évoquer, je suis proche de l'orgasme. La honte serait immense mais le plaisir encore plus !
Comme mon maitre s'était engagé à tout assumer, cela m'enleve toute frayeur sur les suites. A tort ou à raison !
Nous remontames le chemin pour nous enfoncer dans la campagne, à l'opposée de la route. Cela m'angoissait un peu tout de même,
c'était la direction qu'avait prise Valère pour s'en retourner chez lui.
Il faisait encore un peu frais mais l'exercice évitait que je prenne froid. Tant qu'il ne se mettait pas à pleuvoir !
Cela faisait une demi-heure que nous avancions comme cela. J'étais maintenant complètement rassurée et détendue, je savourais
le bonheur d'etre un simple animal et mon maitre de faire une promenade en compagnie d'une chienne, lorsque du bruit nous
parvint depuis les broussailles sur le coté de notre sentier.
Je poussais un cri strident en me retrouvant nez à museau avec Valère. Il était surgi de nulle part, agile et rapide malgré sa taille.
Mon coeur battait la chamade. Un danois vu debout, c'est déjà impressionnant mais depuis une position à 4 pattes et en plus nue,
on se sent tres tres petite et vulnérable !
Je me demandais pourquoi je m'étais laissée faire la veille, mais là je ne me posais plus la question du tout. Il pouvait faire
ce qu'il voulait de moi, je n'étais pas en position de lui interdire quoi que ce soit...
- Calme Valère ! Entrainement !
Le chien se contente de me renifler les fesses et me laper l'anus distendu par le plug, semblant comprendre mon maitre.
Mon maitre donne un coup sec sur ma laisse pour me faire reprendre la route.
- Allez fifille ! On avance ! Ces chiennes alors, dès que cela voit un male, ça ne pense qu'à se faire monter !
Je rougis humiliée par sa remarque injustifiée, quoique si l'on se basait sur l'état de mon sexe...
Nous longeames alors un grand pré cloturé. Une fois à la barrière, mon maitre me fit m'aplatir sur le sol pour passer en dessous.
Mes seins raclèrent le sol mais je me retrouvais enfin de l'autre coté, après avoir également bien frotté mes fesses sur la barrière.
Je le regardai alors effarée ouvrir celle-ci pour entrer avec Valère dans le pré.
- Bien fifille ! me dit il en me frottant la tete, semblant se moquer de moi.
J'étais toute à la fois furieuse contre lui et heureuse qu'il ne perde pas une occasion de me rabaisser. Que voulez-vous faire avec
de telles contradictions ! Je n'avais qu'à m'en prendre à moi-même !
- Debout ! L'entrainement va commencer ! On va voir si ce que j'ai investi avec Valère va rapporter ses fruits !
Je le regardais inquiete. Le fait que le chien fasse partie de l'entrainement me parraissait tres etrange, voir incongru ! Je suis une
joueuse de tennis, pas une promeneuse de chien !
Une petite décharge électrique en provenance du plug me fit bondir sur mes jambes, m'arrachant à mes doutes. Oui ce chien devait
etre un bon entraineur ! Tout mais pas les décharges électriques !
Cela fit de nouveau rire mon maitre ! Il était décidement de bonne humeur ce matin ! Pourtant je ne l'avais pas satisfait sexuellement !
J'espère que ce n'était pas pour cela ! Cela voudrait dire que je suis nulle au lit !
Je fus de nouveau sortie de mes pensées par une grosse claque sur mes fesses cette fois.
- Tu vas courir tout autour de ce pré, le long de la cloture ! Un tour représente 1,2 km à quelques mètres près. Je te dirai quand tu auras
assez courru ! Cela dépendra de la forme de Valère aussi !
Je fronçais les sourcis, ne comprenant toujours pas ce que ce chien avait à voir là-dedans !
- Je garde ma laisse maitre ?
- Je te l'ai enlevée ?
- Non maitre !
- Tu me prends pour un imbécile ?
- Non non je ne me permettrais jamais maitre ! jamais !
- Alors tu te tais ! et tu commences à courir ma petite ! Le cerveau c'est moi !
Heureuse de ne pas m'etre prise une gifle vu la tournure de la conversation, j'entamais mon premier tout de pré.
J'essayais de prendre ma foulée habituelle mais le plug me génait beaucoup pour courir. Je le sentais qui m'écartait les fesses,
provoquant une première gene. La deuxième était du à l'ouverture de mon anus, le plug bougeant, provoquant des petites douleurs
ainsi que du plaisir. La dernière provenait de mon rectum dilaté par la partie large du plug, une sensation indéfinissable, bizarre.
Valère aboya une première fois derrière moi et je compris qu'il voulait que j'accélère un peu.
Je me dis alors que je faisais de mon mieux mais ne parlant pas le chien, je l'ignorais royalement.
Je bondis alors de douleur ! Cet enfoiré venait de me mordre les fesses ! Pas durement ! Un bon mordillement, bien douloureux mais
non dangereux. Je poussais un cri effrayée et accélerais mon rythme.
Le danois satisfait me suivait tranquillement, le rythme n'étant pas trop rapide pour un chien comme lui.
La panique s'étant emparée de moi, j'avais du mal à contrôler ma respiration. Je ne m'attendais pas du tout à cela !
J'étais sous le choc et les larmes coulaient sur mes joues, Valère venant de me remordre au 3/4 du premier tour, en perdition
au niveau de ma course.
Mon maitre était ressorti du pré et accoudé à la barrière, me regardait sévèrement.
je coupais ma course à sa hauteur pour protester contre les conditions de cet entrainement, mes fesses tres douloureuses suite aux
deux morsures quand Valère avant que j'ai pu prononcer un mot me sauta sur le dos, me propulsant sur le sol violemment.
Je me relevais à 4 pattes pour essayer de reprendre mon souffle et laisser passer la douleur provoquée par ses pattes dans mon dos
quand je sentis ma laisse se tendre.
Cet enfoiré de chien venait de la prendre entre ses crocs, m'étranglant à moitié. Il profita de ma stupeur pour me grimper dessus et
poussa son avantage en même temps que sa queue en moi.
Je le sentit s'allonger et grossir en moi comme la veille, comprenant qu'il ne me servirait à rien de lui resister ! Je n'étais pas
de taille à lutter.
- Tu es vraiment une chienne en chaleur fifille ! Ralentir exprès pour pouvoir te faire saillir par Valère ! et juste sous mon nez
en plus ! Tu devrais avoir honte !
J'avais honte effectivement. Comme la veille et meme un peu plus facilement, Valère se mit à me prendre. Sa queue était chaude et dure
en moi, sa boule commença rapidement à enfler pour nous unir.
Je gémissais incapable d'exercer quelque contrôle que ce soit sur mon corps ou mon esprit. Je n'étais plus qu'une femelle en train
de se faire enfiler, nue, à 4 pattes, tenue en laisse par un chien, ce chien pilonnant mon vagin de son enorme queue, dans un pré
inconnu, risquant de se faire surprendre à tout moment et tout cela sous les yeux de mon nouveau maitre, rencontré juste la veille !
J'étais vraiment une moins que rien !
Cependant la moins que rien que j'étais, était heureuse comme peu de personne au monde ! Le plaisir me submergea comme une vague
de l'atlantique en furie. Mon corps était balayé par le plaisir, mon cerveau emporté. Je n'étais plus que la femelle de Valère et
il le sentait bien. Son sperme jaillit alors en moi, m'inondant le vagin et l'utérus.
Je tombais en avant épuisée par cet assaut !
Valère, contrairement à la veille, resta un long moment à gicler en moi, pesant sur mon dos, me faisant bien sentir chienne.
Le fait qu'il me bloque avec ma laisse entre ses crocs m'humiliait terriblement, bien plus que de sentir sa boule énorme en moi,
secouée à chaque jet de son sperme. Celui-ci était si abondant qu'il coulait hors de mon vagin à chaque nouvelle giclée.
Mon maitre semblait très heureux, toujours accoudé à la barrière, très attentif au spectacle de notre saillie.
Valère sortit enfin de moi, mon vagin expulsant une grande partie de son sperme en même temps que sa queue.
Je voulus profiter de ce moment pour négocier avec mon maitre mes conditions d'entrainement mais Valère aboya après moi.
