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J�appartiens d�sormais � Snake Ch 4
I belong to Snake
Coulybaca / Vulgus
Chapitre 4 : Une certaine routine s�installe entre les t�ches m�nag�res et les clients ou amis de Snake � �ponger !
J'arrivais chez Snake � l'heure, il me cria d'entrer. Il d�jeunait, je nettoyais la maison pendant ce temps, puis je fis la vaisselle.
Il me regardait travailler en costume d'Eve, puis il; m'emmena dans la chambre et me baisa rapidement. Je lui su�ais la bite pour la nettoyer une fois qu'il en eut fini., il se redressa alors et saisit un petit paquet dans son armoire.
Il m'enjoignit de l'ouvrir, sachant tr�s bien ce dont il s'agissait, je n'en avais aucune envie, mais je l'ouvris lentement.
Je ne saurai dire de quoi il s'agissait, une �trange bande d'�toffe. Je supposais imm�diatement que ce devait �tre un v�tement, plut�t du genre pute, mais je ne me figurais absolument pas comment cela pouvait se porter.
- "Bordel... " siffla Snake alors qu'il me regardait
- "Tu me sembles parfois particuli�rement stupide.....� On dirait une sombre idiote! .....� Ne vois-tu pas ce que c'est? .....� C'est un simple maillot de bain! ....� Regarde! ....." Il sortit une feuille de papier du paquet. C'�tait les instructions pour porter le maillot. En voyant les illustrations, je grin�ais des dents.
- "Enfile ce foutu bikini, salope! ....� Et fais bien attention de ne pas l'endommager, j'ai eu assez de mal � le trouver! ....� Ils ne font plus que des bikinis, des magnifiques bikinis bien sur, peut-�tre bien que je t'en ach�terais un bient�t......"
J'empoignais la bande de tissu et lus attentivement les instructions.
Je me redressais, la d�pliais et l'enfilais, elle ne couvrait absolument rien, les deux fines bandelettes couraient sur mon buste et s'attachaient dans le cou, elles n'�taient pas plus larges que mes mamelons et �taient � demi-transparentes.
Pour le bas, les deux bandelettes se rejoignaient formant un �troit triangle de tissu qui descendait sur ma chatoune empruntait le chemin de ma raie du cul et se liait � la taille.
Mon cul �tait totalement d�nud�, la partie qui �tait suppos�e dissimuler ma foufoune s'�cartait � chaque pas exposant mes babines intimes.
Les sangles courant sur mes t�tons ne me semblaient pas tr�s stables non plus.
Visiblement Snake aimait ma tenue..
Il semblait particuli�rement amus� de, constater la vitesse � laquelle le foutre s'�coulant de ma chatte avait d�tremp� les lani�res me passant entre les cuisses.
Il me reluqua longuement, prit une paire de photos puis me dit :
- "Il y a une tondeuse � gazon derri�re la maison, je veux que tu ailles couper les pelouses maintenant! ....� Des quatre cot�s... Commence par le devant de la maison! ....."
Je jetais un oeil sur ma tenue, j'�tais quasiment nue, ne portant vraiment que des chaussures, ce n'�tait pas bien.
J'acquies�ais et sortis � l'ext�rieur.
Je trouvais la tondeuse � gazon derri�re la maison comme il me l'avait indiqu�, c'�tait une vielle tondeuse � main rouill�e et lourde, et l'herbe n'avait pas �t� coup�e depuis au moins deux semaines, la journ�e s'annon�ait rude.
J'essayais la tondeuse en la poussant sur la pelouse de devant.
Une fois lanc�e, ce n'�tait plus aussi dur, mais cela restait tout de m�me une t�che tr�s physique.
Je d�marrais la taille de la pelouse devant la maison. Je devais arr�ter de temps � autre pour r�ajuster le haut de mon maillot sur mes miches, les bretelles ne faisaient que descendre.
En une dizaine de minutes je remarquais que les voisins s'int�ressaient � moi et s'agglutinaient autour de la pelouse.
Un homme sortit une chaise d'ext�rieur, traversa la rue et s'assit un verre � la main me regardant travailler.
Bient�t un autre voisin le rejoignit.
Le temps que je termine la pelouse de devant il y avait presque une douzaine d'hommes et plusieurs femmes qui me reluquaient en train de tondre la pelouse de Snake.
Toutes les maisons �taient proches les unes des autres et les bandes herbeuses �taient �troites aussi terminais-je rapidement l'avant et je pus me r�fugier derri�re la maison o� personne ne me regardait travailler.
Cela me prit environ deux heures pour tout terminer, j'�tais couverte de sueur lorsque j'arr�tais.
Je gagnais la porte, enlevais mes chaussures salies et les nettoyais, puis je me nettoyais les pieds et les jambes avant d'entrer.
Snake �tait assis dans le salon avec son voisin d'en face.
C'�tait un vieil homme tout rid�, je pense qu'il devait avoir 65 ans environ. Il �tait presque aussi large que grand, lorsque j'entrais dans la pi�ce, Snake me dit que le voisin se plaignaient de la tenue que je portais pour jardiner.
- "Tr�s bien......" pensais-je fugacement.
- � " Peut-�tre que je n'aurai pas le refaire...... �
- "Je sais ce que tu penses stupide salope! ...."
