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Review This Story || Author: Perverpeper

Histoire de Sandrine

Chapter 2

Histoire de Sandrine (2)


Par Perverpeper le 10/06/08



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Synopsis�: Sandrine est une jeune lyc�enne. Quelques jours apr�s avoir f�t� ses 18 ans, alors que le baccalaur�at nest plus qu� quelques semaines, elle est enlev�e par une femme richissime qui linitie aux peines et aux joies de la soumission.


Il ny a point de passion plus �go�ste que celle de la luxure.

D. A. F. Marquis De Sade


Chapitre 2�: La surprise.


Protagonistes�:


Sandrine�:        Jeune lyc�enne �g�e de 18 ans depuis quelques jours.

Madame�:        Jolie blonde dune quarantaine dann�es Ma�tresse de Lisette.

Lisette�:        Petite soubrette dune vingtaine dann�es, au service de Madame.

Christelle�:        Ame damn�e de Madame.

Ghislaine�:        Amie de Sandrine.

Sylvie�:        Amie de Sandrine


Sans ajouter un mot, la femme blonde quitte la pi�ce, me laissant seule avec la petite soubrette. D�s le d�part de sa patronne, celle-ci sest redress�e et a entrepris, avec dext�rit�, d�ter mes entraves. Elle a parfaitement discern� ma d�tresse et cherche � me rassurer en me parlant avec douceur, dans un langage �tonnamment familier, qui tranche avec celui quelle employait devant sa patronne

��"Tinqui�tes", Madame est une femme g�niale. Dans quelques jours, tu la supplieras pour rester avec elle.��

��Tu es folle�! Comment peux-tu���

��Chuuut�! fais gaffe�! Y-a plein de micros et de cam�ras ici. Elle peut savoir tout ce qui ce passe ici. Tais-toi et ob�is-moi au doigt et � l�il, sinon faudra que je te punisse.�Surtout, ne cause que si je te le demande et ne me fais pas r�p�ter.��

Lisette a laiss� un de mes poignets attach� � la table. Cest avec soulagement que quitte cette position inconfortable. Assise au bord de la table, je contemple les bracelets de cuir qui enserrent mes extr�mit�s. Chacun dentre eux est pourvu dun anneau solidement fix� son int�rieur est rev�tu dune doublure en fourrure qui pr�serve ma peau. Cette marque de protection me rassure.

��Tiens bois un coup.��

Elle me tend un grand verre deau.

Tandis que je me d�salt�re, elle sactive dans les placards et revient vers moi en poussant un petit chariot � roulettes encombr� dustensiles. Avec des gestes traduisant une grande exp�rience, elle enduit les marques de cravache rougissantes qui ornent mon corps dune pommade fra�che qui me picote un moment avant de me procurer une �tonnante sensation bienfaisante.

���a va te faire du bien. Dans deux jours, peut �tre trois, on ny verra plus rien.��

Elle me masse longuement le ventre dun mouvement circulaire tr�s sensuel, �non�ant ses consignes dune voix assur�e�:

��Penche toi en arri�re� Tourne-toi� Avance���

Puis elle sagenouille entre mes jambes et proc�de de m�me avec mes cuisses. Lodeur de ma culotte impr�gn�e durine me fait honte mais son nez, � proximit� de mon entrejambe me procure une sensation �trange. Cela ne semble pas la rebuter et je finis par mabandonner � ses soins salvateurs.

��Hmmm�!!! Tu sens la pisse.�� chuchote-t-elle. ��Jadore �a.�� Continuant son massage langoureusement, elle avance la t�te et hume longuement ma culotte. Mon dieu, quelle impression bizarre. Mes pointes de seins sont plus dures que jamais.

���carte les jambes et surtout, pas un geste.�� Rajoute-t-elle, dune voix presque imperceptible. Elle pose d�licatement sa langue sur le bas de ma culotte et la fait remonter, tr�s lentement, en �pousant le trac� de mon sexe. Je sursaute et cest avec toutes les peines du monde que je parviens � rester immobile. Je ressens comme une d�charge �lectrique me traverser le ventre.

���a aussi, tu ty feras��� Dit-elle, �nigmatiquement, en se redressant et me fixant de ses adorables petits yeux verts encadr�s de taches de rousseur. Elle est vraiment tr�s jolie. Sa bouche sentrouvre et, avec un petit gloussement de plaisir, elle me donne un petit coup de langue sur le nez.

��Tu sens�?��

Abasourdie, je ne sais quoi r�pondre. Elle contourne la table.