Le genre d'aboiement qui avait précédé ses 2 morsures de mes fesses !
Je me relevai terrifiée et repris vite ma course ! Le plug me génait toujours autant, j'étais fatiguée par la saillie mais j'avais
trop peur du danois pour rester sur place. Je ne doutais pas que cette bete n'aurait aucun remord à me mordre !
Je réussis à faire un tour complet, malgré mon anus distendu, la douleur dans mon cul, le sperme coulant de mon sexe qui me faisait
honte, la laisse qui battait dans mon dos, mes pieds nus qui commençaient à souffrir un peu dans l'herbe.
Au passage de la barrière je criais à mon maitre qu'il fallait que l'on discute, ce qui provoqua son amusement.
Sa réponse criée après mon passage était de discuter avec le chien.
Mon angoisse remonta, j'allais devoir faire combien de tours !
Je parvins à boucler mon troisième tour avec juste un aboiement de Valère et fusillait mon maitre du regard au passage.
Il claqua aussitôt des doigts et Valère me sauta à nouveau sur le dos, me repropulsant à terre.
- Tu ne me regardes plus jamais comme cela fifille ! Compris !
- Oui oui maitre ! Pardonnez moi s'il vous plait maitre !
- Valère ! Punition !
j'étais sur le ventre à terre terrorisée. Valère me claqua ses pattes sur le dos et mordit ma nuque pour m'immobiliser.
Pétrifiée, je le sentis baisser ses reins pour glisser de nouveau sa queue en 2 coups de reins au fond de ma chatte.
Il me pilonna alors, son rythme bien plus élevé que la fois précédente, tirant sur sa boule plus durement et meurtrissant l'entrée
de mon vagin. Je pleurai cette fois sous la saillie, comprenant que ce chien pouvait à loisir me faire jouir ou me faire mal avec
sa queue. Il semblait parfaitement dressé ! Ses crocs ne lachaient pas ma nuque, me terrifiant et me faisant mal tout à la fois !
Il me libéra plus rapidement cette fois, tirant brutalement pour sortir sa queue de mon vagin, sa boule provoquant douleurs et
pleurs de ma part. Je n'eus pas le temps de m'apitoyer sur moi-même ! Déjà Valère aboyait et je bondis pour reprendre mes tours de pré.
Je me fis mordre encore 3 fois sur les 4 tours suivants. j'avais accumulé 7 tours, il ne me semblait pas avoir couru aussi vite
sur une telle distance de toute ma vie quand mon maitre ordonna enfin à Valère de se stopper.
J'allais cracher mes poumons au demeurant fort jolis extérieurement. Je m'écroulais à genoux, à défaut de pouvoir m'assoir
confortablement avec le plug en moi .
Mon maitre ouvrit alors la barrière pour me rejoindre et me flatter de nouveau le haut du crane.
- C'est bien fifille ! Je suis fier de toi ! Allez tête au sol et croupe en l'air fifille !
Humiliée j'obéis, me cambrant et ouvrant mes cuisses, la tête dans l'herbe, reprenant doucement mes forces.
Je le sentis enlever le plug de mon rectum, le passage meurtrissant un peu plus mon anus. Je me sentais néanmoins mieux pour respirer.
J'avais juste peur d'une chose. Il n'avait aucune raison de me le retirer en dehors de vouloir que mon cul soit libre pour autre chose.
Et je redoutais que ce soit pour récompenser Valère.
Je fermais les yeux, essayant de ne pas y penser, cela me stressait beaucoup trop. Mon maitre lui me caressait doucement les reins,
semblant songeur.
- Je n'ai jamais été zoophile de ma vie, mais je crois que je vais franchir le cap !
Je poussais un petit soupir de soulagement. Ce n'était que pour lui.
- Je vais me faire une chienne pour la première fois de ma vie ! Une belle petite chienne en laisse, dans un pré !
Je le vis baisser son pantalon et son boxer, pour exhiber son gros sexe devant moi.
- Tu en veux fifille ? Tu vas bien te la prendre ma petite chienne ?
Je lui fis oui de la tête, soulagée et ayant envie de lui malgré mon épuisement. Voir son sexe ainsi dressé de désir pour moi me plaisait
terriblement !
- A 4 pattes fifille !
Une claque sur ma croupe accompagna l'ordre. Je vis mon maitre s'allonger sur le dos dans l'herbe.
- Allez viens fifille ! Viens sur ton maitre !
Je m'avançais à 4 pattes au dessus de lui pour le chevaucher, désireuse d'etre prise.
- Plie les pattes fifille ! Allez ! Mamelles sur mon torse !
J'obeis et pliais genoux et bras pour me mettre contre lui accessible à son sexe.
Je sentis son gland se poser sur mon anus, chaud et dur, plein de désir.
Mon maitre bougea sous moi et me poussa sur sa queue. Elle glissa dans mon vagin et vint buter contre mon col, m'ouvrant bien par sa grosseur.
Je gémis heureuse qu'il ait choisi cet orifice, ayant envie de jouir intensément avec lui.
Il commença à remuer en moi, m'arrachant de petits cris de bonheur et de jouissance.
Il s'amusait à changer son rythme, à entrer et sortir lentement et entièrement de moi puis à me pilonner à petits coups de reins rapides.
Je ne pensais plus du tout au fait que nous étions dans un pré, visible de tout passant éventuel.
C'était trop bon !
Une claque sur ma fesse droite me ramena un peu à la réalité.
- Monte !
Je sursautais de douleur et de surprise. Pas le temps de réagir, que Valère était déjà sur mon dos, sa queue s'enfilant dans mon anus.
Il donna quelques coups de reins rapides et sa queue aussitôt prit toute sa taille et grosseur dans mon rectum, sa boule se formant
en moi. J'étais sidérée par ce qui se produisait. Prise en sandwich entre mon maitre et le danois !
Chacun commença alors à se dechainer en moi, leurs queues devant de frotter l'une contre l'autre en moi à travers mes parois.
Mon maitre cria de plaisir et jouit comme je ne l'avais pas encore vu faire, avec une telle intensité !
Je jouis à mon tour, affolée par les sensations provenant de mes 2 orifices, secouée par Valère.
Le chien ne tarda pas à m'inonder les boyaux de sperme également et nous restames une bonne dizaine de minutes ainsi liés tous les trois.
Mon Maitre finit par sortir de moi et me donna sa queue à lecher pour le nettoyer. je commençais mon travail mais Valère sur moi également
interessé joint sa langue à la mienne, provoquant mon dégout chaque fois que nos langues se touchaient.
Je n'osais cependant pas m'interrompre, ayant peur d'etre punie.
Une fois le travail terminé, mon maitre se rajusta et aida Valère à se retourner. Sa queue était toujours plantée dans mon rectum, nous étions
cul à cul ainsi.
- Allez en route Valère ! dit mon maitre en riant.
Il rouvrit la barrière et Valère sans guère se soucier de moi suivit mon maitre hors du pré, me forçant à avancer à reculons,
soudée à lui par sa queue dans mon cul, humiliée, meurtrie chaque fois que son rythme de marche changeait...
A suivre...
French_Master
N'hesitez pas à m'écrire : goodtimefr@live.fr
Béatrice : Engagement
Chapitre 5 : Veille de match
- Où allons-nous Maitre ?
- Tu es bien curieuse ma petite !
- C’est que j’ai très mal Maitre !
- Tu n’as qu’à pas être si gourmande et pousser pour le faire sortir de ton cul !
- Je ne peux pas Maitre ! Sa boule est encore trop grosse !
- Alors tant pis pour toi !
- C’est encore loin ?
- Non ! Je vois la ferme d’ici !
- La ferme Maitre ?
- Oui ! Nous allons y déjeuner ce midi ! Tu as besoin de reprendre des forces !
- Mais je suis toute nue !
- Et en laisse oui ! Mais à ta place je ne me soucierais pas de cela !
- Pourquoi Maitre ?
- Ben tu as la queue de Valère dans le cul ! Je trouve cela pire !
- J’espère bien qu’il sera sorti avant !
- Avant la ferme peut-être ! Salut Raymond !
- Salut mon grand ! Tu as une nouvelle championne on dirait !
