Une chaude prof asservie 1
Hot teacher enslaved 1
Coulybaca / Auteur inconnu
Madame Lucy Harper, du haut de ses 43 ans était fière de ses formes académiques.
Faire classe était sa vocation !
La semaine précédente elle avait pris un de ses élèves à tricher lors d'un test sous les sifflements admiratifs de ses condisciples lorsqu'elle tourna le dos.
Elle avait l'habitude de ces sifflets d'admirateurs mâles lorsqu’elle se déhanchait devant eux en rentrant chez elle.
Il n'y avait pas de miracle, son 95 c faisait tourner bien des têtes d'autant plus qu'elle portait souvent des sweaters très moulants qui mettaient ses miches en valeur et des jupes courtes.
Cependant les sifflements admiratifs de ces élèves forts impertinents étaient inacceptables.
Elle espérait que le jeune John, du haut de ses 18 ans tirerait une bonne leçon de cet incident.
Lucy appréciait sa vie rangée avec un mari qui réussissait dans son travail et son adolescent de fils.
Ils formaient une famille unie, respectable.
Le seul nuage était les penchants de son fils pour le jeu.
Quelques semaines après avoir surpris et sanctionnait John, elle découvrit que son fils Brian devait beaucoup d'argent à un gang de la ville connu pour sa violence.
Il avait perdu au jeu et le gang menaçait de le tuer s'il ne payait pas rapidement ses dettes.
Il s'agissait d'une très grosse somme, et elle se demandait encore comment il était tombé dans les griffes de ce gang.
Elle accepta de rencontrer deux membres du gang dans un café pour négocier un arrangement.
Mais à l'insu de Lucy, John était membre de ce gang et, en fait c'était lui qui avait entraîné Brian à jouer et perdre de fortes sommes. C'était une façon de préparer sa revanche sur sa vieille pute de prof !
- Tiens, tiens, tiens, comme on se retrouve madame Harper... Ricana-t-il au grand embarras de Lucy qui lui faisait face vête de longue veste brune, de sa jupe aux chevilles, et d'un chemisier blanc.
Il lui offrit alors :
- Pour vous montrer que je n'ai pas de rancune je vous offre un café !
Prenant sa tasse il feignit de lui mettre de la crème et du sucre alors qu'en fait, il versait une puissante drogue induisant une dépendance immédiate qui venait de tomber en possession du gang.
Lucy sirota plusieurs rasades de son café pour se relaxer puis intervint :
- Brian vous doit 20.000 $... Il ne peut pas payer une telle somme ! Je ne le peux pas non plus ! Peut-on trouver une solution ?
- Mais oui ma chère madame Harper nous pourrons peut-être négocier un arrangement, mais pourquoi ne termineriez-vous pas votre tasse de café... Nous pourrons alors faire une promenade dans le parc, nous pourrons discuter de notre problème en dehors de toutes oreilles indiscrètes ! En fait, John attendait que la drogue agisse.
Lucy avala nerveusement le fond de sa tasse. Elle n'aimait pas l'idée d'aller n'importe où avec ces voyous, mais elle avait besoin d'aider Brian à s'en sortir... En entrant dans le parc, Lucy se sentait étrange, confuse, excitée... Pourquoi ?
Elle ne comprenait pas... Elle sentait ses jambes faiblir, la tête lui tournait.
Ouvrant ses yeux, Lucy se retrouva dans une sale petite pièce mal entretenue, une douzaine de jeunes hooligans l'entouraient. Ce devait être le repaire du gang.
Comment avait-elle donc pu atterrir dans cet endroit ?
Elle était à genoux, ses poignets menottés à une chaîne qui pendait du plafond.
Sa veste jonchait le sol.
- Oh mon Dieu que lui arrivait-il ?
Elle releva la tête et cracha misérablement :
- Que me voulez-vous ? Je vous en prie laissez moi partir... Je me débrouillerai pour trouver l'argent ! Je vous en prie...
Elle se débattait pour se relever.
Une gifle vicieuse lui incendia la joue.
John lui sourit
- Tout d'abord on va s'amuser avec toi ! Puis nous trouverons un argent pour te permettre de GNGNER l'argent que tu nous dois... Rappelle toi bien : l'intérêt est de 20 % par semaine aussi as-tu vraiment beaucoup de fric à GAGNER pour nous rembourser.
Lucy bafouilla :
- Gagné ? Comment ? Que voulez-vous ? Laissez-moi partir !
Ses jambes ne la soutenaient plus, la tête lui tournait, étrangement tout cela lui arrivait depuis leur arrivée au parc...
- J'espère que tu as apprécié ton café... J'y avais versé quelque chose de spécial... Ricanait maintenant John.