��Couche toi sur le dos.��

Elle d�pose une noisette de pommade sur chacun de mes t�tons et sur mon nombril. La fra�cheur du produit me fait frissonner. La caresse de ses mains est d�licieuse. Le produit s�tale facilement et ses doigts glissent sur mes seins, �tirent mes pointes et se d�placent sur mon ventre en une caresse exquise.

Petit � petit, mon plaisir recommence � monter lorsquelle sinterromps pour aller se laver les mains.

��Maintenant, faut que tailles prendre ta douche.��

Elle me tend un collier en cuir, muni de plusieurs anneaux, et mordonne de le boucler autour de mon cou.

Cest plus fort que moi, je moffusque�: ��Mais cest un collier de chien�!!!��

Son regard inquiet me fait comprendre que jai fait une b�tise. Elle regarde un coin du plafond avec appr�hension. Jentrevois une petite cam�ra.

��La ferme, idiote, tu veux quelle nous corrige toutes les deux�?�� Son visage exprime une r�elle anxi�t�. ��Je tai dit de causer que quand je te le demande��� Rapidement, elle saisit une cha�ne dun bon m�tre de long et lattache au collier avant de le placer, dautorit�, autour de mon cou. Puis elle r�unit mes poignets dans mon dos et les  fixe par leurs anneaux.

��Suis-moi.�� Me dit-elle dun ton ne souffrant aucune contradiction.

Elle saisit la laisse et mentra�ne par le cou, � sa suite. Linfirmerie borde un long couloir que nous suivons pendant un long moment. Cette fille est vraiment un "mod�le r�duit". Je ne suis pas tr�s grande, mais malgr� ses escarpins � talons aiguilles, elle reste plus petite que moi.

Dune d�marche assur�e, elle me pr�c�de dans une pi�ce ressemblant � une douche collective qui me rappelle celles du gymnase de mon lyc�e. Elle est enti�rement recouverte du m�me carrelage blanc que "linfirmerie". Trois pommes de douches pendent sur le mur du fond et le sol, en pente douce, est �quip� de plusieurs bondes d�vacuation. Dans un coin, une cuvette de W.C tr�ne de fa�on incongrue. Dun geste rapide, elle me d�tache.

��Allez, grouille-toi de te d�shabiller et refile-moi ta culotte.��

Elle tend le doigt et d�signe le coin du plafond sur lequel japer�ois une autre cam�ra. Effray�e � lid�e de commettre un impair, job�is.

Elle me d�signe une douche. ��Mets toi l�.�� Dit-elle en tendant la main pour me prendre ma culotte et la glisser dans son tablier. Puis, elle accroche mes poignets � un crochet situ� au-dessus du pommeau.

Leau a un effet merveilleux sur ma peau. Elle est d�licieusement chaude et je me d�lasse en profitant au maximum de linstant.

��Pour le collier, si jamais madame ta entendue, nous allons passer un mauvais quart dheure, regarde�!��

Elle d�grafe son corsage et labaisse sur ses �paules, d�voilant un ventre plat et des seins minuscules stri�s de marques violac�es dont certaines sont encore boursoufl�es.

��Y-a deux jours quelle ma corrig�e.�� Elle se retourne et mexhibe son dos dans un �tat encore plus d�sastreux. ��Et je te montre pas le reste� Si jamais elle me d�rouille encore, va falloir que je reste couch�e pendant au moins une semaine.�Tu piges�?��

Bouche-b�e, je replonge dans le cauchemar. Une telle cruaut�... Jai limpression de ressentir ses br�lures. Mon estomac se r�vulse. Je suis au bord de la naus�e.

��Tourne toi que je te passe du savon�!�� mordonne-t-elle en se rajustant.

Peu � peu, le contact de ses mains ravive mon excitation. ��Le devant maintenant.�� Elle me savonne de la t�te aux pieds. Dieu que ses mains sont douces. ���carte les jambes.�� Toute pudeur abolie, je la laisse �uvrer sur mes parties intimes. Dieu que cest bon. Le savon rend le contact avec ses doigts tr�s agr�able.

��Cque tu es poilue. Va falloir raser tout �a.�� Elle mexplore, me manipule comme si j�tais un objet de plaisir. Cette sensation troublante exacerbe mon plaisir. Elle samuse un moment avec mes pointes. Elle les �tire entre le pouce et lindex en les tordant d�licatement avant de mabandonner subitement pour me d�tacher.

��Ok, maintenant le lavement� Fais gaffe, tas int�r�t � te laisser faire. Si on est trop longues��� La menace reste en suspend.

Un lavement�? Je croyais ce proc�d� barbare rel�gu� dans les oubliettes de lobscurantisme depuis le si�cle dernier.

