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Alice et sa maman

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Synopsis: Stéphanie est inquiète, elle s\'absente pour le week-end et a du confier sa petite fille adorée, Alice, à son voisin inquiétant monsieur Prédat.

Alice et sa maman

Par BMC (byBforbeMformyCforcunt)


Résumé.

Stéphanie est inquiète, elle s'absente pour le week-end et a du confier sa petite fille adorée, Alice, à son voisin inquiétant monsieur Prédat.

Qui est vraiment monsieur Prédat, Thor de son prénom; qu'elle ne connait pas très bien? Un type bien et incompris ou un pervers.

Qui est vraiment Stéphanie? Une maman aimante et attentionnée ou une mère indigne et une traînée.

Qui est Alice? une gentille fille ou de la graine de salope en train de germer prête à entamer une descente aux enfers.

Vous le saurez peut être un jour.


Alice et sa maman


Une jeune maman célibataire s'inquiète pour sa Fille.


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Je suis folle d'inquiétude depuis que j'ai quitté la maison. Je n'arrive pas à chasser les visions malsaines qui me hantent.


Est-ce-que ce sont  des prémonitions ou juste des angoisses qui se bousculent, je ne sais pas. J'ai promis à Alice de lui téléphoner lorsque je serais arrivée, puis ce soir et demain soir. Il est prévu que je sois de retour dimanche vers 17 heures.


Je m'en veux d'avoir abandonné Alice tout un weekend seule et sans baby-sitter, mais il est rigoureusement interdit d'emmener les enfants en séminaire. Tout comme il est déconseillé de refuser d'y participer, sous peine de licenciement dans les jours qui suivent.


Enfin elle n'est pas vraiment seule, monsieur Prédat sera avec elle, pas vraiment pour la surveiller, mais pour, quoi au juste je ne sais pas trop... A 13 ans à peine, elle ne les aura que dans 3 mois, elle est trop jeune, quoi qu'elle en dise, pour rester seule tout le weekend

Elle a eu beau supplier, mendier et promettre, je suis restée inflexible.


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Alice est un ange.


Je l'ai eue à presque 17 ans, suite à un accident de capote avec un petit con, beau gosse, pour lequel j'avais le béguin. Il était plus âgé que moi, j'avais 16 ans, il en avait 20 et c'était le super canon. Toutes les filles du bahut en étaient amoureuses, une vrai star. Le salaud n'a pas mis longtemps à trouver le chemin de ma petite culotte.


Il en avait culbuté plus d'une avant moi et à continué sur cette lancée après m'avoir mise en cloque.


J'étais éperdument amoureuse, je voulais me marier avec lui.  Il m'a larguée comme un préservatif usagé en me traitant de petite conne et en me faisant bien comprendre que le lardon c'était mon problème, mais pas le sien. 


Mes parents en bon catholiques pratiquants, ont refusé l'avortement et m'ont obligée à l'élever. Ils se sont mis à me regarder et à me traiter comme la pire des traînée.


J'ai été déscolarisée, car j'avais plus de 16 ans et j'ai du prendre un travail de (sous) secrétaire, corvéable, dans une grosse boite de la région.


Un travail exténuant de bonne à tout faire, du ménage des bureaux, à la rédaction des bilans de fin d'année en apportant le café avec le sourire à tout ceux qui claquaient des doigts.


J'étais mal payée, aujourd'hui encore, je fais un maximum d'heures supplémentaires, sans contrepartie. j'aurais fait et je fais, n'importe quoi, juste pour ne pas être licenciée.


J'aurais accepté de devenir le vide couilles de la compagnie si j'avais eu un patron branché cul au lieu d'une garce sèche et froide, à cheval sur la moralité de ses employés.


Souvent j'y pense lorsque je me masturbe seule dans ma chambre.


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La petite garce, a gâché ma vie. Je n'ai eu que quatre aventures depuis qu'elle est née, toutes ont tourné court dès que mes galants ont su que j'avais une mioche. Aucun n'a voulu s'engager plus, tous m'ont larguée rap-ido avec des prétextes bidons.

Je sais que je suis frustrée sexuellement. Ma seule consolation, mon seul exutoire, c'est le godemichet que j'ai commandé sur le net. Il est plus que de bonne taille, il ressemble à un sexe d'homme avec des veines en relief et tout, couilles comprises.