Cet aveu éclaira Lucy :
- VOUS M'AVEZ DROGUE ? Laissez moi partir... Je vous en prie... Le suppliait misérablement Lucy alors que sa poitrine la brûlait et ses tétons raidissaient. Son visage lui semblait écarlate...
Son entrecuisse était trempé de cyprine.
Qu'y avait-il dans son café ?
Le plus grand, à l'air de brute, 20 / 25 ans se posta face à elle, souriant d'une oreille à l'autre.
Il lui caressa la joue. Sa main glissa sur son chemisier, et la lui arracha violemment exposant sa fière poitrine enveloppée dans un joli soutien-gorge de dentelle, celui-la même qu'elle avait acheté pour allumer son tendre mari.
Ses nichons durcirent pointant au travers du fin tissu.
- Matez-moi les nichons de cette vieille prof ! Magnifiques non ? Elle est chaude comme l'enfer... On va voir ce qu'elle cache encore la dessous ! Poursuivit, la grosse brute alors que les spectateurs éclataient de rire. Ils la mataient tous avec concupiscence.
Accrochée à sa chaîne elle ne pouvait se défendre. Ses miches la brûlaient. Elle avait une sensation de chaleur entre les cuisses.
Oh mon Dieu ! Quelle sorte de drogue cela pouvait-il bien être ?
La même brute dégrafa sa très élégante jupe marron, elle chut au sol, les rires redoublèrent.
- Hey les gars ! La petite culotte de la maîtresse d'école est trempée ! Voyons ça de plus près...
La brute épaisse lui arracha alors sa petite culotte exhibant aux yeux de tous son buisson fourni protégeant sa féminité. Elle haleta alors qu'un doigt fureteur forçait l'entrée de sa caverne et s'agita dans sa grotte embrasée.
Extirpant son doigt de sa chatte engorgée de cyprine il la montra à tous.
- Regardez les gars... Elle est trempée... Vieille mais drôlement chaude la prof ! Allez prof, il est temps de gagner de quoi payer les intérêts de cette semaine... On va s'amuser avec toi !
Les rires redoublèrent à ces mots.
Les hooligans se levèrent d'un même mouvement et se mirent à poils agitant railleusement leurs bites érigées.
John laissa tomber la chaîne et l'altière et fière Lucy s'écroula au sol.
Puis les voyous dénudés s'approchèrent d'elles, lui arrachèrent son soutien-gorge, pinçant, étirant, triturant ses mamelons.
D'autres plongeaient profondément leurs doigts dans sa chagatte la malmenant sans vergogne. Etonnement sa cramouille était très lubrifiée. Des bites la frôlaient de toutes parts. Et ils continuaient imperturbablement à la peloter, la caresser, la rudoyer.
- Je vous en prie arrêtez... Pas ça... Arrêtez... Arrêtez... S'il vous plait... Non, pas ça... Je vous en prie... Je vous en prie, n'arrêtez pas... N'arrêtez pas... Nonnnnnn...
Les lamentations désespérées de Lucy n'étaient ni écoutées, ni entendues.
Elle pouvait toujours se plaindre !
Un à un les membres du gang lui écartèrent les cuisses, plongèrent leurs épaisses bites dans sa moule et lui remplirent l'utérus de foutre.
Certains lui souriaient, un lui cracha à la figure, trois lui triturèrent brutalement les miches, puis éjaculèrent sur son visage et dans ses cheveux un flot épais de foutre qui coula ensuite sur ses joues.
Deux autres la retournèrent et l'enculèrent sauvagement alors que deux autres, tour à tour se vidaient les couilles dans son arrière-gorge l'étouffant à moitié quand elle dut avaler leur semence onctueuse.
Incapable de les faire arrêter, Lucy sentait que la drogue ingurgitée amenait son corps à se réjouir de ses abus.
Les grosses bites coulissaient à leur aise dans sa chagatte embrasée, elle se rendait compte que leurs grosses mentules risquaient de la mener tout droit à l'extase.
Lucy, cette femme si dévote frissonnait sous les vagues de plaisir qui couraient dans son corps drogué.
Chaque fois qu'un des membres du gang plantait sa bite dans sa cramouille et le violait de nombreuses ondes de plaisir la remplissaient d'extase.
Le dernier éjacula dans sa chevelure, rit à gorge déployée et se recula la regardant tremblante de honte et d'humiliation.
Puis ils lui tinrent bras et jambes tandis que John s'approchait un rasoir à la main.
Bientôt son mont de Venus fut aussi glabre que le mont chauve.
Une autre brute s'approcha tenant en main un appareil garni d'aiguilles, qui vibrait.