- Oui un grand espoir !
- Tu as pris une inconnue totale ?
- Oui, j’avais envie d’un vrai défi !
- Je me doutais qu’il y avait quelque chose ! Valère qui disparait tout à coup ! Ca sent la femelle Raymond que j’me suis dit !
- Oui il est toujours prêt à aider le brave !
- En tout ca elle a l’air de bien prendre ! Il te faut combien de temps pour arriver au trainage par le cul habituellement ?
- Un bon trimestre oui !
- Et là ? 2 jours ?
- Oui ! A peine ! On est le deuxième jour !
- Bravo jeune fille ! Raymond tapota mes fesses, les ouvrant pour voir où était la boule de Valère. Tu sais, je crois qu’il faut
le retourner ! Il la lâchera pas tout de suite ! Il est prêt pour la remettre !
- Tu crois ? Il écarta à son tour mes fesses et vit que la boule s’était bien regonflée en effet. Tu as raison ! Quelle chienne !
Ils aidèrent Valère à remonter sur mon dos et il bougea de nouveau en moi, me prenant plus lentement, étant déjà gonflé en moi.
Ses mouvements courts et lents durèrent beaucoup plus longtemps. Le pantalon de Raymond se gonfla de même que celui de mon maitre.
J’étais déjà humiliée à l’arrivée devant Raymond mais être prise par son chien sous ses yeux me faisait encore plus honte. J’avais un autre problème !
Ayant été excitée par la promenade cul à cul jusqu’ici, j’étais en train de prendre du plaisir à être enculée par Valère et
je n’arrivais plus à le cacher. J’avais la bouche ouverte et de petits gémissements s’en échappaient sans que je puisse les contrôler.
Je sentis Valère se mettre à pousser sa queue plus profondément en moi et je sentis un premier jet de son sperme tout chaud. Ca me rendait
folle de plaisir ces petites poussées à chaque giclée, avec le massage que me procurait sa boule pendant ses mouvements.
Je jouis à mon tour devant le regard ébahie de Raymond.
- T’es allé la chercher où celle là ?
- Elle est venue toute seule…
- Putain de merde ! Je l’ai vu jouir là !
- Oui aucun doute là-dessus !
- Elle se fait enculer par Valère qu’elle connait depuis hier seulement et elle jouit alors qu’il l’encule !
- C’est une femelle Raymond !
- Oui mais pas une classique ! Essaie de la garder celle-là !
- Seulement si elle devient une championne ! Les autres ne m’intéressent pas !
- T’es difficile mon gars !
- Je sais Raymond !
- Moi la Maryse, elle est pas championne mais elle me va bien !
- C’est une championne de l’organisation et des fourneaux Raymond ! En plus d’être une championne au pieu !
- Pas faux, d’ailleurs j’ai un pieu qui a besoin d’elle ! On va manger !
- Ho oui ! J’avais pas vu l’heure ! Elle ne va pas gueuler que j’amène ma chienne sans prévenir ?
- Bah non ! Elle t’a à la bonne ! Et puis il y a le pieu ! Elle aime ça !
- Il y a un rapport ?
- Quand tu as une chienne, je passe mon temps à bander ! Alors elle adore que tu ais une chienne !
- Ho ! Compris !
Ils se mirent en route vers la ferme, Valère me trainant de nouveau par sa queue coincée dans mon cul.
Le choc d’être vue sous Valère commençait à passer quand ils arrivèrent à la ferme. Maryse attendait sur le pas de sa porte, tapant du pied,
prête à râler pour le retard ! Sa bouche resta en O en voyant ce que Valère trainait derrière lui.
- Tu as une nouvelle chienne mon tout beau !
- Comme tu vois amour de ma vie !
Maryse s’avança vers le quatuor et embrassa les 2 hommes sur la bouche.
- Beau cul !
- Tu l’as dit ! Regarde ! dit Raymond en montrant son pantalon…
- J’adore quand tu amènes une chienne !
- Tu vois ! Je te l’avais dit ! Raymond tapa mon maitre du poing sur l’épaule pour ponctuer sa phrase.
- Belles mamelles aussi !
- Je ne veux pas l’engrosser Maryse ! Je veux en faire une championne !
- Bah tu as l’habitude !
- Ca ne fonctionne pas toujours !
- Les russes sont paresseuses ! Tu dois oublier ces échecs ! Cela avait bien marché avant !
- Ho je ne doute pas de moi ! Juste des filles que j’entraine !
- Et celle-là ?
- Elle a un bon potentiel mais on part de loin !
- En tout cas elle me plait conclua Maryse en massant la queue de Raymond à travers son pantalon ! J’ai mis la table sur la terrasse !
Installe toi ! Faut qu’je cause à mon homme !
Mon maitre rit et me caressa la tête.
- Tu vois ! Tu peux te décontracter ! Tu es déjà acceptée par mes amis !
- Mais Maitre ! Je n’ai pas l’habitude que du monde me voit nue ! Encore moins à 4 pattes en laisse ! Et encore moins enculée par un chien !
- C’est pour cela que tu devrais te détendre ! Là tu le serres derrière sa boule et il se sent bien ! Il n’aura pas envie de sortir !
- J’aimerais vous y voir !
- Ca ne risque pas d’arriver ! Mais tu viendras souvent ici nue et tu subiras beaucoup de tracasseries ici ! Ils ont l’habitude et
adorent regarder ! Tu es une espèce de cadeau pour eux ! Donc sois en fière et respire !
Mon maitre me massa le dos, ce qui m’aida doucement à me détendre. Mon anus libéra un peu la queue en moi. Valère se mit à dégonfler et
sortit accompagné d’un flot de sperme. Heureusement, le sol était brut en terre.
- Tu vas te régaler tu vas voir !
Il reprit ma laisse et m’emmena dans la cour principale de la ferme. Elle était entièrement pavée sauf en son centre qui abritait
un grand massif de vivaces. De chaque coté des corps de ferme protégeaient l’endroit des regards. Une grande allée sur le bout à droite
donnait accès aux champs et prés entourant les bâtiments.
Une grande table en bois avec des bancs, façon table de pique-nique des aménagements autoroutiers, mais beaucoup plus grande et massive,
se dressait près de la porte menant à la cuisine. De celle-ci ouverte s’échappaient des odeurs alléchantes.
Mon maitre attacha ma laisse à un anneau dans le mur situé à un petit mètre de cette porte. Un petit abreuvoir en béton ornait le pied de ce mur.
Je le regardais en grimaçant ! Pas question que je boive là-dedans !
Il ne s’occupa pas de moi et rentra se chercher à boire. Je fus ravie et soulagée de voir qu’il ne m’avait pas oubliée, déposant un bol
d’eau devant moi. Je me précipitai dessus et lapais avec plaisir l’eau fraiche pendant qu’il sirotait son pastis.
Nous entendîmes alors des bruits significatifs d’une certaine activité qui furent suivis peu après de cris non moins significatifs.
Mon maitre rit !
- Tu vois ! Tu les rends heureux !
- Oui Maitre…
- Donc tu dois te sentir fière de venir ici en chienne !
- Je vais essayer Maitre !
- Bien ! Je suis fier de toi !
- Merci Maitre !
Personnellement je n’étais pas du tout fière de moi. J’avais accepté plus de choses en 2 jours que les autres en plusieurs mois,
quand elles avaient acceptés ! Mon opinion de moi-même baissait d’heure en heure !
Raymond et Maryse revinrent enfin, tous les deux enjoués. Maryse me donna une belle ration de son pot au feu avec des morceaux de choix
tout en me caressant la tête et en me remerciant du bonheur que je lui apportais. J’en rougis de nouveau mais je me sentais malgré tout beaucoup mieux.
Ils discutèrent en mangeant gaiement, visiblement très habitués à cela mais je sentais qu’ils avaient retrouvés quelque chose qui leur avait manqué !
De mon coté, la cuisine de Maryse était si exquise que j’en oubliais ma position et ma nudité. J’étais même prête à revenir chaque jour
si c’était toujours ainsi. Après tout, une fois le premier choc passé, on s’habitue à être nue devant du monde. Le plus dur reste tout
de même d’être la seule à l’être au milieu de gens habillés.