Il vibre plus ou moins vite, avec une petite excroissance qui me chatouille le clito quand je l'enfonce profondément. Cerise sur le gâteau, en position 3, il est agité de soubresauts et il gonfle. Si je le tiens fermement en appuyant bien sur les fausses couilles qui me servent de poignée, c'est comme si un mec me bourrait la chatte.


Sur 4, c'est génial, comme si je me faisais défoncer par un type brutal, je l'adore, cest le must du genre, nous ne sommes pas allé en vacances il y a deux ans, car il a pompé toutes mes économies, mais je ne regrette pas. Je l'ai bien amorti et il est toujours prêt.


Quand je vous dis que j'aurais accepté de devenir la salope de l'entreprise, au bureau, c'est parce que mes fantaisies, le soir dans mon lit ont pris un côté glauque et malsain qui vont crescendo.


Au début, je rêvais d'amour vanille et chocolat, cucul la praline. Je rencontrais un beau mec, je visualisais un acteur de cinéma, il me voyait dans le train de banlieue à la gare ou quand je faisais le courses, il tombait amoureux, me  faisais la cour et m'emmenait chez lui et nous faisions l'amour... Je me finissais à la main ou avec un petit godemichet à piles.


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Il y a 3 ans, à peu prêt, je me suis faite jeter, par mon dernier amant. Ce n'était pas le genre mignon prévenant et gentil, dont j'avais rêvé si souvent.


Il avait un côté voyou et avait tendance à me traiter comme sa pute personnelle. Je me laissais faire sans rien dire pour ne pas le perdre.


J'étais restée longtemps sans mec.


Quand je lui ais avoué que j'avais une fille de 10 ans, nous étions chez lui, nous "sortions" ensemble depuis trois mois environ.


Je dis sortir ensemble, mais en fait, il passait me prendre deux à trois fois par semaine à la sortie du travail, me passait un savon si j'étais en retard, m'amenait dans son studio et me sautait comme une commodité ou une pute. Seule vrai différence, il ne me payait pas, je faisais le ménage et je le dépannais souvent.


En vérité, il prenait ce qui lui fallait dans mon sac pour aller picoler et jouer aux courses et je rentrais chez moi retrouver ma fille en bus ou en RER.


Au début, quand j'étais pressée de rentrer chez moi et que je n'avais pas le temps de tout ranger et nettoyer, il me fichait une trampe ou des baffes jusqu'à ce que je fasse ce pour quoi je suis bonne, la bonniche. Après, par grandeur d'âme, il me tirait une deuxième fois pour se faire pardonner, et aussi parce que de m'avoir battue l'avait excité.


J'avoue honnêtement, qu'en plusieurs occasions, j'ai fait semblant de ne pas vouloir rester, juste pour avoir ma dose. Je sais, c'est pathétique, mais j'ai compris comment une fille pouvait finir sur le trottoir. S'il avait été moins exclusif, j'étais mûre.


J'étais mal barrée, mais j'y trouvais mon compte. Bien que je me sois pliée à tout, il n'a pas accepté le fait que je l'ai trompé et que je lui ais caché cette partie de ma vie.

Nous venions de faire l'amour, j'étais nue sur le lit quand je me suis confiée à lui. Il est entré dans une rage folle, totalement hors de proportions et il m'a battue à coups  de poings de pieds et de ceinture en magonissant d'injures. Je me suis roulée en boule contre la porte.

Il m'a attrapé par les cheveux et m'a jetée dehors toute nue.


J'ai eu beau tambouriner à la porte en pleurant pour qu'il m'ouvre et me pardonne, il est resté inflexible. Il est sorti un petit quart d'heure plus tard. J'ai eu une seconde d'espoir, mais il a jeté mes vêtements, qu'il avait déchirés dans sa rage, et mon sac, dont le contenu s'est répandu par terre. Il m'a appelée "salope" et "sale garce", ce qui est pire dans la bouche d'un homme. Il m'a dit de me casser vite fait, de plus jamais revenir le faire chier avec mon chiarre et il est parti au bistrot.


J'ai ramassé tant bien que mal mes affaires. Ma culotte avait disparu comme mon soutien-gorge. Les coutures de ma jupe avaient craqué tout du long et j'exposais plus que je ne cachait mon minou et mon derrière. Mon chemisier était en lambeaux et je n'ai pas pu le remettre. Mon gilet ne fermait plus et j'ai du le nouer sous mes seins qui étaient pratiquement à l'air.