Il traita longuement le mont de Venus rasé de Lucy et lorsque finalement il se recula pour mieux apprécier son oeuvre il s'exclama :
- J''espère que tu aimeras ton tatouage... C'est l'emblème de notre gang... Tu porteras toujours notre blason... Un oeil injecté de sang !
- C'était ton premier paiement... La drogue crée une forte dépendance... Tu en mourras si on arrête de t'en fournir... Tu devras faire d'autres remboursements trois fois par semaine, parfois plus si ça s'avère nécessaire !
De nombreux clients adorent les femmes mures dans ton style, si tu satisfais leurs appétits tu devrais pouvoir rembourser les intérêts hebdomadaires et peut-être même une petite partie du principal... Ricana le chef du gang, puis il ajouta :
- Ramenez-moi cette pute dans le parc !
Elle se réveilla dans le parc, nues, le corps marqué de marques rouges.
Baisant les yeux elle vit le tatouage qui ornait maintenant son bas ventre rasé de prêt.
Sa veste brune et sa jupe gisaient à courte distance, mais aucune trace de sa petite culotte, de son soutien-gorge de dentelle et de son chemisier.
Son cœur s'emballa au souvenir ce qui lui était arrivé.
Qu'allait-il se passer maintenant ?
Allaient-ils de nouveau venir la menacer ?
Pouvait-elle en parler à son mari ?
OH MON DIEU.... NON...
Réfléchissait-elle la bouche imprégnée de leurs flagrances masculines.
Texte anonyme trouvé sur le web
Traduction par Coulybaca
1er août 2008.
Une chaude prof asservie 2
Hot teacher enslaved 2
Coulybaca / Auteur inconnu
Elle ne pouvait pas dire à son époux ce qui lui était arrivé !
Comment pourrait-elle expliquer la présence de ce tatouage et les contusions couvrant son corps ?
Que pouvait-elle faire ?
Elle était désespérée, incapable de réfléchir pour l'instant. .
Trois douches et elle se sentait toujours souillée !
Lorsque son époux, Georges, rentra vers 23 heures, elle avait repris son self-control, ses yeux étaient secs, le maquillage couvrait ses ecchymoses.
Elle se jeta dans les bras de Georges.
Il se sentait très amoureux et la prenant dans ses bras il l'emporta dans leur lit, lui enlevant sa sortie de bains.
Yeux écarquillés, il se recula yeux braqués sur sa chatte rasée et son infâme tatouage.
- Par l'enfer, qu'as-tu fait ? Qu'est ce que cela Lucy ?
La prof habituellement guindée et prude tremblait de peur en mentant :
- Je... Je voulais... Je voulais te sembler sexy... J'ai pensé à me raser le pubis !
- Te raser la chatte ! Par l'enfer ce ne serait rien si tu n'avais fait que ça ! Mais qu'est que c'est que ce tatouage... Cet oeil sanguinolent ? Commentait Georges horrifié.
- Georges... Je t'aime... Comprends-moi... Accidentellement j'ai pris le mauvais tatouage... Il faisait sombre... Je croyais que c'était un cœur écarlate... Balbutiait-elle s'enfonçant dans ses mensonges.
- Tu es allée dans une échoppe de tatouage ? Tu t'es fait tatouer sur ton intimité ? Un tatoueur a touché ton intimité ! Georges était outragé, furieux.
Lucy entendit la porte claquer.
Une voiture démarra brutalement, elle pleura une bonne partie de la nuit.
Georges rentra le lendemain, rangea ses affaires dans la chambre d'amis et refusa de lui parler et même de l'écouter.
Les deux jours suivants, elle évolua comme dans un brouillard, marmottant et grognant pendant les cours.
Tard le second jour son malaise s'accrut subitement, elle était nauséeuse.
Lucy sentait qu'elle était désespérément en manque de quelque chose, elle frissonna longuement en réalisant qu'elle avait besoin de cette saloperie de drogue. Le soir ses nausées et ses troubles avaient doublé d'intensité. Georges l'ignorait totalement.
Le téléphone sonna. C'était John, l'élève qu'elle avait sanctionné qui appartenait au gang.
- Bonsoir madame Harper... Comment vous sentez-vous ? Il était vraiment très joli.
- Que voulez-vous ? Que m'avez-vous fait ? Se lamenta Lucy d'une voix misérable.
- Je pensais que tu aimerais avoir une dose, c'est tout... Il me reste de la potion que j'ai versé dans la tasse de café que tu as tant apprécié l'autre jour... Tu en as probablement besoin... Par ailleurs, il est temps que tu te mettes à rembourser les dettes de Brian... Gloussait John hilare.