- "Viens ici et excuse-toi aupr�s de monsieur Steadman de l'avoir offens�! ...."
Je m'approchais de monsieur Steadman, me plantant devant lui et je commen�ais mes excuses, Snake me coupa la parole.
- "Esp�ce d'idiote,� mets-toi � genoux pour t'excuser! ....."
Je me laissais tomber � genoux et levais les yeux sur l'ignoble vieillard tout en m'excusant :
- "Je suis d�sol�e de vous avoir offens� monsieur Steadman..... Y-a-t-il quelque chose que je puisse faire pour me faire pardonner? ......"
- "Je crois bien qu�oui...� me r�torqua-t-il hilare....� Pour commencer pourquoi n'�carterais-tu pas cette sangle qui dissimule tes t�tons pour que je les voie mieux! ....."
Je tendais la main dans mon cou et d�nouais les sangles qui tomb�rent sur ma taille, puis je d�nouais les liens � ma taille, le micro bikini chut � terre, je le repoussais du pied. De toute mani�re il ne servait � rien, j'�tais aussi nue avec que sans. Son service �tait termin�.
Monsieur Steadman tendit la main empauma mes miches de ses petites mains grassouillettes, il les malaxa gentiment pendant quelques secondes.
Puis il se pencha en arri�re et me demanda de lui descendre son pantalon.
J'ob�is sans h�siter et bient�t je mis � l'air une bite d'une belle taille bien qu'encore molle.
- "Mes m�dicaments m�emp�chent de bander! .... Mais je pourrais tout de m�me me vider dans ta bouche si tu me suces vraiment bien ma petite dame....."
Je me penchais vers lui et embouchais sa bite. Elle �tait tr�s propre. Je le su�ais pendant un long moment, je ne pouvais le prendre en pleine gorge, son chibre �tait bien trop mou pour cela.
Imaginez mon d�sappointement.
Mais je le su�ais avec application et finalement il me saisit la t�te � deux mains et la maintint en place tandis qu'il �jaculait un filet de foutre dans ma bouche.
J'avalais prestement sa maigre potion et lui nettoyais scrupuleusement la mentule.
Il me tapota la t�te comme � une bonne petite chienne et me dit que j'�tais une bonne fille.
Puis il ajouta :
- "C'est bien d'avoir de bons rapports avec les voisins, ainsi ils ne se plaignent pas trop quand on fait une petite f�te! ....."
- "Tu vas te rendre dans la salle de bain et tu nettoieras les waters avant de prendre une douche rapide....."
- "Est-ce que tous ces hommes se comportaient comme des b�tes? ...."
- "Snake s�rement en tout cas....."�
Je gloussais � cette id�e. Je me rendais alors dans la salle de bain, nettoyais les toilettes souill�es, prenais ma douche, puis revins au salon.
Monsieur Steadman me regardait regagner le salon enti�rement nue, il s'esclaffa :
- "Mon Dieu ce que je donnerais pour �tre plus jeune! ....� j'adorerais ce genre de fille! ....."
Snake me dit de remettre ma tenue, nous allions sortir pour nous �cluser une bi�re.
Je retournais dan la chambre et retrouvais ma mini-jupe et mon micro soutien-gorge, je les enfilais s�ance tenante, sanglais mes chaussures, et retournais dans le salon.
Nous sommes partis vers la moto, je posais mes mains sur la taille de Snake et me tins serr�e contre lui.
D�s que la moto d�marra, les vibrations d�couvraient mes nibards et brise releva ma courte jupe.
Mais je m'effor�ais d'ignorer ces faits et de tenir bon.
En parlant de vibrations, tous ceux qui ont chevauch� des Harley saurant de quoi je parle.
Une fois que je sus que ne tomberais pas, alors que je n'�tais plus aussi terrifi�e que la veille, les vibrations me semblaient moins violentes.
Nous sommes retourn�s au bar o� nous �tions all�s la derni�re fois, � peine �tions nous entr�s dans le bar que Larry appela Snake, nous l'avons alors rejoint dans la partie magasin de fringues o� il dit � Snake qu'il avait re�u de nouveaux articles.
Nous y jet�mes un coup d��il.
Il y avait� une nouvelle jupe, de la m�me longueur que la mienne sauf qu'on aurait dit un� pagne, les deux cot�s �taient fendus jusqu'� la taille et il y avait un �cart de presque 5 centim�tres entre les pans.
Snake aima tout de suite cette jupe.
J'�tais celui que je portais et enfilais le nouveau.
- "Les gars vont dr�lement aimer �a! ..." pensais-je fugitivement.
Les cot�s de mes cuisses �taient nus sous l'�lastique qui ceignait ma taille. Il acheta deux autres articles.
L'un des deux nouveaux hauts pendait � mon cou et s'arr�tait juste sous mes nibards, par un lien se nouant dans le dos.
Mes miches �taient couvertes par un mince filet qui permettait de tout voir au travers.
L'autre �tait taill� dans le m�me style que le pagne,� un trou permettait de passer la t�te alors qu'un voile pendait sur les nibards juste assez pour couvrir les mamelons, une esp�ce de ficelle pendait � chaque coin permettant de le nouer dans le dos.
Mais d�j� lorsqu'il restait en place les cot�s de mes nibards prenaient l'air.
J'�tais tourn�e de profil et je voyais dans le miroir que l'ion pouvait ais�ment profiter de la vue de mes nichons sous cet angle.