Un de mes talons était cassé, j'avançais à cloche pied et l'enfoiré m'avait pris tout mon argent. D'habitude il me laissait assez pour que je paie le bus ou le métro.


J'ai dû rentrer à pied, faire 8km pour rentrer chez moi. Je me suis vue dans la vitrine d'un sex-shop, j'avais tout d'une prostituée qui avait fait une bonne journée et qui faisais tout son possible pour améliorer son score. 


J'ai du m'arrêter de travailler une semaine, pour que les contusions s'estompent et ne soient plus visibles avec beaucoup de maquillage. J'ai dit à Alice et à tout le monde que j'étais tombée dans les escaliers, mais à la façon dont les gens me regardaient avec commisération en pensant "la pauvre fille", je sais bien qu'ils ne m'ont pas crue.


De son quartier sordide à la petite maison de banlieue héritée de mes parents et en longeant le périphérique, j'ai eu droit à tout.

Les insultes des gens comme il faut. Les commentaires salaces et obscènes des jeunes et des gens un peu moins comme il faut. On m'a demandé combien je prenais pour une pipe, pour une passe classique et pour me faire troncher ou défoncer le cul.


J'étais en vrac, complètement paumée et épuisée. J'ai presque faillit accepter de faire  une passe avec un gros bonhomme tout moche et graisseux, juste pour finir le trajet en voiture.


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Après cette triste et dégradante mésaventure, j'ai fais une croix sur les mecs pour un moment et mon estime personnelle en a pris un bon coup.


Mes fantaisies ont pris progressivement un aspect différent. Dans mes fantasmes, mon copain, ne ressemblait plus à un jeune premier, c'était un voyou autoritaire et violent.

Il me baisait sans égards, méchamment en m'insultant. Il me prêtais à ses amis et j'étais prise à tour de rôle par plusieurs hommes. Je devais me prostituer pour lui et il me battait si je ne lui rapportais pas assez.


J'ai alors commandé mon nouveau jouet sur internet, il s'appelle "défonceur", et il mérite bien son nom. J'ai failli jeter mon ancien vibromasseur qui ne s'adaptait plus à mes nouveaux rêves, mais je l'ai gardé. Comme j'étais de plus en plus portée vers les séances virtuelles incriminant des partenaires multiples, j'ai honte rien qu'en y pensant, une fois  je me le suis enfoncé dans le cul. Depuis j'ai souvent recommencé.


Peu après, j'ai adapté mes fantasmes à mon environnement. J'étais le jouet et exécutoire de mes collègues de travail et de mes employeurs.

Ils me prenaient sans grand ménagement, à tour de rôle ou à plusieurs, pour évacuer leur stress. Ils me punissaient pour les erreurs que je faisais en orthographe ou pour avoir été trop lente. Ils m'obligeaient à m'habiller comme une pute...


Vous voyez un peu le genre de pensées que j'avais, et ces mêmes délires meublaient mes rêves nocturnes. il m'est arrivé souvent de me réveiller la nuit en sueur, pour me masturber frénétiquement


C'est lorsque Alice a eu ses premières règles à 12 ans et quelques et que ses nénés se sont mis à ressembler à deux jolies mandarines agressives et orgueilleuses que je l'ai incorporée à mes scénarios malsains. J'avais pris un plaisir coupable à lui expliquer, avec plus de détails que nécessaire, sans doute, les rapports entre les hommes et les femmes.


Non seulement la petite garce avait pourri mon adolescence, mais lorsque nous marchions côte à côte, c'est vers elle que les regards de tous les mâles se portaient.


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Alice est petite pour son âge, 1m45, et elle est toute menue.

Elle a un beau visage angélique aux traits fins et réguliers, de grands yeux bleus innocents et de longs cheveux châtain clair.


Elle est svelte souple comme une liane, mais pas maigre ni trop mince. Elle a conservé quelque chose de poupin de l'enfance et des lèvres boudeuse ou plutôt pulpeuses.


Elle a de longues jambes compte tenu de sa taille et de jolis petits seins fermes qui narguent le regard, avec leurs mamelons très sensibles et érectiles. Compte tenu de son gabarit, de son petit buste, ses petits nichons paraissent beaucoup plus gros qu'ils ne le sont réellement.

Elle attire le regards de tous les mâles concupiscents qu'elle croise, lorsque nous promenons ou quand nous faisons les boutiques.