Je m’allongeais ensuite à l’ombre tranquillement pendant qu’ils terminaient leur repas pour m’endormir sur les pavés. J’étais si fatiguée
que je n’en perçus pas l’inconfort.
Je me réveillais sous la caresse de mon maitre, sa main passant de mon crane jusque ma croupe en massant doucement mon dos. Je m’aperçus
qu’il m’avait repluggée en profitant de mon sommeil, ce qui était plutôt gentil. Il reprit ma laisse et après avoir pris congés de nos hôtes,
nous regagnâmes sa propriété, direction le court de tennis en terre battue. Cette promenade à travers la campagne m’inquiétait toujours autant.
J’avais la crainte permanente de croiser du monde.
Le plug travaillait toujours dans mon anus, me procurant des sensations pendant tout le trajet. Une fois arrivée à domicile,
ma chatte coulait sur mes cuisses comme si j’étais en manque de sexe !
Cela fit rire mon maitre qui me dit qu’il était vraiment heureux de m’avoir trouvée. J’eus droit à nouveau à différents exercices
en retour de service et en bombardement de mon coup droit ou de mon revers.
Je me sentais pataude sur le court. Le collier m’empêchait de bien reprendre mon souffle. Le plug me gênait dans mes déplacements
et la douleur des décharges électriques me bloquait parfois sur place, enchainant une nouvelle décharge si j’en oubliais d’essayer de frapper la suivante.
Etre pieds nus m’empêchait également de glisser sur la surface. Ces deux heures m’épuisèrent totalement.
Nous terminâmes par une séance de services, mes mauvaises positions étant aussitôt sanctionnées par une torture électrique.
Je me sentais aussi mauvaise que d’habitude mais mon maitre souriait et cela me rassurait. Il semblait satisfait de moi.
J’eus droit ensuite à une bonne douche pour me rafraichir, une fois le plug retiré. A ma sortie, mon maitre m’attendait pour me frotter
dans un drap de bain moelleux et doux à souhait. Un vrai délice ! Il me sécha en frottant un peu plus que nécessaire la poitrine et les fesses.
Il m’embrassa longuement et me mordilla les lobes d’oreilles, les épaules, le creux du cou. J’en étais toute chose ! Mes pointes de seins me trahissaient.
Je reçus une bonne claque sur mes fesses ainsi que l’ordre de ne pas m’emballer. Rien le soir de la veille d’un match ! Surtout que je jouais le matin.
Le repas du soir fut plus austère que celui du midi. Quel cordon bleu cette Maryse ! Non pas que mon maitre se débrouillait mal mais c’était
beaucoup plus diététique malheureusement ! Ou heureusement ! Après tout, si je voulais être une championne professionnelle, il fallait faire
quelques sacrifices !
Celui de mon estomac était tout de même plus difficile que celui de ma pudeur ou de mes orifices ! Je mangeais nue mais sans aucune contrainte
et à table pour ma plus grande surprise !
Nous fumes au lit vers 21 heure ce soir là. Je trouvais cela un peu tôt mais compris en voyant la télé méga grand écran s’allumer qu’il s’agissait
d’une soirée ciné à la maison. Nous nous allongeâmes sur le lit et il lança la diffusion d’un vieux western. Pas ma tasse de thé mais
je n’eus pas le temps d’exprimer mes gouts. Il enleva son short et son boxer et me désigna sa queue en train de durcir en m’intimant l’ordre
de sucer jusque nouvel ordre.
Je me glissais donc de coté pour mettre ma bouche à portée de sa queue. Après tout, c’était plus intéressant que son film ! J’étais décidée
à le lui faire oublier d’ailleurs ! Ma langue commença à jouer à soulever ses couilles l’une après l’autre. Une fois bien humides, je les aspirais
tour à tour dans ma bouche, en serrant les lèvres mais pas trop, pour procurer un massage sans faire mal. Puis j’amusais à les prendre toutes les deux
en même temps en bouche. Sa queue était complètement dressée sous mes yeux, bien dure, tellement il était excité. J’adore exciter un homme au point
de le rendre fou de désir, qu’il ne sache plus se contrôler, qu’il redevienne une vraie bête !
Je sentais ses bourses toutes chaudes qui palpitaient dans ma bouche. Un vrai signe de confiance, j’aurai pu les mordre et les arracher, d’un coup
de dents et le rendre eunuque ! Les hommes ne se rendent jamais compte du pouvoir qu’ils nous laissent sur eux en nous confiant leur engin à sucer !
Mais je l’aimais déjà trop pour avoir envie de faire autre chose que de lui donner du plaisir.
Je fis rouler ses couilles sur ma langue, les ballotant de droite et de gauche, les faisant frotter contre ma langue, mon palais et
l’intérieur de mes joues. Il en gémissait et fermait ses yeux. J’étais contente, il ne devait déjà plus trop savoir où en était son film.
Je continuais mon petit jeu un bon moment, voulant l’exciter au plus haut point mais sans le faire jouir.
J’abandonnais enfin ses testicules pour remonter de la langue tout le long de son membre. Une goutte d’excitation perlait au bout de son gland et
je vis qu’une autre était tombée sur son ventre, tissant sa toile entre son membre et son abdomen.
Il était à point ! je fis glisser la pointe de ma langue tout le tour de son gland, sous la base, le taquinant longuement ainsi, jouant de chaque coté
de son prépuce. Je continuais à le provoquer en lapant son méat, l’ouvrant de la pointe de la langue, avant de laper à nouveau son membre
du gland aux couilles.
Il ne regardait plus son film. Les yeux fermés, il semblait essayer de se concentrer pour ne pas jouir. J’allais lui faire rendre les armes !
J’aspirais son gland des lèvres, les refermant sur sa base. Je sentis à ses mouvements qu’il se contrôlait pour ne pas donner un coup de bassin pour
pénétrer ma bouche. Cela me fit grand plaisir ! De mon coté, mon sexe dégoulinait sur mes cuisses. Sentir ce gland chaud qui palpitait de désir
entre mes lèvres et sur ma langue, cela me donnait une envie folle d’être prise !
Je me calmais mentalement, continuant de jouer avec son gland de mes lèvres et de ma langue, me contrôlant pour ne pas grimper sur lui et le chevaucher.
C’était dur d’avoir une aussi belle queue à disposition, aussi dure que du béton et de ne pas pouvoir en profiter. Pas de sexe la veille d’un match !
Il n’avait qu’à me prendre sans que je doive tout faire, cela ne me fatiguerait pas !
Je le sentais vibrer dans ma bouche et je l’entendais gémir. Il n’en pouvait plus, j’allais l’achever ! Je poussais lentement sa queue dans ma bouche,
centimètre par centimètre. Je serrais bien mes lèvres sur sa bite et ma langue massait sur la longueur. Alors que son gland arrivait
au niveau de ma luette, je ne m’arrêtais pas et le fis passer dans ma gorge. La sensation de chaleur, de douceur et de moiteur de ma gorge
le fit aussitôt jouir. Le sperme gicla à grands jets puissants alors qu’il gémissait, défait.
Je retirais sa queue de ma gorge pour profiter du dernier jet de sperme et savourer son gout.
Je ne le laissais pas respirer pour autant. Alors que je le sentis ramollir, je repris mon petit jeu avec ses couilles pour le faire raidir à nouveau,
m’enhardissant à passer ma langue sur son anus. Je jouais un peu avec avant de reprendre sa queue dans ma bouche et l’enfoncer dans ma gorge.
Il avait retrouvé toute sa vigueur en quelques minutes.
J’étais très fière de moi ! Je commençais alors à le pomper tout en massant ses couilles de la main. Il gémissait déjà très fort alors
que je débutais à peine. Je sentis tout à coup ses mains sur ma nuque qui me coincèrent avec sa queue dans la gorge.
Je ne pus émettre de cri mais l’envie ne me manquait pas alors qu’il me basculait sur le coté puis me forçait à me mettre sur le dos,
sa queue toujours bien plantée dans ma gorge.
Il était maintenant allongé au dessus de moi, ma bouche prenant sa queue, ses jambes de chaque coté de mon torse, lui en appui sur ses avant-bras
pour avoir plus de force. Il se mit ainsi à pistonner ma bouche, comme s’il me faisait l’amour. Sa queue bougeait dans ma bouche et
ma gorge à grandes poussées, il me baisait la bouche comme si c’était mon vagin.