Puis Larry ajouta :
- "Une chose encore......� Je sais que tu vas aimer Snake! ....." il nous emmena dans un autre endroit et nous tendit une minuscule combinaison.
Un calicot, le tissu et l�aspect �taient magnifiques, il comportait un lacet, les cot�s �taient transparents laissant les cot�s des nibards bien visibles, c'�tait vraiment adorable.
Mais c'�tait le type de parure � porter sur un sous-v�tement, bien sur ce n'�tait pas le cas pour qui appartenait � Snake.
J'enlevais ma brassi�re et enfilais pr�cautionneusement le calicot, il semblait si fragile! .... Je jetais un coup d��il dans le miroir, le spectacle �tait ravissant.
- "C'est d'accord..." accepta Snake
- "On prend le tout! ..... Peut-on passer aux choses s�rieuses maintenant? ...."
Larry r�pliqua :
- "Ils sont tous d'accord pour payer la passe 100 $, laisse moi disposer de sa foufoune pendant quelques minutes ainsi que la prochaine fois que vous viendrez� et nous serons quittes! ....."
Snake n'h�sita pas.
Larry emballa les articles dans un sac, � l�exception du calicot que je portais., il me le fit enlever et me tendit la main.
Il me dit de faire ce que Larry me demanderait jusqu'� ce qu'il en ait fini avec moi, puis de me rendre dans les toilettes pour femmes pour me nettoyer et de revenir pour renfiler mon calicot.
D�s qu'il nous laissa, Larry me prit dans ses bras et me roula une pelle passionn�e.
Ses mains se promenaient sur tous mes app�ts alors que sa bite enflait contre mes cuisses.
Il posa une affichette "De retour dans 15 minutes" sur la poign�e de la porte et m'emmena dans une resserre au fond du magasin.
Il descendit son pantalon sur ses chevilles et me poussa � me mettre � genoux.
Je le pris en bouche, il me dit alors que j'�tais une fantastique suceuse de bite et combien il avait appr�ci� ma chaude foufoune lors de ma premi�re visite.
Tandis que su�ais sa bite il palpait et malaxait mes nibards avec vigueur, puis il me retourna et me courba en avant.
Il me caressa la croupe pendant une bonne minute puis il �carta mes globes fessiers et entreprit de me l�cher le trou du cul.
Personne ne m'avait jamais dispens� cette caresse et j'�tais �bahie de ressentir un tel �moi.
J'�tais trop stupide pour comprendre ses intentions! .....
Il me bouffa le cul pendant quelques minutes puis il se recula quelques instants et soudain je sentis ses doigts se presser sur mon oeillet, ils �taient froids et graisseux.
Il introduisit son index dans mon trou du cul et le fit coulisser quelques instants dans mon �troit goulot, puis il r�p�ta le m�me processus avec deux doigts.
Tandis qu'il plongeait et retirait ses doigts de mon fondement il me questionna :
- "Est-ce ton premier enculage ma salope? ....." je ne comprenais pas ce qu'il disait, ce n'est alors que tout devint clair dans mon esprit.
- "Vais-je �tre le premier � t'enculer? ....."
Ces mots retinrent mon attention.
- "Quoi...� Non je ne veux pas.....� Vous ne pouvez pas me faire cela! ......� Je ne l'ai jamais fait! ..... Oh mon Dieu non! ...."
Je me d�battais bien un peu mais il me maintenait fermement et me pr�vint :
- "Veux-tu que j'appelle Snake pour lui dire que tu te refuses � moi! ...."
- "Non....." soupirais-je d�j� r�sign�e � mon triste sort.
Sur ces mots je m'effor�ais de me d�contracter attendant que la douleur survienne.
Larry extirpa ses doigts de mon trou du cul et les essuya sur mes fesses.
Puis il aligna son �paisse mentule sur mon d�licat troufignon et for�a.
Il poussa, poussa et finalement le gland p�n�tra mon sphincter.
Je couinais de douleur alors que Larry grognait son plaisir.
Une fois la t�te de sa bite enfouie dans mon boyau, il se mit � me forcer imparablement s'enfon�ant impitoyablement dans mes reins r�tifs.
Dieu que cela faisait mal! ......
Ses grognements de plaisir me rendaient encore les choses plus sinistres.
Enfin je sentis son �pieu enti�rement enfoui dans mon intestin. Son estomac me frappait les fesses alors qu'il entreprenait de me ramoner le cul en profondeur.
Il avait tendu la main en avant et me malaxait rudement les nibards d'une main tandis que de l'autre il triturait ma cramouille.
Sa bite coulissait avec �pret� dans mon anus asservi.
La douleur devenait insupportable, quelques instants plus tard il me saisit fermement les hanches et se mit � grogner et � mugir tout en me labourant sauvagement, j'avais peur qu'il ait une attaque tant il se d�menait en grognant comme un porc.
Enfin je le sentis trembler de tous ses membres alors qu'il crachait son �pais venin dans mon intestin distendu.
Il se pressa contre moi, enfoui en moi pendant quelques instants, puis il rel�cha mes hanches et je tombais en avant.
Il me saisit alors les cheveux et me for�a � me retourner et mme roula un patin passionn� me confiant que c'�tait le meilleur coup qu'il ait jamais tir�.