J'attire aussi quelques regards, car à 30 ans à peine je suis plutôt bien roulée et loin d'être moche, mais je m'habille de manière conservatrice, alors que je lui fait porter des petits hauts transparents ou bien moulants, sans sous-tiff car elle n'en a pas besoin.


Elle met des minis jupe à ras la touffe, avec  des strings ficelle qui mettent en valeur ses formes graciles et de hautes chaussettes fines qui montent à mi cuisse.


Elle a de jolis petit pieds grecs bien cambrés et elle est ravissante avec des escarpins ou des sandalettes à talons avec des lanières.

Ce type de chaussures mi hautes, la grandissent un peu. Elles galbent bien ses jambes et lui font de beaux mollets. En elles ont pour effet d'accentuer la cambrure de ses reins, ce qui projette en arrière son petit cul rond et ferme . Un peu comme un joli cul de négresse qui se dandine quand elle marche.


Je lui ai carrément défendu les pulls, les jeans et toute pièce de vêtement un peu trop couvrante.


Elle est trop jolie, ce serait vraiment du gâchis de cacher tout ça.


Je dois reconnaître que j'ai eu du mal. Cette petite conne est timide et modeste, mais elle a le mérite d'être soumise et très obéissante.


Je ne peux m'empêcher de penser, quand je la regarde, qu'elle soit nue, ou habillée, qu'elle doit être l'exacte représentation vivante du rêve érotique de tout bon pédophile qui se respecte.


Lorsque je lui ai donné une leçon de choses à propos des filles et des garons, j'ai bien insisté sur le fait que les filles devaient être soumises. J'ai tiré quelques exemples de la Bible, qui est une mine d'or, de livres bon marchés orientés en ce sens et je lui ai fait voir quelques films sur internet auxquels elle n'aurait pas eu le droit d'avoir accès.


Attention, ne vous méprenez pas, je ne suis pas une mauvaise mère, je ne la bats pas, je ne suis pas cruelle, j'aime ma fille et je sais bien que rien de ce qui est arrivé n'est de sa faute.


Si je lui ais présenté le monde extérieur, sous l'angle de mes fantasmes, c'est peut être un peu parce qu'il débordent sur la vie réelle, mais c'était aussi et surtout pour lui faire partager mon expérience de la vie. Je suis convaincue de ne pas lui avoir menti.


Les princes charmants sur un beau cheval blanc dont on m'avait rebattu les oreilles enfant, n'existent pas. Je voulais qu'elle connaisse la réalité des choses pour ne pas tomber, comme moi, de haut quand elle y serait confrontée.


Nous menons une vie tout à fait normale, dans un petit pavillon de banlieue. Elle prend le bus à 50 mètres de la maison le matin pour aller à l'école et rentre à 17 heures régulièrement. Je l'aide à faire ses devoirs chaque soir et nous faisons les courses dans les magasins le samedi. Nous prenons parfois des vacances à la neige ou a la plage quand j'ai réussi à mettre trois sous de côté.


Si vous regardez les vidéos clips, les ados dans la rue, quand ils vont au lycée, ou quand ils sortent, les filles sont habillées comme Alice et souvent beaucoup plus mal quand elles ne font dans le punk, le gothique ou autre...


Alice est juste un peu plus jeune, mais elle va dans une école qui va de la 6ème à la terminale, elle est comme beaucoup et elle n'est pas montrée du doigt. Je dirais même au contraire, il y a toujours une meute de gamins qui lui tournent autour.


Si elle ne fréquente pas les autres enfants de sa classe, c'est parce qu'elle est trop timide et réservée. Pourtant,  comme je l'ai dit, elle attire les garçons, comme le miel attire les mouches.


Je suis un peu déçue que ses tenues qui sont faites pour lui donner de l'assurance et confiance en elle aient plutôt l'effet contraire. 


Elle dit que les autres filles sont jalouses à cause de ses nénés et que les garçons essaient toujours de lui toucher les seins, de lui peloter le cul ou de lui mettre la main au panier. J'ai été étonnée que ma petite puce si innocente connaisse ces tournures de phrase imagées.


Les enfants grandissent si vite.


Toujours, je la console quand elle revient de l'école un peu triste. Je lui dis que le autres filles, même celles des classes supérieures sont jalouses parce qu'elle est plus jolie, plus intelligente qu'elles et pas seulement à cause de ses seins.