Je suffoquais et gémissais de douleur. J’étais furieuse d’être ainsi traitée !
Moi qui me surpassais pour lui donner du plaisir, j’avais trop bien réussi le retour à la bête ! Il était pire que Valère en cet instant.
Heureusement, cela ne dura pas trop longtemps avant que je sente son sperme gicler dans ma gorge. Je me retrouvais gavée comme une oie d’élevage.
Je ne savais pas si c’était une si bonne évolution après avoir été chienne.
- Vous êtes cinglé !
- Pardon ?
- Vous avez failli m’étouffer !
- Pardon ?
- Vous êtes bouché en plus ?
- Au coin ! A genoux ! Mains sur la tête !
- Je manque de mourir et en plus je suis punie !
Je reçus une violente claque sur la joue droite qui me convainquit qu’il valait mieux aller au coin. Je n’avais pas envie de recevoir
sa jumelle sur la joue gauche.
Pas contente, je m’agenouillais dans le coin à gauche de la télé, face au mur, les mains sur la tête.
J’entendis qu’il revenait en arrière pour reprendre son film à l’endroit où je l’avais perturbé. Je pestais dans mon coin, punie comme une gamine
que j’étais après tout. Je n’osais plus rien dire et compris lentement que je ne l’avais pas appelé Maitre. Il aurait peut-être accepté
mes récriminations si je l’avais fait.
Je passais ainsi une bonne heure dans mon coin humiliée, complètement calmée.
Il éteignit la télé et s’approcha de moi.
- Calmée ma petite ?
- Oui Maitre, je vous prie de bien vouloir m’excuser…
- Je t’accorde mon pardon.
- Merci Maitre !
- Cependant tu dois être punie !
- Ho non Maitre…
- Tu es excusée mais tu mérites sanction !
- J’ai passé beaucoup de temps au coin Maitre !
- Ce n’est pas suffisant ma petite ! Tu m’as agressé en paroles ! Et tu as oublié de m’appeler Maitre à plusieurs reprises !
Tu es en phase d’éducation, je ne peux laisser passer cela ! Tu le comprends ?
- Oui Maitre je le comprends…
Il me fit lever et m’emmena jusqu’au lit. Sans délicatesse, il me bascula en travers de ses cuisses et me fouetta les fesses avec le martinet
qu’il avait pris au passage. Je fus rapidement en larmes puis je capitulais et hurlais ma douleur, moi qui essayais jusqu’alors de les retenir
par fierté. Cela ne le fit pas cesser les coups. Mes fesses devenaient violettes et les zébrures de plus en plus marquées. Il me fit alors
tomber sur le sol et alla reposer le martinet sur son bureau.
Je le vis prendre une capote, ce qui me surprit. Jusqu’ici, il n’en avait pas utilisé une seule pour me prendre.
Il se la mit sur le sexe. La punition l’avait excité de nouveau. Un vrai Priape !
Il s’absenta ainsi capoté, la queue bien dressée pour revenir quelques minutes après, dans le même état.
Je n’avais pas osé quitter le tapis au pied de son lit sur lequel j’étais tombée.
- A plat ventre sur le lit ma petite !
- Oui Maitre !
- Tu ne crois pas que je vais te punir dans l’inconfort pour moi !
Je m’empressais de m’allonger sur le ventre soumise.
- Mains sur la tête !
- Oui Maitre…
- Et ne bouge pas !
- Promis Maitre !
- Si tu me résistes, ce que tu viens de recevoir te semblera avoir été une séance de caresses !
Je tremblais sur le lit de peur. Mon cul était en feu et sa couleur violette m’inquiétait !
La douleur n’était rien comparée à celle qu’il m’infligea en pénétrant mon cul d’un coup, très violent, se plantant en moi entièrement,
écrasant ses couilles contre mes fesses. Elle montait de mon anus et de mon rectum. Je me sentais irritée de partout. Rien à voir
avec le fait d’être empalée d’un coup.
Je pleurais comme un bébé apeuré, ça me brulait de partout et cette douleur s’ajoutait à celle émanant de mes fesses meurtries par le martinet.
- Tu aimes mon petit lubrifiant ma petite ?
- Qu’est ce que vous avez fait Maitre ?
- J’ai mis une petite crème de ma fabrication, piment et poivre !
- Vous allez me faire mourir Maitre !
- Mais non ! Pas pour si peu ! Les autres le supportaient aussi après chaque perte de match ! Pour toi il faudra que je trouve autre chose
pour la perte d’un match ! Cela ne te suffira pas ! Tu es bien trop gourmande !
- Ho non non Maitre ! Cela m’ira très bien !
- Ne t’inquiète pas, je trouverai ma petite !
Je me tus ne pouvant plus parler. Il venait d’amorcer ses mouvements pour m’enculer.
- Désolée ma petite mais le préservatif, ça gène les sensations ! Je vais devoir te prendre plus longuement que d’habitude !
- Bien Maitre…
Je réussis à prononcer ces mots avant de mordre la couette. Je hurlais tout en me forçant à ne pas me débattre et à ne pas retirer les mains de ma tête.
Il me prit ainsi pendant une bonne demi-heure, me laissant exténuée alors qu’il jouissait dans le préservatif. Il me jeta au bas de son lit pour
que je dorme sur le tapis, n’ayant pas mérité sa couche ce soir là.
Je m’allongeais sur le ventre, jambes écartées. L’air qui circulait me faisait du bien au niveau de l’anus. Je gardais cependant l’impression
pendant une bonne heure qu’il était toujours planté en moi tellement j’avais mal.
Heureusement qu’il avait dit pas de sexe la veille au soir d’un match !
Je finis par m’endormir ou m’évanouir ainsi à terre alors qu’il avait déjà commencé à emplir la pièce de ses ronflements de male satisfait…
A suivre...
Mes histoires vous plaisent, n'hésitez pas à m'écrire french_master@hotmail.fr
Béatrice : Engagement
Chapitre 6 : début en tournoi
Je fus réveillée le matin par une rude fessée.
- Qu’est ce que tu fous salope ! Tu es une vraie fainéante !
- Qu’est ce qu’il y a maitre demandais-je en pleurant sous la fessée brutale et inattendue.
- Cela fait un moment que tu devrais être debout !
- Mais je ne savais pas maitre…
- Il faut que tu t’intéresses un peu à ta carrière ma petite ! Je ne vais pas tout faire pour toi ! Tu joues à 11H et il est déjà 8H !
- On a le temps maitre non ?
- Tu plaisantes ! J’aime bien prendre mon petit-déjeuner pas trop tard !
- Il n’est que 8H maitre…
- Oui mais tu n’as encore rien préparé !
- Je dois faire le petit-déjeuner ?
- Bien sur ! Tu te crois au Carlton ?
- Je ne savais pas maitre…
- Il serait bon de t’intéresser aussi à ton maitre ma petite !
- Je file vous préparer tout ce qu’il faut dès que vous aurez terminé de me fesser maitre.
- Tu as intérêt !
Les claques tombèrent encore quelques minutes sur mes fesses, accentuant mes pleurs. Mon anus était toujours en feu suite à la punition de la veille et la fessée
que je supportais facilement habituellement était un vrai supplice.
Les fesses en feu, je filais ensuite à la cuisine. Je poussais un grand hurlement de surprise, de honte, de gène, de tout ce que vous voulez…
Je venais de me retrouver nez à nez avec une femme d’une quarantaine d’années, blonde en carré frisé, aux beaux et grands yeux bleus, grande et athlétique, aux seins bien ronds.
Elle portait une robe noire et des bottes lui montant aux genoux de la même couleur.
- Tiens ! Une nouvelle joueuse ?
- Oui madame. Excusez-moi, je pensais être seule…
Je me cachais comme je pouvais avec mes bras et mains pour protéger de sa vue mes seins et mon sexe. Cela provoqua son rire.
- J’ai l’habitude tu sais…Tu peux enlever tes mains, cela ne me choque pas…
- C’est moi qui n’ai pas l’habitude madame.
- Appelle-moi madame Mélanie.