Il m'embrassa � nouveau puis me for�a, � m'agenouiller pour que je nettoie sa bite des traces excr�mentielles qui la souillait.
Sale trou du cul! ... Je dus lui nettoyer la bite malgr� mes hauts le c�ur! .....
Cela n'�tait pas si mauvais que je le craignais, sa bite go�tait surtout le lubrifiant qu'il avait employ�, un lubrifiant aromatis� � la vanille.
Il se releva et se rhabilla, je me dirigeais vers la porte et bandais mon esprit pour affronter le chemin qui menait du bar aux toilettes alors que j'�tais enti�rement nue, je serrais les fesses � chaque pas pour �viter que trop de foutre s'�coulant de mon anus ne r�v�le ma triste �preuve, et ma nouvelle condition d'encul�e.
D�s que je franchissais la porte de communication, les sifflets et les commentaires salaces d�but�rent, ils accompagn�rent tout le long du chemin menant aux toilettes pour dames.
Je m'assis sur le bidet et expulsais la plus grande part de la semence de Larry, comme je le pouvais, puis je gagnais l'�vier et me nettoyais avec du papier toilette.
Pendant que je me nettoyais la chatte, une femme entra dans les toilettes, Elle me fixa des yeux, me sourit et hocha la t�te comme si cela arrivait tous les jours, comme si c'�tait ma destin�e.
Je sortais des toilettes et jetais un oeil vers Snake accroch� au bar.
Je me dirigeais vers lui, sans m�me cherche � essuyer les mains baladeuses qui testaient mes app�ts. Cela n'avait aucune importance.
Je me postais � cot� de Snake au bar, il interrompit sa conversation avec la femme qui m'avait aid� � me nettoyer la derni�re fois que j'�tais venue, et me demanda comment �a s'�tait pass�.
- "Aussi bien que possible... " lui r�pondis-je servilement " il m'a d�fonc� le trou du cul! ....� C'�tait la premi�re fois que je me faisais enculer! ......� Il m'a fait un peu mal! ....."
Ils sourirent en ch�ur et reprirent leur conversation, m'ignorant totalement.
J'aurais aim� boire un coup, mais j'avais peur de le demander, j'avais peur de ce que je devrais faire pour obtenir une boisson.
Par ailleurs il se faisait tard, il faudrait que nous retournions rapidement chez Snake, je devais �tre chez moi d'ici peu.
Tandis que j'attendais Snake j'aurais aim� ne plus �tre nue, c'�tait vraiment tr�s g�nant d'�tre la seule personne nue dans cette foule. D'autant plus que chaque fois que quelqu'un passait � cot� de moi, il me pelotait avidement le cul.
Finalement Snake me donna ma combinaison que j'enfilais prestement, c'�tait mieux que rien.
Mes t�tons �taient couverts et ce n'�tait pas plus court que ce qu'il m'avait d�j� forc�e � porter pour son grand plaisir.
On sortit pour rejoindre la moto, je posais le sac entre nous et priait pour rester en vie alors qu'on retournait chez lui.
En entrant dans sa maison j'�tais ma combinaison.
Snake jeta un oeil; sur mon trou du cul et commenta :
- "Il va s'�largir peu � peu...� Je vais le laisser t'enculer encore une paire de fois pour t'�largir le goulot, puis ce sera mon tour! ...."
- "Oui ma�tre... " lui r�pondis-je docilement.
- "Vous ai-je d�j� dit que Snake avait une bite �norme? ..... C'est pour cela que je comprenais sa d�marche! ...."
Snake me courba sur une chaise et me baisa� � nouveau.
Puis il me laissa ma rajuster. Il me tendit le sac de v�tements et le laissa retourner chez moi, je devais revenir � la m�me heure le lendemain.
Je me pointais � l'heure dite le lendemain, et comme d"habitude il m'avait fait venir pour travailler, je dus le sucer, puis je nettoyais la maison il me dit alors que cela suffisait pour aujourd�hui.
C'�tait une grande nouvelle je pouvais vraiment retourner chez moi m'occuper de mes travaux domestiques.
J'�tais chez moi vers 10 heures et je passais la journ�e � m'occuper de la lessive et � nettoyer la maison, puis j'allais faire des courses � l'�picerie du coin.
Je me sentais fatigu�e en d�but de soir�e, mais j'�tais contente d'avoir pu m'occuper de mon chez-moi.
Le lendemain ce ne fut pas du tout le m�me tabac, Snake semblait fort m�content, il n'avait pas assez dormi, aussi jusqu'au moment o� il se fut correctement repos�,� je dus m'acquitter des travaux m�nagers, il ne me r�clama qu'une pipe qui sembla le r�jouir.
Lorsque je terminais les travaux m�nagers ce vendredi j'�tais libre pour le week-end.
Ces deux derniers jours avaient �t� franchement supportables compar�s aux jours pr�c�dents.
Et maintenant je pouvais passer mon week-end � m'occuper de Jay.
Il �tait tout excit� en rentrant � la maison, il devait passer semaine suivante � Atlanta pour y repr�senter sa compagnie, c'�tait une grande opportunit� de monter en grade et j'�tais contente pour lui.
Je le priais de m'emmener avec lui, si Snake se rendait compte que j'�tais seule � la maison pendant toute� la semaine, en fait pendant 9 jours cons�cutifs, ma vie deviendrait u v�ritable enfer.