- Je vous en prie ne m'obligez pas à ça... laissez-moi tranquille... donnez-moi une dose de drogue... Rien d'autre... Juste une dose... Je vous en prie... Pleurnichait pitoyablement la pauvre madame Harper.
- Nous pouvons faire un marché... Passe me prendre au parc... Je te donnerai une dose pour aujourd'hui... Tu me la paieras ensuite... Demain je te donnerai une autre dose et tu pourras commencer à travailler pour rembourser les dettes de Brian...
John était le seul à parler, il poursuivit en lui donnant des consignes détaillées :
- Tu porteras des bas résilles noirs, et tes hauts talons rouges... Pas de petite culotte, pas de soutien-gorge... Je veux que tes nichons se balancent librement... Tu mettras une jupe courte, pas une qui s'arrête juste au-dessus du genoux, mais au moins 25 centimètres au-dessus... Si tu n'en as pas à la bonne taille, coupe le bas de ta jolie jupe rose... Tu porteras de plus un chemisier blanc transparent avec deux boutons défaits au col... Tu te feras deux couettes comme une écolière et tu te mettras un collier de perles autour du cou... Oh et pense à toujours sourire... Nous allons dîner en ville, c'est toi qui paye...
Lucy se cabra à l'entente de ses exigences mortifiantes mais se plia humblement à sa volonté.
Les seuls bas à résilles, qu’elle possédait, étaient ceux qu'elle mettait pour allumer Georges. Elle n'avait pas de chaussures rouges mais une paire de hauts talons noirs. Elle n'avait pas non plus de jupe taillée court sur les cuisses, à contrecœur, elle coupa rapidement le bas de sa jupe rose préférée. Elle compléta sa tenue avec le chemisier transparent qu'elle ne portait que tard dans la nuit quand elle voulait exciter son époux.
Elle n'avait pas le choix, c'était son seul chemisier transparent.
Finalement elle tressa ses longs cheveux en de longues couettes comme celles d'une collégienne et enfila un collier de perles.
Impatiente d'obtenir sa dose de drogue qui signifiait la fin de ses malaises, Lucy sortit calmement par la porte latérale de la maison et sur rua jusqu'à sa voiture grimpa dedans et partit avec empressement sans se rendre compte que Georges la regardait depuis la fenêtre de l'étage, choque de voir sa femme arborer une tenue affreusement immorale et déplacée.
John qui portait un très classique costume bleu se prélassait dans la BMW de Lucy, il lui tendit un verre de coca commentant :
- Ma chère Lucy voilà ta dose journalière !
Secouant ses mains Lucy agrippa le verre et le descendit d'une lampée, espérant que celà ferait effet rapidement.
- Et maintenant conduis-nous au pub anglais sur la 59ème rue... Je suis affamé... John se montrait à nouveau d'une exquise politesse.
En entrant dans le pub, Lucy sentit des yeux affamés suivre sa progression, regardant ses hanches chalouper sous sa courte jupe, ses nichons se balancer sous son chemisier transparent.
Mais la drogue avait commencé d'agir, et elle se sentait beaucoup mieux.
Toutefois, comme la dernière fois, elle se sentait très excitée ! Ses seins avaient durci, et son visage se colorait agréablement.
Dieu merci, ils se trouvaient en public et avait juste rendez-vous pour dîner.
Elle se demandait ce que ce sale bâtard de John avait en tête lorsqu'il lui avait dit qu'elle devrait lui payer sa drogue.
John s'adressa à la jeune serveuse : :
- Ma mère et moi, nous aimerions une table proche des fenêtres... Celle là avec une nappe rouge nous parviendrait parfaitement...
La jeune serveuse les y emmena, les yeux braqués sur la courte jupe de Lucy et son corsage transparent. Il était évident que Lucy ne portait pas de sous-vêtements.
Une mère qui venait dîner avec son fils et portait un corsage transparent sans soutien-gorge en dessous !
Elle pensa qu'à coup sur madame harper agissait selon ses propres valeurs morales... Lucy s'en sentait d'autant plus honteuse.
La jeune serveuse prit alors leur commande : John commanda des huîtres, un demi de bière pour Lucy et un verre de whisky avec des glaçons pour lui-même.
- Je te remercie John, mais je n'aime pas la bière.. Et de toute manière il est bien trop tôt pour boire de l'alcool ! Protesta Lucy.
- Je ne t'ai pas demandé si tu aimais ou non la bière... Je te l'ai commandé et tu videras ton verre jusqu'à la dernière goutte... Je donne les ordres et tu obéis si tu tiens à continuer à avoir ta drogue tant que tu n'auras pas terminé de payer les dettes de Brian... Cette réponse vicieuse de John inquiéta fortement Lucy qui se calma instantanément.