- Oui madame Mélanie.
- Et toi ? Comment t’appelles-tu en dehors de ma petite je suppose ?
- Béatrice madame Mélanie.
- Tu m’as l’air déjà bien obéissante Béa.
- Le maitre m’a fait comprendre qu’il était dans mon intérêt d’obéir madame Mélanie.
- Ah ah ah ! Je devine. C’est pour cela qu’il y a un tel bazar dans toutes mes sauces ce matin !
- Vous savez qu’il…
- T’a enculée avec un préservatif bien épicé oui ! Bien sur ! Je suis à son service depuis plus de 15 ans.
- Et vous et lui ?
- Je suis son employée et occasionnellement nous sommes un peu plus intimes mais je ne suis pas soumise. C’est uniquement quand il a envie de passer un moment avec
une femme d’égale à égale. Je suis plutôt dominante de nature.
- Mais vous êtes son employée !
Je reçus une forte gifle sur la joue droite.
- Madame Mélanie ! N’oublie pas ! C’est une question de respect !
- Excusez-moi madame Mélanie.
- Je suis son employée parce que je n’ai pas trouvé de meilleure rémunération ailleurs. Il paie très très bien.
- Vu ce qu’il semble faire chez lui sous vos yeux cela me semble justifié.
- J’adore tout ce que je vois ! Etre en plus payée pour ne pas le dire me parait incroyable !
- Oui madame Mélanie dis-je après avoir reçu une nouvelle gifle pour mon oubli.
- J’ai fait le café. Il faut que tu fasses griller une dizaine de toasts. Tu amènes 2 bols, la cafetière, les toasts, du beurre, les confitures sur un plateau,
dès que tout est prêt sur la terrasse.
- Bien madame Mélanie.
Je m’empressais de faire griller les toasts, préférant ne pas risquer d’être en retard. Mon maitre devait avoir terminé de prendre sa douche maintenant. Mélanie quitta la pièce
avec une boite que je ne parvins pas à identifier.
- Pas de sexe pour toi le matin d’un match ma petite, cela te couperait les jambes si tu jouissais trop…
- Oui maitre je comprends dis je en sursautant, ne l’ayant pas entendu arriver derrière moi.
- Mes toasts sont bientôt prêts ma petite ?
- C’est la deuxième des 5 fournées maitre.
- Ca me laisse le temps alors, vite fait bien fait !
Je hurlais de douleur alors qu’il me perforait le cul de sa queue. Je ne m’y attendais pas et il avait profité du fait que je m’étais penchée en avant pour vérifier
la cuisson des toasts. Il remua comme un fou en moi, me tenant les hanches et me pilonnant de sa queue bien dure et bien grosse. Ce fut une vraie torture que je supportais
en silence pendant la cuisson de tous les toasts. Lorsque je mis les derniers à griller, mon maitre s’agrippa à mes seins des deux mains pour m’enculer plus fortement et plus
rapidement.
Je crois que je fus la plus soulagée des deux de le sentir gicler dans mon cul et cesser de bouger en moi. Mélanie entre temps était revenue dans la pièce pour ranger sa boite.
Elle avait profité du spectacle de mon maitre m’enculant avec grand plaisir et s’empressa de lui sucer la queue alors qu’il sortait de moi. J’étais toujours penchée en avant
sur le plan de travail en train d’essayer de minimiser mentalement la douleur en provenance de mon anus lorsque Mélanie me prit par les cheveux pour me gifler méchamment les joues.
- Tu vas bouger ton gros cul de feignasse ! On t’attend pour déjeuner !
- Excusez-moi madame Mélanie. J’amène tout immédiatement.
- Il est temps !
Mon maitre lui offrit son bras pour l’emmener galamment dehors. Je vis alors qu’il avait revêtu un survêtement blanc très élégant. Je les suivis plusieurs pas en retrait d’eux,
toujours aussi nue, sortant sur la terrasse à l’arrière de la résidence, heureusement à l’abri des regards de la rue.
Je fis le service et me pris une nouvelle fessée pour avoir oublié le lait. Je subodorais que Mélanie avait omis ce détail pour que je sois punie. Il allait falloir que je me
méfie d’elle. Elle aimait visiblement vraiment dominer et voir les autres souffrir. Une fois le lait servi, mon maitre m’ordonna de regagner le sol en position à 4 pattes.
La position était déjà humiliante devant mon maitre mais il était maintenant accompagné de son employée. Cela augmentait toutes mes sensations de honte et d’excitation.
- Allez mange !
- Pardon madame Mélanie ?
- Quand je suis là, c’est moi qui m’occupe des bêtes !
- Oui madame Mélanie mais…
- Je t’ai servi à manger, ta gamelle est là !
Elle pointait du doigt un endroit situé au bout de la terrasse et très visible de la rue. J’écarquillais les yeux inquiète mais je savais risquer une punition sévère si
je n’obéissais pas aussi me résignais-je.
Je découvrais inquiète un ensemble d’écuelles. L’une d’elle était étiquetée Valère, ce qui m’inquiéta aussitôt. Ce gros chien ne venait tout de même pas manger ici tous les matins.
A coté se trouvait une écuelle marquée à son prénom. Entre leurs deux écuelles trônait une grande casserole pleine d’eau. Je m’empressais de laper de l’eau,
n’ayant pas envie de devoir boire après Valère. Une fois ma soif étanchée, je me penchais sur mon écuelle. Elle contenait son lot de croquettes pour chien au bœuf.
Pas le meilleur des déjeuners mais à défaut d’autre chose, c’était mieux que rien.
L’odeur du café chaud et des toasts était une vraie torture. Que n’aurais-je pas donné à ce moment là pour pouvoir me régaler ainsi !
Je poussais un cri de surprise et de douleur alors qu’un chien faisait atterrir ses pattes sur mon dos. Je vis sa gueule venir se placer près de mon visage et reconnut Valère.
Je n’eus pas le temps de réagit ou de crier que déjà en deux coups de reins, il était en moi, grossissant et s’allongeant, commençant à me saillir. J’entendis Mélanie s’exclamer
que j’étais la pire des salopes qu’elle ait jamais vu et ajouter ensuite à l’adresse de mon maitre qu’il avait gagné le gros lot. Leurs rires m’accompagnèrent toute la durée
de ma saillie.
Je me dis que j’avais eu de la chance, Valère étant entré dans mon vagin et non dans mon anus. Je ne pense pas que j’aurai pu supporter d’être enculée par lui alors
que mon anus était si douloureux. Valère poussa de forts grognements à mon oreille alors qu’il poussait une dernière fois si fortement qu’il me fit hurler. Son gland forçait
mon col de l’utérus. Il jouit en moi à flots et je sentis que malgré sa boule formée à l’entrée de mon vagin, le sperme s’échappait pour couler sur la terrasse.
J’entendis alors plusieurs coups de klaxons. Pour ma plus grande honte, je m’aperçus que des conducteurs saluaient le spectacle que nous offrions en ralentissant pour bien mater
le couple hétéroclite que nous formions Valère et moi.
Soulagé, Valère sortit de moi m’arrachant un nouveau cri de douleur, sa boule meurtrissant mes chairs intimes, ses griffes m’écorchant le dos. La queue toujours bien bandée et
pendante sous lui, il but à grands coups de langue dans la casserole avant de manger dans son écuelle comme un glouton. Je ne bougeais pas de ma place, encore sous le choc de
la saillie inattendue et de la honte d’avoir été aperçue pendant celle-ci par des inconnus.
J’étais plongée dans mes pensées quand je me pris un coup de martinet sur la chatte. Mélanie me prit par les cheveux et m’asséna plusieurs coups en plein centre de mon intimité,
me faisant hurler et pleurer de douleur.
- Qu’attends-tu espèce d’égoïste ?
- Mais mad…
- Ce male t’a honoré et tu le laisses ainsi sans le nettoyer !
- Je m’excuse m…
- Tais-toi ! Sale bête sans reconnaissance ! Nettoie-le de la langue au lieu de parler !
Elle ponctua ce dernier ordre par un nouveau coup mal placé pour moi. Terrorisée par ce petit tyran, je m’empressais malgré mon dégout de filer lécher et sucer la queue de Valère.