Quand elle se fait insulter, traiter de traînée, de pute ou de salope, c'est juste de la méchanceté gratuite. Dabord ce n'est pas vrai, car elle a toujours son pucelage. Je contrôle régulièrement que rien ni personne n'ai forcé son trésor ou sa rondelle.


Les filles plus âgées sont dures avec elle car leurs petits copains s'intéressent plus à Alice qu'à elles, quand ils la voient.


Quand  aux garçons, ce sont des garçons et il ne faut pas qu'elle s'attende à autre chose de leur part.


Immatures, ils vous soulèvent vos jupes ou essaient de vous baisser la culotte, plus grand, ils cherchent à tripoter tout ce qui est à portée de mains.


Adolescents, avec la montée des hormones, ils cherchent une bonne âme du sexe opposé qui voudra bien soulager leur tension avec les mains, la bouche ou mieux et ils courent s'en vanter auprès de leurs copains après coup.


J'ai trop bien connu ça et j'ai  fini avec un polichinelle dans le tiroir à 16 ans.


Je sais que mon Alice est curieuse, mais elle est encore trop réservée, timide et modeste  pour franchir le pas. Elle aurait trop honte. Elle me raconte tout.


Heureusement que les ados, sont timides aussi, maladroits et qu'ils manquent de pratique.

Ils n'auraient besoin de la bousculer beaucoup pour en faire ce qu'ils veulent. Quelques mots biens sentis, une voix ferme et autoritaire et même sans avoir à lui donner de baffes ils en feraient une vrai marionnette. Elle reviendrait de l'école courbatue en marchand comme un canard, les jambe écartées.


Vous pensez que je mégare, que je dérape et que je glisse vers le fantasme. Vous vous trompez, je connais ma fille, ses qualités, ses défauts et surtout, sa plus grande faiblesse.


Je crois qu'elle tient ça de moi, elle est soumise comme moi, sans doute plus que moi, mais alors que, tant bien que mal, j'arrive à me contrôler, je la crois profondément masochiste en plus.

Pas le genre à s'auto-punir ou à se mutiler non, plutôt le style à se complaire et à prendre du plaisir à être battue, violée, forcée à faire des trucs sales par quelqu'un qui la domine.


En fait,  en y pensant bien, elle est tout à fait comme moi.


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C'est ce qui minquiète là, et qui fait que je suis tourmentée tout en ayant envie de me caresser car je sens monter mon excitation.


Quand je dois m'absenter un week-end, on ne me prévient toujours qu'au denier moment. Le vendredi après midi, pour le vendredi soir par exemple et rendez vous à plus de 50 bornes.


J'ai juste le temps de passer chez moi embrasser ma fille, lui expliquer que je dois retourner travailler, prendre une douche, me changer, appeler la baby-sitter, emballer quelques affaires... et je suis prête.


Aujourd'hui, tout est allé de travers. J'étais fatiguée et j'avais envie de me reposer avec ma fille et de bien profiter de Défonceur ce soir.


La voiture n'a pas voulu démarrer, il y avait des embouteillages et elle a donné des signes de faiblesse. Elle est vieille, mais j'espère qu'elle va tenir le coup encore un moment car je n'ai pas les moyens d'en changer. Il n'y avait plus d'eau, à cause de travaux en cours quelque part et la baby-sitter n'a pas pu venir.


J'ai supplié au téléphone, promis de doubler ses gages, rien à faire. J'ai fait le tour de mes connaissances, personne. Dans le voisinage, tous les pavillons se vident le vendredi soir.


La plupart du temps il ne reste que nous et monsieur Prédat, mais je ne voulais rien avoir à faire avec lui, à priori.


Je me suis assise sur le porche en criant un bon coup et j'ai pleuré. Alice me tenait la tête, et de sa voix toute douce me consolait en disant qu'à 13 ans elle était assez grande pour s'occuper d'elle même pendant 2 jours, mais je ne voulais rien entendre.


Au bruit que j'avais fait, monsieur Prédat est sorti sur le pas de sa porte. Nos deux maisons sont contigües, au fond d'une petite impasse privative qui ne dessert que nous, isolées des autres habitations. Elles ne sont séparées que de quelques mètres et par une petite barrière blanche avec un portillon qu'il a remis en état.


Il est venu vers nous, pour s'enquérir de nos problèmes. Quand il a su ce qui se passait, il a abondé dans mon sens en disant qu'il n'était pas raisonnable ni prudent de laisser une enfant de 13 ans seule le week-end entier, avec tous les cambriolages et les drôles d'histoires qui circulaient.