Mais en fait, il ne pouvait pas m'emmener et je n'avais aucune raison valable d'insister, je ne pouvais tout de m�me pas lui dire pourquoi je voulais l'accompagner.
Le week-end se passa vite.
Apr�s nous �tre rendus � l'�glise, comme j'�tais assise dans la voiture sur le chemin de la maison, il me vint � l'esprit que j'�tais la seule consciente des �normes changements qui survenaient dans ma vie.
Je, n'en avais parl� � personne, personne ne savait que l'on me faisait chanter et que je m'�tais fait violer � r�p�tition, que je me rendais chaque matin chez Snake, entre autre pour lui tailler une pipe, que je dissimulais des tenues de pute dans ma garde-robe.
Personne non plus ne connaissait les changements survenus en moi, mais moi je les connaissais.
Le lundi matin, je consultais ma boite aux lettres alors que Jay �tait parti au boulot.
J'avais un message de Snake me disant d'�tre l� � l'heure habituelle.
Je me douchais rapidement et enfilais l'hideuse nouvelle jupe qu'il m'avait achet�e, je pouvais enfiler n'importe quelle brassi�re, aussi fermais-je les yeux et en pris une au hasard.
Je d�testais les v�tements que j'avais choisi, mais comme je ha�ssais tout autant les autres, J'enfilais le ce haut que j'avais pris dans ma commode.
Il s'agissait d'un bout de tissu qui s'enfilait par la t�te, qui couvrait tr�s partiellement ma poitrine et �tait li� dans mon dos, exposant presque enti�rement le profil de mes nichons.
Je me tournais de part en part devant mon miroir.
Il s'en fallait de peu pour que mes nibards s'�vadent � chacun de mes mouvements.
Ce qui me frappa, c'est que je ne semblais plus y pr�ter une grande attention, je pensais simplement que j'�tais tr�s sexy! ....
Lorsque je r�alisais ce que je pensais, j'en fus confuse au-del� de toute expression.
Je sortis et montais dans ma voiture pour gagner la maison de Snake, arriv�e � la porte je frappais, je n'entrais que lorsqu'il m'y invita.
La premi�re chose que je vis en entrant c'est le bordel qui r�gnait dans la maison.
Comment quelqu'un pouvait-il semer un tel bordel en un week-end? ....
La salle �tait jonch�e de cannettes de bi�res vides ou � demi-pleines, des m�gots tra�naient partout, je r�alisais que Snake et ses amis �taient de v�ritables vandales.
Snake avait d�j� d�jeun�, il m'attendait assis me regardant fixement tandis que je le mettais � poil.
Il me dit seulement :
- "Comme d'habitude ma ch�rie, fais-moi une bonne pipe puis tu t'occuperas du m�nage....."
Je me laissais tomber � genoux et lui su�ais la bite.
Je fus toute surprise de voir � quel point cela me parut facile, �bahie, je constatais que je me r�jouissais presque de le cajoler.
Cela ne me faisait m�me plus mal de l'accueillir au fin fond de ma gorge! .....
Lorsqu'il�� finalement il gicla, j'avalais prestement attendant bite en bouche, qu'il me repousse.
Il allait se lever, je pensais qu'il me serait plus facile de commencer par la chambre que je remettrais en ordre avant qu'il ne se couche.
Aussi lui demandais-je timidement :
- "Puis vous demander quelque chose ma�tre? ..."
Il me regarda l'air ennuy� mais r�torqua :
- "Oui, que veux-tu? ...."
- "S'il vous plait monsieur, laissez-moi retaper votre chambre et changer les draps de votre lit avant que vous n'alliez vous �tendre! .....� Cela ne me prendra que quelques minutes, je me h�terais....."
Si je devais faire son satan� m�nage, je ne voulais pas que sa chambre se retrouve dans le m�me �tat que la semaine derni�re."
Il me fixa pendant une bonne minute, et d�cida que c'�tait une bonne id�e.
Il se rassit, j'empoignais quelques outils de nettoyage dans la cuisine, une paire de draps propres et je m'empressais de gagner sa chambre.
Quel bordel! .....
Je travaillais aussi vite que je le pouvais mais je ne faisais que nettoyer le plus gros.
Puis je changeais les draps et retournais dans le salon lui dire que son lit �tait fait.
Il se leva, entra dans la chambre et ferma la porte dans son dos.
J�entrepris alors de nettoyer la maison.
Comment �tait-il possible de faire un tel bordel en deux malheureux jours? .....
J'avais rang� les outils de nettoyage et avais trouv� que Snake poss�dait m�me un vieil aspirateur. Il �tait rang� dans les toilettes et ne n�cessitait que l'emploi de quelques sacs.
Je nettoyais enti�rement la baraque de Snake, j'�tais pr�te � retourner chez moi sur le coup de 11 heures et demie.
J'�tais sur le point de me rhabiller lorsque monsieur Steadman, le voisin d'en face, toqua � la porte.
Je ne l'avais pas vu arriver, j'�tais toute effarouch�e.
Je m'empressais d'ouvrir la porte, il sourit en me voyant ouvrir enti�rement nue.
- "Snake est couch� monsieur Steadman..." avan�ais-je sereinement.