��Est-ce que tu veux aller aux toilettes avant�?�� Me demande-t-elle en me r�unissant � nouveau les poignets sur les reins.

Cela fait un nombre incalculable dheures que je nai pas pu me soulager. Au comble de lhumiliation, toujours nue, je dois masseoir sur le W.C, les mains attach�es dans le dos, devant cette fille, sans aucun rempart pour m�nager ma pudeur. Ces �v�nements, tous plus fous les uns que les autres, se sont succ�d�s � un tel rythme que cette position avilissante ne me choque pas autant que je laurais cru. Lid�e du lavement minqui�te. Un tas de questions me br�le la bouche, mais, par peur des sanctions, je nose pas les poser.

Cette posture d�gradante me bloque un peu et jai du mal � me laisser aller. Apr�s ce qui me semble une �ternit�, Jai les joues en feu lorsque retentissent les bruits honteux que produisent mes intestins en se lib�rant. Les cuisses serr�es � bloc, t�tanis�e par la honte, je me vide, les yeux fix�s sur le sol. Enfin soulag�e, je nose me relever, attendant b�tement assise sur la cuvette.

Pendant ce temps, elle pr�pare ses instruments.

��T as fini�?��

Rouge pivoine, jacquiesce de la t�te. Elle me fait signe de me lever. Je mex�cute en mempressant de tirer la chasse deau.

� A genoux�� mordonne-t-elle. ��Penche-toi en avant et �carte les cuisses au max.��

Mortifi�e, job�is avec toutes les peines du monde.

��Appuie tes �paules sur le sol.��

Je me prosterne, face � la cuvette des toilettes. Le contact avec le carrelage froid et humide me rafra�chit quelque peu.

Elle sest plac�e derri�re moi. Son doigt glisse le long de mon intimit� pour s�parer mes chairs. ���carte tes fesses � deux mains.�� Jai limpression de vivre un r�ve �veill�. La position inconfortable a mis mes pointes de seins en contact avec le sol. Je les sens frotter par terre tandis quelle me nettoie m�ticuleusement avec un linge humide. Soudain, son doigt sappuie au centre de mon anus. ��D�tend-toi et �carte-toi plus.�� Lintrus effleure longuement ma petite corolle. ��Moi, jadore quon me le fasse.�� Elle samuse quelques instants avec le bout de son ongle avant de me p�n�trer lentement. Involontairement, je crispe mes muscles intimes. �� Tentends�? Faut te d�tendre si tu ne veux pas que je te fasse mal.�� �tonnamment, La douleur redout�e nest pas au rendez-vous. Je fais mon possible pour lui faciliter le travail. Apr�s quelques rotations, son doigt finit par p�n�trer compl�tement. Elle effectue quelques aller-retours avant de ressortir, provoquant une sensation de vide qui me frustre. Encore une fois, mon corps me trahit. � croire que finalement,�toutes ces humiliations contribuent � mon plaisir.

��Maintenant, la canule. Tinqui�tes, cest une petite. Reste d�tendue.��

Au m�me moment, lobjet p�n�tre mon anus. Elle a d� me lubrifier car je ne sens aucune r�sistance. Juste une impression davoir � nouveau besoin de me vider� Puis le liquide menvahit� Je me crispe. Labsence de diff�rence de temp�rature avec mon corps rend lop�ration peu sensible. Seulement une sensation bizarre dans mon estomac, limpression davoir pris un repas trop copieux. Je sens la peau de mon ventre se tendre. Pendant une �ternit�, lop�ration se prolonge.

��Voil�, �a y est.�� Dit-elle en retirant la canule. ��Mets-toi vite sur les WC et pousse pour �vacuer tout. Ne te retiens pas, sinon tu vas avoir des crampes.�� Elle maide � me relever et me guide jusqu� la cuvette.

Visiblement, elle sait de quoi elle parle. Jai � peine le temps de prendre place sur le si�ge, tant lurgence de restituer le liquide me presse. Je mabandonne honteusement � mon soulagement. Le bruit horriblement obsc�ne me fait � nouveau rougir jusquaux oreilles.

Elle r�p�te deux fois lop�ration avant de me nettoyer d�finitivement.

��Voil�, tes propre comme un "sou neuf"�� me dit elle en riant, tandis quelle range son mat�riel. ��Y a plus qu� te faire belle et on va pouvoir rejoindre Madame.�� Heureuse davoir subi l�preuve avec succ�s, je la suis docilement jusqu� linfirmerie.