Il semblait légèrement amusé, comme si mon soucis n'en était pas vraiment un, ou comme s'il était content de ce qui m'arrivait.


Il a m'a spontanément proposé de faire office de garde d'enfant, pour moi, les 2 jours complets, sans vouloir être payé. Juste un service entre proches voisins et peut être amis dans l'avenir, selon ses propres termes.


Je l'ai bien regardé par en dessous, me demandant s'il était sincère, s'il cherchait à me draguer, ou s'il y avait anguille sous roche. Son sourire m'a dérangé encore plus, sa proposition résolvait immédiatement tous mes soucis, mais je n'étais quand même pas tranquille.


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Monsieur Prédat est un homme à qui il est difficile de donner un âge, parce qu'il est laid, qu'il fait peur et que du coup on n'ose pas le dévisager franchement.


Ses parents dotés d'un curieux sens de l'humour l'ont prénommé Thor comme le Dieu nordique. Prononcé vite, ça donne prédator. Tout un programme.


Ce que je peux dire de lui, c'est qu'il a entre 35 et 55 ans, peut être légèrement plus ou moins.


Pas de poils gris ou blanc dans sa barbe mal rasée ni sur sa poitrine, que sa chemise de bûcheron mal boutonnée laisse entrevoir, ni dans ses cheveux courts, châtains foncés.


Il est grand large d'épaules et impressionnant. Je fais 1m60, je suis plus grande que ma fille mais malgré mes talons hauts, il me domine largement de plus de 20cm. Je lui donne 1m90 pour un bon quintal.


Son visage carré, viril, est défiguré par une vilaine cicatrice à la Frankenstein qui va de l'oreille au menton. Je sais qu'il raconte qu'il a eu un accident de voiture alors qu'il n'avait pas attaché la ceinture, mais même si je ne suis pas spécialiste, ça m'a tout l'air d'un méchant coup de couteau. Il a le nez droit, mais cassé et aplati, comme celui d'un boxeur.


Il a d'étranges yeux gris pâle, impossible d'en définir la couleur précisément.

Difficile de soutenir son regard aussi, on a l'impression de plonger dans le vide. Si j'essaie, je deviens mal à l'aise, je perds mon peu d'assurance, je me mets à bégayer et je fini quand même par baisser les yeux tout en essayant quand même d'y replonger.


C'est peut être ça qu'on appelle un regard hypnotique. Je sais que je n'ai pas une grande force de caractère, mais j'ai bien remarqué que personne dans le quartier ne soutient son regard.


Nos voisins l'évitent autant qu'il peuvent, mais lorsqu'il s'arrête pour leur parler de la pluie ou du beau temps, personne ne s'avise de le contredire et tous font bonne figure.


Il respire l'assurance et la confiance en lui. Il pose sur ce qui l'entoure son regard vide, dominateur, comme un oiseau de proie, comme s'il voyait de choses qu'il était seul à voir et comme si tout lui appartenait.


Il me fout les jetons, mais le pire c'est la réputation qu'il a et qui a précédé son aménagement, il y a un peu plus de 6 mois.


Les rumeurs ont commencé à circuler quelques jours avant son arrivée.


"Un gangster, va venir vivre dans le quartier. Il a acheté la maison et il a payé cash en liquide. Il parait que c'est un tueur qui a commis plusieurs crimes et qui ne s'est pas fait prendre. C'est un parrain de la drogue venu se planquer. Il a été compromis dans des histoires pédophiles pas claires, mais il s'en ai sorti de justesse. C'est un violeur, il moleste les enfants, il a torturé ses victimes etc..."


A la longue trop c'est trop et je n'ai plus prêté l'oreille aux commérages. C'est vrai que la première fois où je l'ai vu, je lui avais apporté une petite tarte pour faire connaissance et lui souhaiter la bienvenue, il m'a fichu une trouille bleu.

Tous les ragots me sont revenus et j'ai pensé qu'il n'y avait pas de fumée sans feu.


J'ai un peu surveillé sa maison, discrètement, mais tout était calme, il ne faisait pas de bruit. Il recevait assez régulièrement des amis, seuls ou en groupe, mais ils se tenaient tous comme il faut.


j'ai cessé très vite, car un jour, j'ai vu qu'il m'a surprise à guetter comme n'importe quelle commère. Il m'a gentiment salué de la main avec son drôle de sourire et a tiré les rideaux.