Monsieur Steadman hocha la t�te et r�pliqua :
- "Je sais... Je lui ai parl� hier soir et il m'a dit que je pouvais que je pouvais venir quand je le voulais si j'avais envie de me faire tailler une nouvelle pipe! ...."
Par Dieu, je n'aimais pas faire de fellation � ce path�tique petit homme, bon sang, il avait tant de mal � durcir.
Bon sang cela faisait la deuxi�me fois que j'implorais en vain le nom du christ depuis que j'avais rencontr� Snake! ....
Je me reculais pour le laisser entrer, il d�boutonna tout de go son pantalon et le laissa tomber sur ses genoux et s'assit.
J'allais me laisser tomber � genoux entre ses cuisses, mais il interrompit mon mouvement, me pla�a de cot� et me dit de me courber sur sa bite.
De cette fa�on il pourrait peloter tous mes app�ts tandis que je le sucerais.
Je pris sa bite molle en bouche et je su�ais de mon mieux sa mentule qui refusait de bander.
Elle tressautait parfois entre mes l�vres, il g�missait alors de bonheur tout en promenant ses mains sur mes charmes.
C'�tait d�gradant au possible, mais cela ne prit pas trop longtemps pour qu'il expulse un faible jet de liquide aqueux dans ma bouche.
C'�tait encore plus acide que la derni�re fois, peut-�tre bien que je r�amor�ais la pompe de ce vieux d�bris.
Monsieur Steadman me quitta prestement, je me rhabillais et regagnais rapidement ma maison o� je repris une bonne douche et me brossais les dents.
Puis, je m'occupais de faire mon m�nage.
Cela ne me prit pas longtemps, d�s que j'en eus fini, je m'assis confortablement et me mis � penser � Snake.
Je me repr�sentais dans ma tenue de salope bais�e dans le bar des motards, puis je m'imaginais ce � quoi je devais ressembler d�ambulant nue dans le bar.
Dire que Snake me prostituait � tous ces hommes pour acheter de plus en plus de tenues de putes.
Tout en pensant � tout cel�, je me caressais la chatoune et je ne tardais pas � jouir avec intensit�.
Je ne parvenais pas � croire que je venais de me livrer � ces actes! .....
Puis quelque chose d'autre me frappa, je venais de nettoyer ma maison enti�rement nue! ......
Que devenais-je donc sous la f�rule de Snake? ......
J'avais besoin de faire quelque chose pour m'occuper l'esprit, j'allumais mon ordinateur et v�rifiais mes mails.
Mon mari m'avait envoy� le planning de son voyage � Atlanta la semaine prochaine.
Il partirait samedi de fa�on � �tre l� pour le petit d�jeuner du dimanche.
Ils travaillerait d�s ce dimanche et ne serait pas rentr�s avant dimanche matin de la semaine suivante.
Nous n'avions jamais �t� s�par�s auparavant, et cette id�e me rendait anxieuse, mais en m�me temps je me disais que cel� me ferait du bien de disposer d'un peu de temps de solitude pour r�fl�chir.
Depuis la semaine derni�re, quand j'�tais devenue la pute personnelle de Snake toute ma vie avait tourn� autour de Jay, de ma maison et du seigneur naturellement.
Je ne pensais plus qu'� eux, lentement mon horizon s'�tait �largi, je pouvais prendre un peu de temps pour tenter de ramener un peu de s�r�nit� et de calme dans ma vie.
J'allais �teindre mon ordinateur lorsque je re�us un nouveau mail de Snake.
Il contenait pas mal de photos de moi, la plupart prises dans le bar.
Une paire me montrait d�ambulant nue parmi les consommateurs, mais la plupart me montrait copulant avec un ou des hommes.
Je pris une nouvelle douche rapide, m'habillais et pr�parais le souper.
Lorsque Jay arriva, nous avons mang�, discutant tout le long du repas de son voyage.
Je n'�tais pas vraiment heureuse d'en discuter mais je parvins � garder mon calme.
Il savait ce que j'en pensais et sentis que ce sujet m'attristait aussi finit-il par changer de sujet de conversation.
Je trouvais incroyable, qu'apr�s tout que j'avais endur�, il n'ait pas not� de changement dans mon attitude.
Plus tard cette nuit, lorsqu'il vint au lit nous avons fait l'amour, cela ne me r�jouit pas vraiment.
Tout d'abord j'avais peur qu'il ne voit combien ma chatte �tait distendue en me p�n�trant, lorsque je r�alisais qu'il ne le pouvait pas j'essayais de me d�contracter pour me r�jouir de faire l'amour agr�ablement.
Mais, quelle qu'en soit la raison je n'�tais pas aussi excit�e que d'ordinaire! .....
Snake avait amen� trop de bouleversements dans ma vie pour que cela ne change en rien mon attitude envers mon mari.
Mais je ne parvenais pas � d�cider si ces diff�rences �taient d'ordre mental ou physique.
Lorsque Jay obtint finalement son petit orgasme je fus sur le point de me pencher machinalement sur son ventre pour lui nettoyer la bite avec ma langue. Cela aurait pu �tre int�ressant! ...
Mais au lieu de cela, je me rendis dans la salle de bain et me lavais enti�rement.
Puis, je revins au lit et restais �veill�e pendant longtemps en pensant � ma r�action lorsque mon mari m'avait fait l'amour.
Est-ce parce que j'�tais �reint�e? .....