Lorsque la serveuse leur amena leurs consommations, John poursuivit :
- Sais-tu ce que sont les "Banger & Beans" ?
- Lucy n'était pas accoutumée à cette langue anglaise parlée dans les pubs.
- Je suis désolée... Je ne sais pas !
- Les Bangers sont de longues saucisses... Aimes-tu les saucisses chaudes ?
Circonspecte Lucy répondit :
- Parfois oui... Pourquoi cette question ?
- Commence par vider ton demi.. Sur-le-champ... Je veux dire vide le maintenant... Grimaça John, se réjouissant de voir cette femme qui dînait avec lui à contrecœur se mordre les lèvres pour garder son calme.
Lucy le regardait consternée.
Ce verre de bière était immense.
Ce n'était pas possible d'en boire autant.
Mais la peur est un puissant motivateur.
Elle but. Gorgée après gorgée. Chaque fois qu'elle arrêtait, John lui jetait un oeil menaçant et elle se remettait immédiatement à boire son verre.
Enfin le demi fut vide. Elle était sure de se retrouver éméchée.
- Et maintenant glisse-toi sous la table et déguste ma saucisse ! Ricana John d'un air pervers.
Choquée Lucy demanda :
- Quoi ?
- Tu m'as bien entendu, mon arrogante chienne ! Est-ce que les maîtresses d'école ne savoureraient jamais de saucisses ? Glisse-toi sous la table et taille-moi une pipe espèce de crispée du trou du cul ! John adorait humilier cette prof qui avait osé l'exclure d'un test. Que la vengeance était douce !
Lucy blêmit, et après moult hésitations se glissa sous la table, espérant que personne ne la verrait faire.
Elle vit les longues jambes de John largement écartées, il avait déjà descendu la fermeture éclair de sa braguette.
Elle hésita encore quelques instants jusqu'à l'instant où il lui donna un coup de pied sur le nichon gauche, laissant une marque de chaussure sur son corsage.
Elle tendit la main vers sa braguette et ne fut pas surprise de constater qu'il ne portait de caleçon. Sa bite était déjà déployée, bien raide.
Elle la sortit complaisamment, la regarda et comprit que la drogue la rendait si réceptive que déjà ses nibards pointaient comme des obus alors que son bas ventre s'inondait de cyprine.
La bite vibrante laissait déjà suinter des gouttes de pré-sperme montrant à quel point John aussi était excité.
De la pointe de la langue
Elle titilla son méat, absorbant la première goutte salée. Elle lécha la hampe de haut en bas puis lentement emboucha la vibrante mentule et sa tête se mit à monter et descendre sur son braquemart de la façon qu'adorait son mari.
Elle l'absorba en totalité dans sa gorge accueillante, elle la sentit tressauter sous ses caresses habiles.
- Excusez-moi monsieur, tout va bien ? Questionnait la serveuse de retour à leur table.
- Oui, je vous remercie... Tout est parfait... Lui répondit John d'une voix tendue.
- Voulez-vous vous joindre à nous ?
Lucy avait cessé de le sucer en entendant la serveuse.
John lui décocha un nouveau coup de pied l'invitant à reprendre sa pipe.
- Je vous remercie de votre offre, mais je n'ai pas fini mon travail... Où est-donc votre mère ? L'interrogea la jeune serveuse avec curiosité.
- Oh, elle est sous la table... Elle a bu sa bière bien trop rapidement... C'est une vrai pocharde en fait ! Voulez-vous regarder sous la table ? Répliqua John avec un regard de feu.
- Non, je dois reprendre mon travail... Désolé de voir que vous avez de tels problèmes avec votre mère...
Lucy était mortifiée en entendant cette conversation, mais elle continua docilement à sucer la bite vibrante de John, elle se mit à se caresser le clito, elle y accédait facilement du fait de sa courte jupe et de l'absence de petite culotte.
Alors qu'elle sentait sa mentule grossir et tressauter dans sa bouche, elle voulut arrêter à ce stade, mais un nouveau coup de pied l'en dissuada, tracasser de savoir que tôt ou tard il allait se vider dans sa bouche.
Elle n'avait jamais expérimenté d'acte aussi dégradant auparavant, rien que l'idée de s'y plier la révulsait.
Elle paniqua au dernier instant et recula son visage.
Mauvaise idée. Sa bite lui explosa à la figure projetant des geysers de foutre sur son visage et ses cheveux.
- Allez ma petite prof, sortez de la dessous, je veux voir à quoi tu ressembles après cette douche faciale... Lui enjoignit sarcastiquement John.