J'ai un peu honte de moi car il m'a aidé en deux occasions, avec une politesse et une courtoisie d'un autre temps, à faire démarrer ma voiture.

J'ai eu honte de moi, mais quand je le croise avec Alice dans le quartier ou dans le centre, où il fait ses courses, il me glace les sangs.


J'ai l'impression d'être un petit oiseau face à un serpent. Il a un sourire de prédateur quand il nous regarde. Le seul truc qu'il ait de bien, ce sont ses dents. Bien blanches, il les montre quand il sourit et il me fait alors penser à un loup.


Je sais que ma  fille pense comme moi, alors, vous pensez bien que sa proposition m'a laissé sans voix. 


J'ai bredouillé quelque chose de peu intelligible pour expliquer qu'il fallait que j'en parle seule à seule avec elle. Je l'ai planté là, sur le seuil, j'ai fermé la porte et nous sommes aller discuter dans la cuisine, comme si nous voulions nous éloigner le plus possible.


Quand j'ai réalisé mon manque de politesse, c'était trop tard pour y remédier.


Alice a fait tout ce qui lui était humainement possible de faire et de dire pour que je n'accepte pas sa proposition. Elle a répété comme une litanie, qu'elle était assez grande pour se débrouiller, que monsieur Prédat lui faisait peur, qu'on racontait des choses sur lui et les enfants qu'elle avait entendu...etc.


Comme je ne cédais pas, j'étais trop dans la mouise pour pouvoir me permettre de refuser cette offre inespérée, elle ma littéralement supplié en versant des torrents de larmes sincères.


Devant tant d'angoisse, j'ai failli céder à ses suppliques, mais quelque chose d'autre que cet argument implacable, quelque chose de pas beau du tout, m'a amené à considérer la proposition du voisin sous un autre angle.


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Depuis un à deux mois, Prédator était, devenu le maître permanent de mes fantaisies. Avec l'aide de mon petit ami défonceur, je pensais de plus en plus souvent à lui. Je l'imaginais sans peine, aussi bien monté, vu sa carrure.


Il avait pris le dessus sur les autres visages dont je peuplais mes fantasmes. Il est grand fort dominateur, il me dirige comme un pantin, je suis son esclave sexuelle, et j'accomplis les moindres de ses volontés comme les plus vicieux de ses désirs.


Je ne vous raconterais pas tout ce qui s'est passé dans la sphère privée de mon imagination, mais si vous y mettez un peu du vôtre, vous vous y retrouverez vite dans cette fange, qui me fait honte, mais qui me permet de prendre un pied d'enfer.


Sachez donc que je suis sa maîtresse qu'il oblige à subir toute les humiliations. Il me traîne nue en laisse en public, il m'oblige à m'offrir à des inconnus n'importe où, y compris à des clochards et à leurs chiens... Il me punit au fouet, pour me comporter comme une truie en chaleur... Il m'oblige à servir des régiments entiers de partenaires de toutes race... Il me traîne dans des lieux sordides, des toilettes publiques où je dois boire des litres de semence  jusque à ressembler à une femelle prête à mette bas toute une portée... Je dois lécher les latrines, manger la m..... collée, décoller le sperme séché avec la langue...


Il m'oblige à lui livrer ma fille qu'il transforme en souffre douleur, ou en animal de trait ou en vache laitière ou bien encore en poulinière en lui faisant porter des bâtards à la chaine ... tandis qu'il m'oblige à assister impuissante, ou me force à participer activement, à sa dégradation...


Vous remarquerez, que dans mes rêves les plus sombres, je suis contrainte, je suis une victime aussi, je ne suis pas le bourreau de ma fille.


Jamais volontairement je ne lui ferais le moindre tort.


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Le petit quelque chose qui m'a fait basculer en faveur de la proposition de monsieur Prédat, c'est l'opportunité que cela me donnait d'alimenter mes fantasmes, de les ancrer dans une dose de réel, de pimenter ma vie par ailleurs bien triste et monotone.


Vous ne me croirez peut être pas si je vous dis maintenant que je ne prête pas foi aux commérages sur mon voisin. Pourtant c'est la stricte vérité.


C'est vrai qu'il m'intimide et qu'il me fait peur, mais mes chefs, mes collègues m'intimident et j'ai peur des chiens, même des caniches, des souris des araignées, des insectes...