****

Pas un instant, les souvenirs de ma "vie pass�e" ne sont venus me hanter. Une facette de ma personnalit� que je ne connaissais pas auparavant vient de m�tre r�v�l�e�

Elle me fait patienter et sort une chaise gyn�cologique et un petit fauteuil mont�s sur roulettes dun grand placard. Je my installe avec quelque appr�hension, tandis quelle pr�pare son mat�riel. Cette fois ci, le petit chariot contient tout un n�cessaire digne dun institut de beaut�: Produits de maquillage, de coiffure et de manucure. Un bol rempli de mousse � raser et un rasoir � lancienne compos� dune longue lame et dun manche avec une articulation pour le plier apr�s usage. V�tements et chaussures sont soigneusement pli�s et rang�s sur une �tag�re en bas du chariot.

Distraitement, jai plac� mes pieds dans les �triers. Elle place le petit si�ge rembourr� entre mes jambes, et sassoit, le visage � hauteur de mon sexe.

��Pour commencer, faut couper tous ces poils. Si Madame en trouve un seul, je vais d�guster��� � laide dune paire de ciseaux, elle �claircit le plus gros de ma toison, ne laissant quun lit de poils courts. Puis, elle humidifie mon pubis et lenduit de mousse. � mon regard inquiet, elle r�pond�: ��Jai lhabitude, tu sais. Cest moi moccupe du corps de Madame.�� Ses yeux brillent dun �clat trouble qui trahit plus que de la fiert�. Visiblement, cette petite bonne lubrique est folle amoureuse de sa patronne. Malgr� moi, je dois reconna�tre que, moi aussi, je trouve cette femme s�v�re tr�s s�duisante. Elle d�gage un charme et un magn�tisme presque obsessionnels.

Lisette sait sy prendre. Dun geste a�rien, elle �tale la mousse avec pr�cision, effleurant d�licatement mon pubis. De petits frissons d�licieux me parcourent le bas-ventre.

��Tu verras, cest vachement agr�able comme sensation. Au d�but, �a chatouille un peu, mais on sy fait tr�s vite.�� Ses gestes me font penser � ceux de lesth�ticienne chez laquelle ma m�re ma amen� lann�e derni�re pour me faire �piler les aisselles et le maillot avant de partir en vacances. Mis � part le fait que ce nest pas de la cire quelle utilise.

Le rasoir me picote l�g�rement quand il saccroche dans les poils r�calcitrants avant de les trancher. Je ne peux memp�cher de tressaillir.

��Surtout bouge pas, je risque de te couper.��

Lid�e d�tre bless�e � un tel endroit me paralyse. Je nai aucune difficult� � rester immobile comme une statue, lui laissant tout le loisir de mener son travail � bien. Ensuite, elle me fait avancer mon bassin et �carter mes fesses en ramenant mes genoux sur ma poitrine. Lind�cence de cette position me donne limpression que la chaleur de la pi�ce est mont�e dun cran. Jai les joues en feu et je garde les yeux fix�s obstin�ment sur le plafond. Quelques coups de rasoirs ont t�t-fait de venir � bout des rares poils qui ornent mon anus. Un petit coup de langue mutin entre mes fesses compl�te son travail.

��Voil�, cest fini.�� Dit-elle en passant son doigt au c�ur de mon intimit�. ��Ben dis-donc, tes compl�tement tremp�e.�� Comble de la honte, elle agite devant mes yeux, son index humide. ���a se voit que taimes �a�petite cochonne.�� Ajoute-t-elle en le mettant en contact plusieurs fois avec son pouce, samusant des fils gluants qui s�tirent entre ses doigts.

Je ne sais plus o� me mettre. Cette situation humiliante mexcite. Quelle d�ch�ance� Avec un petit sourire vicieux, elle glisse le doigt entre ses l�vres et le suce longuement, en me fixant droit dans les yeux. La temp�rature devient intenable.

Elle me rince � laide dun linge humide, et effectue la m�me op�ration sous mes aisselles. Puis, elle menduit dune cr�me parfum�e, quelle �tale doucement sur mes parties imberbes. ��Te voil� aussi nue qu� ta naissance.�� Dit-elle avec ce petit sourire qui me trouble tant. Ses doigts font merveille entre mes cuisses pour faire p�n�trer la cr�me. Enfin elle me saupoudre de talc. ���a va diminuer la br�lure du rasoir.�Tu devras toujours �tre impec de ce c�t�. Quand jai connu Madame, une fois, jai eu le malheur doublier quelques poils. Elle ma attach�e sur cette chaise et me les a arrach�s � la pince � �piler� Je te promets que jai d�gust�. Apr�s �a javais plus envie de recommencer.�� Dit-elle, les yeux dans le vague, comme si ce souvenir la rendait nostalgique.