Lucy sortit tout doucement de sous la table. Plusieurs clients remarquèrent cette femme mature sortir de sous la table pour s'asseoir face au jeune homme, son visage était souillé, luisant de foutre.
John grimaça un sourire et commenta :
- Cela paiera ta dose de drogue d'aujourd'hui. Une fois que j'aurai fini de dîner tu commenceras à rembourser les dettes de ton fils... En attendant tu peux regarder ton assiette, mais je t'interdis de manger... La bière agit mieux sur un estomac vide.. Oh et ne t'essuie pas le visage !
C'est alors que la jeune serveuse remarqua le visage souillé de Lucy, une goutte de foutre tombant sur ses orteils elle remarqua :
- Je suis désolée madame, mais vous semblez avoir un excès de pommade grasse sur vos cheveux et votre visage !
- Ce doit être le jus des huîtres... Eclata de rire John regardant avec ironie le visage écarlate de Lucy couvert de foutre.
La jeune serveuse navrée pour John pensait que c'était bien triste d'être atteinte, si jeune, d'un Alzheimer, elle commenta tristement :
- Vous n'avez pas de chance, pauvre jeune homme !
Texte anonyme trouvé sur le web
Traduction par Coulybaca
20 août 2008.
Une chaude prof asservie 3
Hot teacher enslaved 3
Coulybaca / Auteur inconnu
Cela faisait trois semaines maintenant et Madame Harper, la distinguée prof du lycée, était incessamment forcée de se plier aux ordres impitoyables du gang.
Elle n'avait pas le choix, elle devait rembourser les 20.000 $ que son fils avait perdu au jeu, et même plus, puisque chaque semaine la dette était majorée de 20 %.
La pauvre Lucy avait déjà perdu 5 kilogrammes sous l'effet de la peur, du stress et de l'humiliation.
Quatre fois par semaine elle devait recevoir ses clients dans une chambre d'un petit hôtel luxueux, que ce soit après ses cours, durant la pause de midi, ou après souper.
Elle ne savait jamais quand elle recevrait sa convocation téléphonique.
Ils ne tenaient aucun compte de ses sentiments et ses émotions.
Les clients, recrutés parmi les étrangers, des princes arabes, l'élite de la représentation française locale logée dans un luxueux hôtel géré par le gros Tony.
Ils abusaient de ses chambres des façons les plus dégradantes, parfois avec violence.
Pire encore, elle était maintenant totalement dépendante de cette puissante drogue qui amenait son corps à tirer plaisir des pires dépravations.
Les manifestations de manque, lorsqu'elle se trouvait momentanément sans drogue étaient de plus en plus douloureuses.
Son mari refusait de lui parler depuis qu'il avait découvert qu'elle avait rasé son pubis et fait tatouer un oeil injecté de sang sur sa chair dénudée.
Elle n'avait pas eu le choix, c'était le gang qui en avait décidé.
Elle était sure que Georges pensait qu'elle le trompait.
Le téléphone sonna. C'était John, l'étudiant qui avait entraîné son fils dans le monde du jeu.
Il était responsable d'elle et il utilisait parfois ses services pour son propre plaisir.
Il était bien pire que tous les autres.
- Bonjour madame Harper... Comment allez-vous ? Il était toujours très poli.
- Je vous en prie, pas aujourd'hui... Le supplia Lucy.
- Je pensais venir te voir pour te tenir compagnie... Ton fils Brian est à son entraînement de football, et il est probable que tu te sentes toute seule... Par ailleurs nous devons discuter des modalités de remboursement, tu as un gros retard ! Eclata de rire John.
- S'il te plait, non. Donne-moi juste ma dose... laisse-moi tranquille... J'ai fait tout ce que vous m'avez demandé... Je t'en prie... Lucy Harper était très angoissée.
- Ce que Brian doit... Tout doit être remboursé maintenant !
- Remboursé ? Tu veux rire ! Tu dois travailler bien plus dur pour y parvenir... Nous avons des frais... Ta dope coûte cher... Les commissions... Tu as beaucoup de retard... La dette est maintenant de 25.000 $... Je viens justement pour collecter un nouveau remboursement... J'arrive chérie... Sur ces mots il raccrocha le téléphone.
Lucy se renfrogna, la dette avait augmenté ?
Elle faillit s'évanouir
- John venait chez elle ! Heureusement que Georges était en dehors de la ville pour son boulot...
John se pointa quelques minutes plus tard, visiblement il avait téléphoné de la cabine du coin de la route. Lucy portait un petit tailleur couleur pêche qu'elle mettait souvent pour faire cours.