Il fallait que je m’habitue à son gout. Mon maitre et son employée avaient tous les deux cette volonté, je ne pourrais pas m’y opposer. Autant essayer de m’accommoder
au mieux de cela. Jamais je n’aurai cru que prendre un nouveau coach pour jouer au tennis me ferait plonger à ce point dans le vice…
Je passais donc le quart d’heure suivant sous le ventre de Valère, à m’occuper de sa queue, régulièrement humiliée en entendant les coups de klaxons des voitures passant devant
la résidence.
Valère, une fois son écuelle terminée, partit sans même un regard pour moi. Je fus alors de nouveau prise par les cheveux, plus fermement cette fois. Je compris aussitôt
qu’il s’agissait de mon maitre. Il me traina le long de la terrasse pour m’emmener au milieu de la pelouse, face à la grille, on ne peut plus visible du dehors. Il me plaqua
la tête à terre et posa son pied sur ma nuque avant d’enchainer les coups de martinet sur ma croupe. Heureusement, il ne ciblait pas mon intimité comme Mélanie mais
malheureusement, il frappait bien plus fort.
- J’ai dit pas de sexe avant un match sale petite obsédée !
- Mais maitre ce…
- Tu es une femelle en chaleur !
- Mais c’…
- N’accuse pas ce pauvre chien que tu as excité !
- Je n’ai rien f…
- Tu devrais avoir honte d’être tout le temps en train de mouiller comme ça !
- Mais je ne peux pas control…
- Il va falloir que cela te passe !
- Je ne peux r…
- Et tais-toi ! Je ne veux pas t’entendre !
Les reproches et les coups continuèrent un petit moment. Brisée et en larmes, je ne bougeais plus, tête au sol et cul en l’air, sans force quand il se décida enfin à arrêter.
Mes cris reprirent presque aussitôt. Mélanie était arrivée avec le tuyau d’arrosage et me douchait abondamment à l’eau froide. Elle céda la place à mon maitre et s’approchât
de moi pour me frotter avec du gel douche. Pour la première fois, ce fut plaisant d’être entre ses mains. Elle m’amena au bord du plaisir avec des caresses savantes sur
mes seins et tétons puis au niveau de mon anus et de mon clitoris. J’étais essoufflée et ondulant sans cesse pour m’offrir au mieux à ses mains quand elle m’abandonna à nouveau
au jet d’eau en riant de mon état.
L’eau froide et la honte me firent atterrir rapidement. Elle me frotta ensuite fortement tout le corps avec une serviette et me donna des dessous ainsi qu’une tenue
complète de tennis woman sans aucune marque apparente. Les chaussures aussi étaient désiglées.
Mon maitre avait sorti sa voiture pendant mon habillage. Mélanie lui apporta un sac contenant les raquettes, un autre de sport puis une valise ainsi que l’ensemble de mes affaires.
Je le vis mettre le tout dans son grand coffre.
- Tu penses revenir quand ?
- Si tout va bien, dimanche ma belle.
- Ça je sais bien mais tu estimes raisonnablement que ce sera quand, que je prévois les produits frais en conséquence ?
- Elle n’a pas encore le physique nécessaire. Elle a deux rencontres aujourd’hui. Elle doit les passer d’après ce que j’en ai vu. Demain aussi mais elle devrait
s’écrouler mercredi je pense. Donc prévoit d’être là mercredi soir. Dans le cas contraire, je t’appelle.
- Et tu la vires sinon ?
- Oui je ne vais pas m’encombrer d’un boulet !
- Tu as entendu la chienne ? Il va falloir montrer que tu peux bouger ton cul aussi sur un terrain de tennis, pas juste dans un chenil !
- Oui madame Mélanie je répondis honteuse et rouge de honte.
- Je l’aime bien celle-ci ! Fais ton max ma petite, j’aimerais bien te revoir ce mercredi soir ou même plus tard…
- C’est gentil merci madame Mélanie.
Avant que je n’aie pu bouger, elle s’avança rapidement vers moi et me tenant avec une main sur chaque joue, elle m’embrassa passionnément, m’enfonçant sa langue jusque la gorge.
- Si le maitre t’a conservée tout un week-end, c’est que tu es bonne ! Et pas que sexuellement, pour ça il m’a ! dit Mélanie en riant. Alors lâche toi ma belle,
tu as tout ce qu’il faut pour être une championne de haut niveau sinon je n’aurai jamais fait ta connaissance. Ai confiance en toi ! Tu as un joli minois et un petit cul
qui me plait bien !
- Merci madame Mélanie, je vous aime bien aussi.
Je ne pus m’empêcher et lui sautais au cou à mon tour pour l’embrasser. Je me rendis alors compte que je n’en avais sûrement pas le droit et me reculais précipitamment.
- Quand tu es habillée, tu as le droit ma belle, ne retiens pas tes élans envers moi si tu en as ! Mais sache que je n’ai accordé cette faveur qu’à bien peu de monde.
- C’est la seconde tout de même Mélanie ! dit mon maitre.
- C’est peu deux seulement sur la dizaine que j’ai vue…
- Et combien sont revenues sur la dizaine ?
- Trois.
- Seulement trois ?
- Il faut que tu gagnes trois matchs pour être la quatrième à revenir.
- Et sinon ? Je suis punie ?
- Non. J’ai tes affaires dans le coffre. Tu rentres direct chez toi. Tu seras punie ici mercredi soir si tu as perdu.
- C’est la première fois de ma vie que je souhaite être punie…
- Cela te motivera !
- Oui maitre. Je peux alors demandai-je timidement à Mélanie ?
- Bien sur !
Elle m’ouvrit ses bras et je me lovais entre eux pour échanger un baiser tout aussi passionné que le premier mais plus doux…
- Puis-je venir avec vous ?
- Pardon ?
- J’aimerais venir au tournoi avec vous…
- Mélanie, j’ai besoin de toi ici !
- Je fais ce qu’il faut et je vous rejoins ce matin d’accord ?
- Tu ne viens jamais !
- Il y a des premières fois pour tout !
- Tu es amoureuse toi !
- Non ! Je ne suis pas lesbienne ! Je l’aime bien c’est tout…
- Bon accordé mais si elle perd avant mercredi, je considèrerai que c’est toi qui l’aura perturbée et tu en paieras les conséquences !
- J’assumerai.
- Bien.
Mon maitre m’emmena par le coude et me fit monter dans sa voiture. Nous prîmes alors la route, direction Amiens pour mon tournoi.
- Tu sais que c’est la première fois que je la vois comme cela avec une de mes protégées…
- Je l’aime bien.
- J’ai remarqué !
- Vous avez eu combien de protégées déjà ?
- Tu veux des statistiques ?
- Oui.
- Précises ? Tu ne vas pas t’offusquer ?
- J’ai le droit ?
- Oui comme l’a dit Mélanie, quand tu es habillée, il n’y a pas de hiérarchie autre qu’amant-maitresse ou coach-joueuse.
- Alors oui, cela m’intéresse de savoir.
- J’ai eu plusieurs centaines de contacts sur internet.
- Bah ! Ca ne compte pas ça !
- Je veux dire authentifiés, avec de vraies joueuses de tennis.
- Ho ! Tant que ça ?
- Oui, c’est que tu ne t’es jamais intéressée aux coachs sans quoi tu m’aurais reconnu.
- Et vous en avez vu combien ?
- J’ai joué avec près de 200 sur le net, des jeux comme ceux que tu as fait avec moi au début à distance.
- Cela a du être la routine pour vous alors quand vous m’avez vue ?
- Oui et non ! Vous êtes toutes différentes !
- Et combien sont venues vous retrouver ?
- Tu es la quatre-vingt quatrième.
- Hé bé ! j’ai l’impression d’être juste une de plus comme cela…
- Mais non ! tu n’es que la trente-deuxième à avoir passé la nuit du samedi chez moi.
- Vous avez éliminez les autres parce qu’elles ne voulaient pas de Valère ?
- Non ce n’est pas un critère d’élimination.
- J’ai le droit de refuser ?
- Certainement pas ! Plus maintenant !
- Mais j’aurai pu ?
- Bien sur ! Et vous m’auriez conservée ?