Une l�g�re irritation me chauffe lentrejambe, procurant une sensation de d�mangeaison plut�t agr�able qui porte mon excitation � un nouveau stade. D�cid�ment, cette petite soubrette me fait aller de surprise en surprise. Cest parfaitement d�tendue et confiante, que je mabandonne � ses soins. Elle me coiffe, manucure mes pieds et mes mains, avant de me maquiller soigneusement.

���a y est.�� Me dit-elle en mettant une derni�re touche de fard sur mes joues. ��Attend de te voir dans une glace. Tu men diras des nouvelles.�� Son sourire radieux met en �vidence les ravissantes petites taches de rousseur qui encadrent son minois. Elle ma fait une paire de couettes tr�s serr�es qui me tirent un peu les cheveux. Mes l�vres et mes pointes de seins sont teint�es dun rouge � l�vres tr�s clair. ��Tes � croquer. Madame sera contente.�� Ajoute t-elle en se dirigeant vers un lavabo pour se laver les mains.

Dieu que cette fille est jolie. Sa courte jupe noire, recouverte par son petit tablier blanc, met en �vidence des jambes gain�es de soie noire, admirablement galb�es et rehauss�es par des escarpins noirs � talons aiguilles qui affinent sa silhouette. La coiffe blanche qui orne sa t�te lui donne un air coquin qui lembellit plus encore.

��Bon, maintenant faut thabiller.�� Dit-elle en consultant sa montre dun �il inquiet. ��Magnons nous, il ne reste que quelques minutes.��

Sa remarque me ram�ne sur terre. ��Quelle heure est-il�? Et quel jour sommes-nous�?��

��Chut, Sandrine. Fais gaffe. Tu ne dois parler que si tes interrog�e.�� Puis, en se penchant vers mon oreille, elle ajoute�en chuchotant���Ca va bient�t �tre midi, Madame nous attend pour la demie. Faut quon se magne.��

Mon cerveau ne fait quun tour. Midi� Cela fait donc pr�s de 24 heures que je suis retenue captive ici� Je prends alors conscience de la faim qui me tourmente. Le plus discr�tement possible, je chuchote ��est-ce que je pourrais avoir un verre deau sil vous pla�t�?��

Sans r�pondre, elle d�tache mes poignets, attrape dans un r�frig�rateur une bouteille sans �tiquette et men sert un grand verre. ��Bois, �a va te faire du bien.�� Je suis assoiff�e, ma gorge est s�che. Je me d�salt�re avec d�lices.

��Bon, la tenue maintenant. Tend la jambe droite.�� Elle a saisi une paire de bas noirs et entreprend de me les enfiler. Le contact soyeux du tissu me fait frissonner en glissant sur ma peau. Elle proc�de avec minutie et lisse le nylon � laide de ses deux mains pour le positionner. ��La couture doit �tre en plein au milieu et bien droite.�� Dit-elle en me passant le deuxi�me bas.

Les escarpins sont les m�mes que les siens, bien que les talons soient un peu moins hauts. Ils sont neufs et lodeur de cuir verni quils d�gagent est plut�t agr�able. Je constate avec �tonnement quils sont parfaitement � ma taille.

��On fait la m�me taille.�� Me dit la petite bonne. ��Madame trouve que mes pieds sont super, Je parie quelle va adorer les tiens.��

Elle mattache le porte-jarretelles autour de la taille et me fait lever pour tendre le tout. ��Surtout, pas de plis, y a rien de plus moche.��

Cest la premi�re fois que je porte ce genre de sous-v�tements. Un sentiment tr�s puissant de f�minit� sempare de moi. Cest comme si ces v�tements encadraient mon sexe imberbe pour mieux le mettre en valeur. Je me sens belle et d�sirable. Secr�tement, lespoir de plaire � la patronne de Lisette me traverse lesprit.

Elle me fait rev�tir un corsage blanc identique au sien et, � mon grand �tonnement, en attache les pans dans mon dos � laide dun �lastique � cheveux de la m�me teinte que mon rouge � l�vres. Aucun bouton nest fix� et ma petite poitrine d�nud�e semble surgir du v�tement, offerte.

��Parfaite�! tes parfaite�!�� Dit-elle en se reculant pour madmirer. ��Est-ce que tu vas pouvoir marcher sans te casser la figure�?�� Me demande-t-elle, soudain inqui�te.

Le compliment me va droit au c�ur. Je me sens belle� D�sirable. Je lui r�ponds fi�rement. ��Je pense que �a va aller.�� Jai d�j� �t� en bo�te de nuit avec ce genre de talons et je nai aucun doute sur mes capacit�s � me d�placer ainsi v�tue. Curieusement, lind�cence de ma tenue ne me choque pas.