John portait un bandana rouge, un tee-shirt noir et un vieux jean. Il ricanait en la toisant de la tête aux pieds.
- Prends ta dose chérie et montons à l'étage... Je n'ai pas encore visité ta chambre à coucher...
John lui poussa une tasse de café, il y avait versé une dose de dope, puis il pointa son doigt vers les escaliers.
La main de Lucy tremblait comme une feuille comme elle vidait sa tasse. Ses muscles faiblirent, alors qu'ils montaient à l'étage. Il lui pétrissait rudement les fesses. Ca sentait à nouveau le rut à plein nez.
Dans la chambre, John ricana en ouvrant les rideaux avant d'allumer la lumière.
- S'il te plait... Ferme les rideaux... Mes voisins peuvent voir ce qui se passe dans la chambre... Je t'en prie... Le suppliait Lucy comptant sur un reste de pitié.
- C'est très bien, on va les distraire ! Rigola John avec dérision en la prenant par les épaules pour lui enlever sa veste.
Lucy, tremblante comme une feuille savait qu'il était inutile de se débattre. Par ailleurs la drogue commençait à agir efficacement, déjà ses miches durcissaient.
Le visage ricanant de John, il la fixait droit dans les yeux alors que d'une main ferme, il lui maintenait le visage levé vers lui. Il lui caressa gentiment les joues de l'autre main, puis il l'embrassa longuement insérant sa langue dans sa bouche.
Il lui pétrissait maintenant les globes fessiers s'égarant dans sa fourche féminine alors que de l'autre main il baissait la fermeture éclair de sa jupe.
Il la repoussa soudain vers le lit tout en agrippant son corsage rose qui se déchira de haut en bas. Les boutons sautèrent. Ses lourds nibards étaient maintenus dans un soutien-gorge de dentelle noire.
La peur l'envahit ainsi qu'une trouble sensation d'humidité entre les cuisses alors que les effets de la drogue entraînaient des réactions de son corps qui la trahissait déjà.
Empoignant sa jupe, il la tira vers le bas, s'arrêta un instant pour contempler sa petite culotte de coton blanc, il inséra alors les doigts dans l'élastique de la ceinture et la descendit en même temps que la jupe.
Elle enjamba le tout tentant de serrer les cuisses pour dissimuler au mieux sa chatte rasée et tatouée.
Sa cramouille était inondée de cyprine, la drogue agissait pleinement maintenant.
Affichant son mépris John rit entendant le bras pour lui arracher son soutien-gorge, brisant l'attache dorsale.
Il la toisa des pieds à la tête allant des ses miches rougies, aux tétons bruns érigés, à ces bras tombant misérablement le long de son corps, son mont de Vénus chauve, ses longues jambes, son excitation évidente...
- Lucy ma douce prof, déshabille moi fais-moi l'amour comme si j'étais le dernier homme sur la terre ! Ricana John sarcastiquement.
Comme elle tendait les bras pour lui obéir, le téléphone sonna.
- Réponds, mais n'arrête pas pour autant de me déshabiller. Répond quel que soit ton interlocuteur, pendant que tu me baiseras... Cela semblait l'exciter encore plus.
Lucy était horrifiée. Répondre au téléphone tandis qu'elle baisait avec John !
Elle décrocha l'appareil :
- Oui ...
- Hello chérie... C'est Georges... J'ai repensé à ces dernières semaines... Je voudrais reprendre notre vie d'antan...
- Georges... Lucy se sentait mal. Elle avait tant espéré que Georges veuille relier avec elle, mais avec John dans la chambre ! Oh mon Dieu !
La langue de John lui titillait le lobe de l'oreille tandis qu'il lui murmurait :
- Déshabille-moi vieille salope... Laisse-le entendre les bruits de notre baise !
Les mains tremblantes, elle continua à le déshabiller, faisant passer son tee-shirt au-dessus de sa tête, descendant la fermeture éclair de son vieux jean avant de le descendre sur ses chevilles.
La bite de John jaillit sous son nez. Comme d'ordinaire il ne portait pas de sous-vêtement.
- Lucy... Tu es toujours là ? Demanda brusquement Georges.
- Je... Je suis toujours là... Je t'aime Georges... lais je dois sortir... Au revoir...
John empoigna ses nichons et les tordit cruellement.
- Tu ne t'en tireras pas aussi facilement... Assure-toi qu'il reste au bout du fil salope... Sa grosse bite tressautante glissa le long de son estomac remontant vers ses nibards.
- Je veux te parler, ma chérie... Qu'as-tu à faire de si urgent ? Se plaignait George tristement.