Ou avais-je besoin de me sentir humili�e ou brutaliser pour orgasmer? ....
Mon Dieu j'esp�rais bien que non! .....
Je consultais ma boite aux lettres le lendemain matin, j'avais un message de Snake.
Il �tait all� se coucher t�t, je devais venir faire son m�nage, faucher de nouveau la pelouse en portant la m�me tenue que la derni�re fois puis, je pourrais prendre une douche en attendant qu'il se r�veille.
J'enfilais de nouveau ma mini jupe ultra courte, le top transparent, mes chaussures de salope et je partis chez lui.
Je me d�shabillais � la porte et nettoyais rapidement la maison.
Ma tenue de salope pendait � un crochet derri�re la porte, je l'enfilais et sortis pour chercher la tondeuse.
Cela ne me paraissait plus si humiliant que cela apr�s cette nuit.
Elle ne se trouvait pas l� o� je l'avais rang�e la derni�re fois, je remarquais que quelqu'un l'avait graiss�e.
Elle �tait beaucoup plus facile � utiliser de ce fait.
Je la poussais sur la pelouse de devant et je vis que monsieur Steadman savait que je devais tondre la pelouse ce matin.
Il �tait d�j� install� sur son fauteuil, tout comme quelques uns de ses amis.
Je leur fis un grand signe de la main pour les saluer, et je commen�ais mon labeur, je les ignorais totalement concentr�e sur mes mouvements.
Apr�s quelques minutes cela devint p�nible de retenir mon top sur mes nichons alors que je bougeais tout le temps.
Je pris le temps de me dire :
- "Laisse tomber, d�s que tu te retrouveras derri�re la maison tu seras hors de vue! ...."
Je me d�p�chais de terminer la pelouse de devant puis je m'attaquais � l'arri�re de la maison sur un rythme plus tranquille.
Une fois ce travail termin� je rangeais la tondeuse et me brossais les jambes et les chaussures.
Puis je rentrais dans la maison et pris une douche.
Pendant que je me rin�ais, je lavais ma tenue de pute et la pendais sur un s�choir.
Je me s�chais, quittais la salle de bain et gagnais le salon, il �tait pratiquement midi maintenant.
J�entendis bouger dans le fond de la maison, Snake apparut et gagna la salle de bain.
Il ne ferma pas la porte et j'entendis ruisseler son urine dans les toilettes, puis l'eau de la chasse.
En sortant de la salle de bain, il me jeta un oeil incisif et me fit signe de le suivre dans la chambre.
Il n'avait pas encore prof�r� un seul mot.
Il tourna autour de moi et me repoussa � plat dos sur le lit.
Il s'installa entre mes cuisses et entreprit de l�cher et sucer ma foufoune.
Rapidement j'eus l'orgasme que mon mari avait �t� incapable de me procurer.
Il me bouffa encore le temps que je succombe � deux nouveaux orgasmes, puis il se releva sur les genoux.
Il joua un bon moment avec ma toison rousse et enfin me parla.
- "Tu es la premi�re fille que je poss�de � qui je ne fais pas raser sa chatte! .....� J'ai eu un gros coup de c�ur pour ta toison de rouquine! ....."
Il sourit sur ces mots et ajouta :
- "Mes amis aussi ont l'air d'appr�cier! ...."
Puis il se laissa tomber entre mes cuisses et me baisa puissamment, tout d'abord l'ampleur et la violence de ses coups de reins me firent grogner, mais bient�t mes grognement se mu�rent en g�missements en vagissements de chatte enamour�e.
Je ne me rappelais pas l'avoir, pourtant je constatais brusquement que je le serrais fermement dans mes bras verrouill�s dans son dos alors qu'un nouvel orgasme m'emportait.
Il continua � me marteler la chatoune alors que je jouissais � gorge d�ploy�e.
Puis il jouit � son tour, il gicla en moi me pistonnant brutalement comme d'habitude.
Lorsqu'il roula sur le flanc, je pris sa bite en bouche et la nettoyais en bonne petite m�nag�re appliqu�e.
Il m'envoya alors prendre une douche avant de m'habiller.
Je me ruais dans la salle de bain, puis ma douche prise dans le salon pour me rhabiller, je ne voulais surtout pas le faire attendre.
Cela ne prit pas bien longtemps, j'avais juste � enfiler un court� maillot� et un pagne.
Snake arriva dans ses habituels jean et tee-shirt, il me saisit le bras et me tira � l'ext�rieur, l'instant d'apr�s nous avions enfourch� sa moto et nous nous rendions � son habituel bar sex-shop, il me remit aux mains de Larry lui affirmant que je venais lui r�gler la seconde partie de mes dettes.
MES DETTES! .....
Et dire que je d�testais porter ces ignobles tenues! ....
Larry fit un signe � Tom et me tra�na nouveau, en arri�re vers la resserre.
Cette fois Snake nous suivit cam�ra au poing.
D�s que nous sommes entr�s, je me d�shabillais, sans m�me qu'on le l'ordonne.
Larry aussi se d�pouilla de ses v�tements et je m'agenouillais face � lui et je commen�ais � lui l�chouiller la bite, la titillant gentiment, il se mit � bander.
Apr�s quelques minutes je dus me disposer � quatre pattes et il me bouffa tout d'abord le cul, puis il le graissa en �vasant le goulot puis il enfourna brutalement sa bite dans mon oeillet fr�missant et m'encula fr�n�tiquement.