Elle saccroupit � mes pieds et r�unit mes bracelets de cheville � laide dune cha�nette longue dune trentaine de centim�tres tout au plus. ��Faudra faire des tous petits pas si tu veux pas tomber.��

Puis, saisissant la poign�e de la laisse, elle me demande douvrir la bouche et sort ma culotte souill�e de la petite poche de son tablier. ��Jimagine que tu ne vas pas aimer �a mais��� Dautorit� elle me lenfonce entre les l�vres. Le d�go�t est plus fort que moi, je fais brusquement un pas en arri�re, manquant de tomber lorsque la cha�ne reliant mes chevilles se tend.

Elle tire s�chement sur la laisse pour me rapprocher delle. ��Fais gaffe, ne moblige pas � te corriger.�� Dit-elle en pr�sentant � nouveau le sous-v�tement devant ma bouche.

Au bord de l�c�urement, jobtemp�re. Ma soumission meffraie. ��Cest bien Sandrine, Madame sera contente. Surtout, quoi quil arrive, garde la dans ta bouche tant quelle taura pas autoris� � lenlever.�� Cette fois ci, je dois supporter non seulement lodeur mais aussi le go�t sal� et amer de mon urine.

Elle consacre quelques instants � la mise en place en place de la culotte, veillant � ce quune toute petite partie d�passe de mes l�vres. Lhumiliation exacerbe les sentiments contradictoires que je ressens au plus profond de mon �tre. ��Le plus d�licat sera de ne pas la tacher avec ton rouge � l�vres.�� Le plus d�licat, cest vite dit� On voit bien que ce nest pas elle qui subit cette humiliation� Quoique� Elle serait capable daimer �a�

Le souvenir des marques sur son corps me fait frissonner. Elle fixe mes poignets dans mon dos et, sans l�cher la laisse, prend quelques pas de recul pour me d�visager. Ses yeux glissent sur moi de la t�te aux pieds, appr�ciant son travail avec d�lectation.

��Je tenvie.�� Me dit-elle. ��Tas un corps splendide.�� Une petite flamme de jalousie perce dans son regard. ��Madame va tadorer.�� Ajoute-t-elle avec une petite pointe de regret dans la voix.


****

��En route.�� Elle pivote sur ses talons et me tire vers le couloir. Ma d�marche est malais�e, je dois veiller � faire de tous petits pas, sous peine de tendre la cha�nette qui relie mes pieds et perdre l�quilibre. Le claquement de nos talons accompagn� par le cliquetis du m�tal r�sonne dans mes oreilles.

Bient�t, nous passons devant la salle de douche et continuons � progresser lentement le long de linterminable couloir. Une succession de portes closes de part et dautre me fait penser � un h�tel. Lorsque enfin, nous en franchissons lextr�mit�, la diff�rence de temp�rature me donne la chair de poule. Une double porte vitr�e qui doit servir de sas sest ouverte automatiquement sur notre passage.

Nous sommes dans un hall octogonal, denviron six m�tres de largeur, dont la hauteur de plafond est impressionnante. Les murs enti�rement recouverts de miroirs donnent une illusion de profondeur impressionnante.

Lisette fait une halte et me fixe � travers un miroir. ��Alors, quest-ce que tu penses de mon travail�?�� Lair ahuri, je contemple mon reflet dans la glace. Je sais d�j� � quel point les talons affinent ma silhouette et cest surtout mon visage qui me trouble. Cette fille a des talents dignes de la meilleure des esth�ticiennes. Sans voix, je mapproche pour contempler son �uvre.

Les couettes mont fait rajeunir de quelques ann�es, mon pubis imberbe me rappelle le d�but de mon adolescence. Je ressemble � une petite fille trop vite sortie de ladolescence. Le maquillage discret souligne le bleu de mes yeux qui contraste comme jamais avec mes cheveux noirs comme l�b�ne. Jamais je ne me suis trouv�e aussi d�sirable.

Un instant, je songe � cette �mission t�l�vis�e que je regarde de temps � autre, dans laquelle les gens se font "relooker". Leffet est saisissant. Je comprends mieux la surprise quils peuvent �prouver lorsquon leur r�v�le leur nouveau physique. Mes couettes me rappellent lh�ro�ne dune s�rie t�l�vis�e dont jai oubli� le nom.

La fra�cheur de la pi�ce � rendu mes pointes de seins douloureuses, tant elles sont tendues. Ou bien est-ce lexcitation car, au m�me moment, une chaleur sournoise progresse dans mon entrejambe.