- Je dois juste corriger quelques copies... Lucy regardait la grosse mentule de John progresser entre ses miches. Ses mains se refermèrent sur ses gros nibards et les serrèrent sur sa flamberge vibrante, elle avala sa salive.
- Tu me sembles bien nerveuse ma chérie... T'arrive-t-il quelque chose de mal ? Quelque chose que tu voudrais me dire ? L'interrogeait Georges intrigué par son attitude.
- Georges... Mmphhhhhh... A l'instant ou Lucy commençait à lui parler, John venait soudainement de forcer ses lèvres récalcitrantes.
Il la baisait brutalement en bouche, elle grommelait des sons inarticulés alors qu'elle essayait vainement de le repousser de la langue.
- Lucy ! Qu'est ce que j'entends ? Que se passe-t-il ? S'inquiétait Georges.
Les sons inarticulés, accompagné des battements des grosses couilles de John frappant son menton résonnaient encore dans la pièce.
Juste comme il se sentait prêt à exploser dans sa bouche, John extirpa sa bite de sa bouche et descendit rapidement à la rencontre de sa chatoune chauve trempée de cyprine.
Il traîna le téléphone sur son ventre et entreprit promptement de lui butiner la fentine, des bruits de lapement et de sucions révélateurs de son action s'élevèrent alors dans la chambre.
- Lucy, que se passe-t-il ? Hurla Georges de plus en plus angoissé.
John cessa de lui brouter le gazon et perla dans le combiné du téléphone d'une voix moqueuse :
- Hello Georges... Lucy est trempée de cyprine... Je l'aie d'abord baisée en bouche... Et maintenant je viens de lui bouffer la chatte... Je vais la baiser à couilles rabattues... Elle adore ça... D'ailleurs elle va te le dire !
Il tendit le téléphone à la blêmissante Lucy, lui susurrant :
- Dis-lui que tu aimes la façon que je te baise... Sinon tu n'auras jamais plus ta dose de drogue !
John reprit son butinage... Au moment où il s'attaqua à son clito, Lucy haletait au téléphone :
- Uuuhhh... Oooohhhhh... J'aime tant sa façon de me baiser !
- Elle n'entendit que le son d'un téléphone qu'on raccroche violemment.
John cessa ses léchouillages, il continuait cependant à triturer son clito dardé al faisant frissonner alors qu'il pouffait :
- Wow... J'éspére que Georges apprécie ces instants autant que moi !
Il s'assit sur son estomac, fourrant sa gosse bite entre ses grosses miches qu'il empoigna fermement les pinçant cruellement, elle hurla de douleur.
Il adorait voir des grosses larmes ruisseler sur ses joues, sa manière de tordre sa bouche l'excitait au plus haut point.
Il malaxait le nibard gauche d'une main alors qu'il giflait fortement le droit, les faisant tous deux rougir sous la douleur.
Ses mamelons s'étaient érigés sous les doigts brutaux de John, il n'avait aucune envie d'arrêter en si bon chemin.
Il descendit jusqu’à retrouver sa douce chatoune chauve, elle était trempée de cyprine.
Il frotta tout d'abord ses burnes sur sa fentine embrasée puis il saisit sa bite bandée et fourra lentement sa chagatte sans défense la pénétrant jusqu’à la racine.
Le téléphone sonna à nouveau.
John l'empoigna, et, entendant la voix de Georges il le porta à l'oreille de Lucy alors qu'il commençait à coulisser vigoureusement dans sa cramouille.
Georges lui disait :
- Lucy, qu'est ce que c'est que ce bordel ? Par l'enfer que se passe-t-il ?
Elle ne parvint qu'à répondre :
- Uuuuhhh... Ooohhh... Aaaahhh... Aaahhh... Aaaahhhhh... Aaaaaaaahhhhhhh !
La longue flamberge de John martelait férocement sa tendre chatoune alors que la drogue la privait de toute résistance.
Lorsque John explosa enfin au fin fond de son utérus, elle poussa un dernier cri d'extase et entendit à nouveau le claquement d'un téléphone qu'on raccroche brutalement.
La sonnette d'entrée retentit, John l'obligea à gagner la porte d'entrée entièrement nue, sa bite gluante en main, il ouvrit la porte en grand.
Brian eut juste le temps de dire :
- Maman, je suis rentré !
Et sa mâchoire se décrocha alors qu'il ouvrait des yeux comme des soucoupes.
John ricana :
- Salut Brian... T'as raté une sacré séance de baise... Salut...
Georges rentra le soir même, il quitta immédiatement le domicile conjugal en compagnie de son fils Brian.
Texte anonyme trouvé sur le web
Traduction par Coulybaca
31 août 2008.
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