Il se tenait � mes seins qu'il p�trissait all�grement, bient�t alors que ses mains me meurtrissaient le nichons je jouissais sous ses assauts.
C'�tait la premi�re fois que je jouissais sous les coups de boutoir d'un soudard qui m'enculait �prement !
J'en fus si surprise que je ne remarquais pas l'instant ou il vomit son foutre au fin fond de mon intestin.
Il se retira et je me retournais et me baissais pour nettoyer sa mentule.
Alors que j�effectuais cette t�che, je sentis Snake se poster dans mon dos, je suppose qu'il devait penser que j'�tais suffisamment pr�par�e pour supporter son �norme chibre.
Je suppose qu'il avait raison.
Cela faisait mal, mais je commen�ais � aimer cette pratique !
C'�tait douloureux, humiliant et r�voltant mais j'eus un nouvel orgasme !
Et ouvrant les yeux, je vis que Mickey enregistrait l'�pisode, � cette vue je jouis de nouveau.
Larry reprit la cam�ra en main et Mickey commen�a � se d�shabiller.
Je pensais qu'il allait essayer � son tour mon trou du cul � la suite de Snake.
Mais j'avais tort, en fait, il s'agenouilla face � moi et promena sa bite dans ma fentine et l'enfon�a vivement dans ma foufounette.
Je hurlais sourdement, j'�tais emplie par deux bites, je ne parvenais pas croire que c'�tait possible.
Ils adopt�rent alors un rythme ad�quat, je supposais que ce n'�tait pas la premi�re fois qu'ils prenaient une fille ne sandwich.
Vous ne pouvez pas savoir � quel point c'�tait bon lorsqu'ils accord�rent leurs mouvements.
Je criais sourdement, je rebondissais d'orgasme en orgasme jusqu'� ce que je m'�vanouisse.
Je ne sais pas combien de temps je restais inconsciente, mais lorsque je revins � moi, j'�tais �tendue sur le dos et ils regardaient tous un inconnu qui me chevauchait� �prement.
Je les regardais, puis je regardais l'homme qui me baisait, je l'enserrais de mes bras et mes jambes et je baisais comme une folle, nous avons joui tous deux en m�me temps.
Puis je me relevais et nettoyais toutes les bites qu'elles sortent de mon cul ou de ma chatte, une bonne m�nag�re ne termine jamais sa journ�e de travail !
Ils m'ordonn�rent de me rendre dans les toilettes pour dames, de me laver puis de revenir avec eux.
Nous sommes tous retourn�s dans le magasin et je me ruais, enti�rement nue dans les toilettes pour dames.
Une fois de plus une nu�e de sifflements et de commentaires graveleux m'accompagn�rent.
Lorsque je revins � l'endroit o� se tenait Snake, le gars qui venait de baiser regardait les v�tements expos�s.
Il semble qu'en remerciement d'avoir accept� qu'il baise mon corps inconscient il devait m'acheter quelques nouveaux articles que je devais enfiler et porter avant que nous quittions le bar.
Je me tenais nue en attendant qu'il ait fait son choix, finalement il se d�cida pour une tenue extr�mement ch�re.
Il aurait pu choisir une tenue moins co�teuse et moins transparente, il y en avait plein !
Mais il choisit un soutien-gorge� fait de cuir et de cha�nes.
En fait il y avait des sangles de cuir l� o� normalement on trouvait les bretelles et les attaches, mais les bonnets �taient ouvert seulement travers� de fines cha�nes.
Mes nichons �taient mis en valeur par ces cha�nes qui les d�coraient, j'aurai tout aussi bien pu �tre torse nu.
Il regarda l'effet que cela faisait, et me pin�ant cruellement les t�tons il constata :
- C'est vraiment chouette, j'aime �a !
Sur ces mots il paya Larry et nous sommes retourn�s au bar �cluser quelques godets.
Alors que nous �tions assis � une table� avec une paire de demis, des clients s'approch�rent et discut�rent avec Snake.
Ils prenaient tout leur temps pour contempler sans vergogne mes nibards, ils n'h�sitaient m�me pas � les pincer et � en �tirer les mamelons.
Il y en a un m�me qui m'a mordu !
Il se faisait tard, Snake se releva, je le suivis jusqu'� la moto et on rentra tranquillement chez lui.
J'essayais d'oublier le top que je portais, �tre exhib�e en public me paraissait maintenant tout � fait banal.
En rentrant chez lui il brancha sa cam�ra sur la t�l� et visionna l'enregistrement tandis que je le su�ais tendrement, il me dit de me tourner de profil pour que je puisse voir aussi le spectacle se d�roulant sur l'�cran.
C'�tait terrible, jamais je n'avais �t� aussi humili�e, mais je remarquais aussi que jamais je n'avais �t� aussi sexy !
Finalement Snake se vida � nouveau les couilles dans ma gorge et je me rhabillais lorsque monsieur Steadman frappa � la porte.
Je regardais Snake, il se contenta de me sourire aussi je reposais ma jupe sur le crochet et je me penchais en avant pour sucer monsieur Steadman, puis je me rhabillais et me pressais de rentrer chez moi.
4 d�cembre 2008
Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)
Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
Vulgus (vulgus@hotmail.com)
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