- Oui sur ce que j’ai vu de tes capacités tennistiques oui !
- Même sans coucher avec moi ?
- Même en n’ayant pas d’autres contacts avec toi que celui de ta main pour te dire bonjour.
- J’aurai du refuser alors !
- Tu serais passée à coté de beaucoup de découvertes que tu aimes !
- C’est vrai, je l’admets même si je dois être toute rouge de honte.
- Tu es pivoine en effet.
- Vous avez couché avec combien des « trente deux » ?
- Avec 6. Tu es la sixième.
- Et seulement 10 ont rencontrées Mélanie le lundi ?
- Pour être précis tu es la douzième.
- Et seulement 3 pour le moment sont revenues le mercredi ?
- Oui ! Le premier tournoi est un cap difficile. Aucune n’était une championne, comme toi. Tu n’as jamais gagné un tournoi comme Amiens non ?
- En effet ni même gagné 3 matchs de suite dans un tel tournoi !
- C’est pour cela que tu vas devoir aller au-delà de ce que tu fournis habituellement, que ce soit physiquement ou mentalement.
- Et Mélanie ? Elle en a embrassé combien des 11 précédentes ?
- Elle n’a pas menti. Tu n’es que la seconde. Mais tu es la seule pour laquelle elle ait sollicité le droit de venir assister à ses matchs.
- Vous avez parlé de conséquences ?
- Oui.
- Vous n’allez quand même pas la punir si je perds ?
- Non. Si tu perds mercredi ou plus tard, cela n’arrivera pas !
- Et si c’est avant.
- Un mois de souffrances.
- Quel genre ?
- Suspendue chaque jour par les bras au dessus du sol et fouettée pendant une heure.
- C’est injuste !
- Ce n’est rien ! Ensuite le reste du temps, mise à disposition des cochons chez Raymond et Maryse ainsi que de Valère.
- C’est atroce ! Je refuse.
- Tu ne peux rien refuser ma petite. Tu peux juste gagner pour elle si tu veux…
- Et elle a déjà subi cela ? Pour la première ?
- Non ! Elle n’est jamais venue. Elle n’a jamais voulu risquer cela avant toi.
- Mon dieu ! C’est une trop lourde responsabilité pour moi !
- Tu dois assumer. Pour elle et pour toi…
Le silence se fit dans la voiture jusque notre arrivée. J’étais sous le choc de ce que je venais d’apprendre.
Une fois arrivée, mon coach et maitre s’occupa de toutes les formalités. Tout le monde semblait le connaitre et certains même le regarder avec respect ou enthousiasme,
comme des fans.
Je vis aussi quelques joueuses qui passaient et me fusillaient du regard, comme si elles avaient souhaitées être à ma place, être sous sa tutelle. Je me disais en moi-même
qu’elles ignoraient le prix à payer.
Nous réussîmes à nous isoler sur un court pour l’échauffement et je pus échanger quelques balles avant mes grands débuts dans ce tournoi. Mes fesses me picotaient
encore suite aux diverses corrections reçues et mon anus me faisait souffrir. Je me dis que je n’avais jamais eu un tel handicap avant de jouer un match.
Je finis par entrer sur un court annexe pour disputer mon premier match du jour. Sabine S. était impressionnante physiquement. Petite mais râblée, avec des cuisses énormes
et des épaules de nageuse, elle dégageait une impression de force et semblait certaine de ne faire qu’une bouchée de moi. Je n’étais pas loin de lui donner raison.
Seulement, je ne jouais pas que pour moi. C’est ce qui m’embêtait le plus. Après ce week-end avec mon maitre, j’étais persuadée qu’il ne m’avait pas monté un bateau avec Mélanie.
Il était sérieux et elle allait payer pour moi si je ne gagnais pas.
Mon adversaire commença par gagner le tirage au sort et servit la première. Elle ne fit d’ailleurs que servir. Les deux premières balles me laissèrent à plus d’un mètre.
La troisième faillit me percuter de plein fouet. Sur la quatrième, je fus un peu plus fière de moi, réussissant à la toucher mais mon retour frappa le bas du filet. 1-0 pour elle
en une minute à peine. Cela commençait mal…
Nous échangeâmes nos cotés et je gambergeais. Qu’est ce que je faisais là ! Ce n’était pas de mon niveau ce tournoi ! Je tentais de servir de mon mieux mais mon anus me lança,
la douleur remontant dans mon ventre alors que je claquais la balle. Rapidement, je perdis mon service et elle s’amusa à passer à nouveau le sien. Heureusement qu’il y avait
le temps de faire une petite pause à un et trois jeux. Ainsi le match durait depuis 6 minutes et je n’avais pas encore marqué un point et à peine retourné une balle.
Sabine S. était au sommet de ses certitudes et moi au fond du gouffre. Je jetais un œil dans les gradins clairsemés. Heureusement, il y avait peu de monde pour voir mon humiliation.
Je n’osais pas regarder mon coach mais ses gestes attirèrent mon regard. Il me faisait signe de respirer à fond et de me détendre. J’avais peur qu’il soit en train de
fulminer après moi mais non. Il essayait de me conseiller alors que j’étais une véritable incapable.
Je reprenais place sur le court en me concentrant. Il me l’avait dit en m’échauffant, il fallait que je l’use, que je la fasse jouer et pas que je cherche à faire comme elle.
Je réussis à passer une première balle correcte.
Elle me retourna un boulet de canon mais je ne cherchais plus à faire comme elle et m’appliquais cette fois à expédier la balle dans le court à l’opposé de l’endroit
où elle se trouvait. Elle refrappa comme une folle dans la balle mais j’étais bien placée et commençait à lui faire jouer à l’essuie-glace, ce qu’elle me rendit bien.
Ce fut le premier point que je gagnais dans ce match. Elle finit par s’énerver et appuya trop une balle qui sortit assez loin du terrain. Cela me donna confiance.
Le petit geste du pouce de mon coach aussi me fit du bien. Et les bisous envoyés à pleine brassées par Mélanie qui venait d’arriver achevèrent de me convaincre que j’allais gagner.
Comme quoi, un rien peut vous aveugler…
Un simple point et quelques encouragements à 0-3 et 15-0 et je me voyais victorieuse.
Cela arriva pourtant. Je m’étais décidée à appliquer les conseils de mon coach, prodigués à l’entrainement. Jouer long, la bouger, assurer mes coups pour la laisser s’énerver seule.
Il m’avait dit que c’était une adversaire facile pour moi mais j’avais eu du mal à le croire. L’assurance changea ainsi de camp, lentement mais inexorablement.
Je parvenais à marquer mon service et à la gêner jusque 3-5. Le miracle ne provint pas de moi mais de cette assurance qui s’effritait. Elle m’offrit le jeu suivant en faisant
deux doubles fautes et en sortant deux balles faciles sur lesquelles je m’étais loupée. Trop heureuse, je restais concentrée et l’emportais au tie-break par 7 points à 4.
Mon coach me sourit après le gain de cette première manche et Mélanie était debout en train de m’applaudir. J’étais toute rouge de honte et de gêne, estimant ne pas mériter
autant d’enthousiasme de sa part en raison de mon piètre niveau. De plus, elle était la seule à m’acclamer…
Le deuxième set fut plus simple. Sabine était si furieuse d’avoir perdu un set contre moi, qu’elle se mit à pilonner de tous les cotés et sortit de plus en plus de balles.
J’eus la sensation d’être juste là pour lui donner une balle dans laquelle taper n’importe comment. J’avais presque honte lorsque le match se conclut à 7/6 6/1 pour moi.
Mon coach apparut aussitôt à mes cotés pour m’emmener au massage. Il avait payé pour que j’aie le droit à ce privilège et cela me fit le plus grand bien. Je me sentais
mieux que jamais et prête à rejouer l’après-midi…
Mélanie à ma sortie m’embrassa en me soufflant qu’elle aurait aimé me rejoindre là sous la douche mais que l’on se rattraperait le mercredi…
Mon maitre me poussa dans mon vestiaire pour que je file me laver et me changer avant d’aller déjeuner, non sans me masser et me pétrir avec tendresse les fesses…
A suivre...
Mes histoires vous plaisent, n'hésitez pas à m'écrire french_master@hotmail.fr
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