Gr�ce au jeu de miroirs, je peux contempler mes petites fesses bien rondes, mises en valeur par les bas noirs. Le collier de cuir qui mentoure le cou, mes petits seins dress�s dont les pointes sont dard�es, les entraves qui me lient les chevilles et mes bras li�s dans mon dos me donnent un aspect tr�s pervers.

Un instant, mes yeux croisent ceux de la petite soubrette qui me regarde avec convoitise. Seule ombre au tableau, ma bouche l�g�rement d�form�e par la petite culotte qui d�passe un peu entre mes l�vres sans pour autant, nuire � ma beaut�.

��Allez, cest pas tout �a��� Dune petite claque sur les fesses, elle interromps ma r�verie. ��Faut pas faire attendre Madame.��

Et nous reprenons notre progression et franchissons une nouvelle porte vitr�e, situ�e en vis-�-vis de la pr�c�dente, command�e elle aussi automatiquement. Un nouveau couloir enti�rement recouvert de moquette s�tire devant nous.

La demeure est r�ellement immense. De riches tableaux repr�sentant tous des nus de femmes, r�alis�s par les plus grands ma�tres ornent les murs, eux aussi, tapiss�s de moquettes. Petit � petit, je mhabitue � la nouvelle temp�rature. Sur la droite, une clart�, presque �blouissante, illumine le couloir. Il sagit dune salle de r�ception de plusieurs dizaines de m�tres carr�s, enti�rement bord�e de grandes baies vitr�es donnant sur un parc paysager. Au milieu de la pi�ce, jentraper�ois une table, gigantesque, toute en longueur pouvant accueillir plusieurs dizaines de convives. La patronne de Lisette doit �tre milliardaire.

Petit � petit, je mhabitue � mes entraves, ma d�marche est devenue plus assur�e et je redoute beaucoup moins de tr�bucher. Patiemment, Lisette ma fait progresser jusqu� ce que nous atteignions le bout du couloir en forme de T. Nous tournons � droite.

��Souviens toi bien, faudra parler que si on tinterroge.�� Me dit Lisette. ��Quand nous serons devant elle, tattendras � genoux, les yeux par terre. Attention�! ne fais rien pour la contrarier.��

Quelques m�tres plus loin, elle ouvre silencieusement une porte sur la gauche et me fait p�n�trer dans une nouvelle pi�ce au moins aussi vaste que la pr�c�dente. On dirait un salon ou un grand bureau. Cest meubl� avec beaucoup de go�t. Sur notre droite, quatre canap�s en cuir dangle forment un coin au milieu duquel un poteau se dresse jusquau plafond. Une paire de bracelets en cuir y pend, suspendue par des cha�nes fix�es en hauteur. Tandis qu� gauche, un bureau �quip� de plusieurs �crans dordinateurs tr�ne. Devant le bureau, plusieurs fauteuils sont dispos�s, comme sils attendaient de recevoir de la client�le.

��Vous voil� enfin�!�� Je sursaute. ��Nous avons bien failli vous attendre.�� Une femme rousse, aux cheveux tr�s courts, se l�ve en nous apostrophant. Sa tenue, du m�me cuir que le canap�, ma emp�ch� de la remarquer en entrant. ��Madame vous attend au bord de la piscine, h�tez vous un peu petites mollassonnes.��

D�sempar�e par laccueil, jinterroge Lisette du regard. Elle a baiss� les yeux et sest raidie sous lattaque verbale. Les baies vitr�es sont grandes ouvertes et un l�ger courant dair me donne la chair de poule malgr� la temp�rature estivale.

Lisette tire s�chement sur ma laisse et mattire vers lext�rieur. Surprise par son mouvement, je tr�buche en reprenant difficilement mon �quilibre.

��Lisette�!�� Nous-nous immobilisons toutes les deux. ��Joli travail.��

��Merci Christelle. Je suis contente que �a vous plaise.�� Sans plus attendre, elle tire de nouveau sur ma laisse et sort sur la terrasse. Apr�s mavoir conduit un peu plus loin vers la droite, hors de vue de la femme, elle me chuchote � loreille�: ��Cest Christelle. Cest le chauffeur de Madame et des fois��� Sa voix est tellement basse et je suis oblig�e de me pencher vers elle pour comprendre ce quelle dit. ��Des fois, cest elle qui donne les punitions��M�fie toi delle, cest une vraie peau de vache. Elle est compl�tement givr�e, une fois, elle ma tortur� avec un briquet. C�tait horrible, jai eu des cloques pendant plusieurs jours. Faudra que tu la vouvoies. Appelle la par son pr�nom et�ne la regarde jamais dans les yeux��� Lavertissement me fait froid dans le dos. Nous reprenons notre progression.