J'ai peur des bruits violents et du silence que je trouve oppressant. L'énumération de tout (tous) ce qui m'intimide et me fait peur remplirait plusieurs bottins téléphoniques.


Je sais pertinemment que si le dixième de ce que j'ai entendu était vrai, il serait enfermé entre 4 murs pour des dizaines d'années et qu'il ne vivrait pas dans un petit pavillon de banlieue comme monsieur tout le monde.


En fait, je joue un peu à me faire peur et ça marche. Je me fais un film, et pendant tout le weekend, j'aurais des angoisses existentielles et inutiles, qui me provoqueront des orgasmes délirants.


Alors, oui, je suis inquiète pour ma fille et oui, ça me provoque des frissons de la savoir seule avec un homme dans notre maison, mais c'est vrai aussi que vu où ils sont situés et l'effet qu'ils me font, tous les frissons ne sont pas dus à la peur.


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Dès que j'arrive, je l'appelle. J'ai promis de l'appeler souvent pour nous rassurer toutes les deux. Pas toutes les heures quand même, je ne veux pas vexer mon voisin.


Il a bien voulu s'occuper d'Alice en restant chez nous dans la chambre d'amis, car ma petite sotte d'enfant gâtée n'a pas voulu aller chez lui. Il a accepté toutes ses conditions sans rouspéter.


Il m'a dit qu'il avait un diplôme dingénieur en quelque chose et qu'il lui ferait faire ses devoirs. Comme il m'a dit qu'il ne pensait pas avoir beaucoup beaucoup de centres d'intérêts communs avec une jeune fille de 13 ans, il lui ferait réviser son programme.

J'ai bien vu qu'il avait touché juste en la traitant comme une jeune fille de 13 ans et pas comme une enfant, j'ai pensé "il est plus futé que son physique de brute ne le laisse soupçonner, il est peut être vraiment ingénieur".


Comme je ne voulais pas que ma petite Alice le fasse tourner en bourrique, je lui ais dit d'être ferme avec elle, qu'elle n'avait pas eu de père pour l'élever et que moi, je manquais d'autorité.

J'ai insisté en sa présence auprès d'Alice pour qu'elle soit très sage avec monsieur Prédat et lui ais dit qu'elle devait lui obéir en tout point, en toute circonstance, sans discussion ni hésitations.


Ce n'est maintenant que je pense à ce que mes propos avaient de tendancieux.


Je viens peut être de livrer ma fille au caractère soumis à quelqu'un dont jai entendu dire qu'il molestait les enfants, qu'il était soupçonné de viols et de pire, en lui recommandant d'être ferme avec elle et en donnant pour seule consigne à ma fille de lui obéir en tout.


Grands Dieux! s'il arrivait quelque chose, se serait entièrement de ma faute. 


Je suis parcourue de frissons et une sueur froide coule le long de ma colonne vertébrale avant de se réchauffer subitement, en arrivant au niveau de mes reins, m'obligeant à m'arrêter pour  m'accorder à la main, un petit moment de plaisir coupable mais intense.


Je repense à mon voisin, il a peut être vraiment le béguin pour moi. Autrement, pourquoi ferait il ça?


Il me semble d'un coup beaucoup moins laid, il est viril c'est sûr, gentil, prévenant, poli et serviable, tout ça rien que pour moi.


Je sais qu'il est plus distant avec les autres habitants du voisinage. Il a tout de suite accepté ma fille, sans une ombre d'hésitation, il est ingénieur et bricoleur...


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Je me sens comme une midinette, en arrivant au centre où a lieu le séminaire.


Épilogue :


Il faudra que je rapporte un petit quelque chose à monsieur Prédat pour le remercier de sa gentillesse.

Qu'est ce que je ferais, dimanche soir? Ce serait bien de linviter à manger, mais il voudra peut être retourner chez lui...

Il en aura peut être marre d'Alice et va se détourner de moi....

Est ce que je vais lappeler Thor, ou est ce que c'est trop tôt... Moi, j'aimerais bien qu'il m'appelle Stef, mon prénom c'est Stéphanie au fait.

Mais si ça doit aller plus loin, s'il tombe amoureux de moi et moi de lui, comment lui faire comprendre que mes fantasmes ne sont juste que des rêves et pas ce que je suis vraiment. Rien que d'y songer, je m'embrouille, je panique. Il va me prendre pour une folle, une détraquée, ou alors il...

On verra bien plus tard où ça nous mène.

Bisous, à bientôt.


BMC




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