La terrasse donne sur une pelouse parfaitement tondue, enti�rement bord�e de grands arbres la dissimulant � tout regard indiscret. Nous longeons la maison profitant de son ombre. La chaleur du soleil est torride et la d�marche de Lisette sest l�g�rement acc�l�r�e. Je peine � la suivre lorsque nous quittons le sol ferme de la terrasse pour traverser la pelouse et nous diriger vers le coin de la maison.

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Enfin, nous d�bouchons sur une nouvelle aile du b�timent. Une autre terrasse ombrag�e donne sur une magnifique piscine aux dimensions olympiques. Je distingue trois femmes �tendues au bord de leau. Madame est allong�e sur le ventre, enti�rement nue. Son corps, �tonnamment  jeune, aux courbes parfaites g�t, nonchalamment abandonn� � la caresse du soleil. Deux jeunes femmes, lune, aussi brune que lautre est blonde, sont agenouill�es au pied de son "transat", nues elles aussi. Leurs yeux sont band�s et chacune saffaire sur lun de ses pieds.

Je ne comprends pas tout de suite � quelle activit� elles se livrent, mais soudain� Mes jambes samollissent. Un instant, jai limpression quelles vont se d�rober sous mon poids. Le sang quitte mon visage et je dois faire un gros effort pour ne pas m�crouler par terre. Ces deux jeunes femmes ne sont autres que mes deux amies�: Syl et Ghis� Elles ont les mains dans le dos et toutes deux l�chent abondamment, je devrais dire amoureusement, les pieds de Madame.

Un petit son s�chappe de ma bouche � travers mon b�illon, vite r�prim� par une secousse s�che sur ma laisse.

La petite bonne tire la cha�ne vers le sol pour me rappeler � mes obligations. Je magenouille humblement, tandis quelle mabandonne pour sapprocher de sa patronne et lui chuchoter quelques mots � loreille.

La blonde nesquisse pas le moindre geste. Elle semble �couter sans y pr�ter attention les paroles de sa servante. Une fois son rapport termin�, celle-ci se redresse et vient sagenouiller de lautre c�t� de sa Ma�tresse, face � moi. Elle a crois� les bras dans son dos et regarde le sol, � quelques dizaines de centim�tres devant ses genoux. Nous attendons le bon vouloir de Madame, dans un silence religieux qui nest entrecoup� que par les p�piements des oiseaux et les bruits de succion que produisent mes deux copines. Cette femme a vraiment un corps splendide, pas une once de graisse ou de peau flasque ne trahit son age. Ses fesses muscl�es et rondes, sans �tre lourdes sont bronz�es int�gralement. Elle garde sa position, semblant profiter avec d�lices de lhommage que Sylvie et Ghislaine rendent � ses pieds gracieusement offerts.

Nous devons patienter ainsi pendant une bonne demi-heure. La chaleur du soleil est difficilement supportable. Ma transpiration ruisselle sur mon front et entre mes seins sans que je puisse rien faire pour lemp�cher. Ma salive, qui tout � lheure imbibait abondamment ma culotte souill�e, commence � me manquer. Une soif terrible me torture. Enfin, apr�s une �ternit�, Madame daigne se retourner, interrompant mes deux copines. Elle consulte lheure indiqu�e par un petit r�veil plac� sur une petite table pr�s delle.

��Cest bien Lisette, tu es en avance. Jesp�re que tu nas pas b�cl� ton travail.�� Son ton froid laisse planer une menace implicite.���Va me chercher un rafra�chissement sil te pla�t.�� Dit-elle en d�signant son verre vide.

��Bien Madame.��

��Alors, quavons-nous l�?��

Je nai pas oubli� la consigne. Je fixe les dalles de la terrasse quelques centim�tres devant moi.  Cela ne memp�che pas de distinguer le mouvement quelle fait pour me contempler. ��Continuez, les filles, c�tait tr�s agr�able. Je sens ses yeux m�valuer de la t�te aux pieds comme un maquignon avec son  cheval. Mes deux copines ne se le font pas r�p�ter. Elles sempressent de reprendre leur t�che humiliante avec un plaisir non dissimul�.

Mon cerveau fonctionne � cent � lheure. Comment est il possible que les filles se soient retrouv�es dans cette situation. Sont-elles ici contre leur volont�? Sont-elles complices de cette femme�?


� venir�: le harem de Madame.


perverpeper@perverpeper.com

Vous pouvez trouver les illustrations sur mon site�: http://www.perverpeper.com


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