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Alexia : Jeux de vilaines
Chapitre 2
Alexia sonna à la grille de la résidence privée du docteur. Visiblement, son activité devait être lucrative. Elle déclina l’objet de sa visite, sans réussir
à cacher la pointe d’excitation dans sa voix qui trahissait son état émotionnel. Elle en mouillait déjà sa culotte à l’idée que Pauline allait produire du
lait avec ses grosses mamelles.
Elle remonta l’allée jusque la maison pour se garer derrière un véhicule en stationnement. Elle ouvrit la porte du coffre avec un sourire qui lui remontait
jusqu’aux oreilles. Pauline était allongée en chien de fusil, ses gros seins bien visibles et sa chatte ouverte à la vue d’Alexia.
Alexia tira sur la ceinture pour la faire sortir. Pauline ne put s’empêcher de protester en voyant la maison totalement inconnue qui se présentait devant elle.
Elle voulait éviter de nouvelles humiliations devant un inconnu. Elle refusa de se mettre à 4 pattes et essaya de cacher ses seins d’un bras et son sexe d’une main.
- On ne va plus être copines ! A 4 pattes tout de suite !
- S’il te plait Alex, on n’est chez un total inconnu ! J’ai trop peur !
- Je ne te demande pas ton avis ! Tu es mon esclave jusque lundi matin un point c’est tout !
- Je t’en supplie ! Je ferai tout ce que tu veux mais renonce à cette idée là ! Je serai ton esclave un mois entier !
- C’est tentant ! Mais non ! A 4 pattes et vite !
- Des soucis avec votre animal mademoiselle ? dit une voix grave derrière Alexia.
- Ho rien de grave docteur ! Je m’en occupe !
- S’il te plait partons Alex…
- Tu me fais honte là Pauline ! J’ai l’air de quoi maintenant ! Donc tu vas obéir immédiatement où je me fâche et tu dérouilles ! Comme j’ai un médecin
sous la main, je ne me retiendrai pas !
Pour bien indiquer qu’elle ne plaisantait pas, Alexia plaqua sa main sur la chatte de Pauline et ses doigts vinrent presser son clitoris pour l’écraser.
Pauline poussa un cri de douleur et de surprise. Alexia enfonça ensuite ses ongles dans le petit bouton faisant se dérober les jambes de Pauline sous
elle tant la douleur était forte.
- Je continue ou tu as compris ?
- J’ai compris Alex…
- Maitresse !
- J’ai compris maitresse…
- Bien ! Je vois que nous sommes parvenues à nous entendre.
Alexia prit la ceinture et fièrement s’avança vers le médecin qui les attendait sur son perron, Pauline avançant à 4 pattes, ses grosses mamelles pendantes et
ballotantes sous elle.
- Voici l’animal à traiter docteur !
- Belle bête !
L’homme se pencha et prit un sein dans sa main. Tout au moins une partie d’un sein, celui-ci étant bien trop gros pour sa main. Il le pressa, le massa,
en éprouva la fermeté et sourit très satisfait.
- Elle a un bon potentiel !
- Vraiment docteur ?
- Oui si vous la mettez à la traite quotidiennement, elle pourra donner une jolie production de lait.
- Tous les jours ? Comme une vraie vache ?
- Oui l’idéal serait même 3 fois par jour sinon elle aura des fuites dans la journée !
- Trop cool !
- Je peux me débrouiller pour vous trouver un acheteur pour sa production si vous voulez !
- Ho ce serait parfait docteur !
- Et pour mon paiement ?
- Que souhaitez-vous ?
- Pouvoir jouer avec ses seins pendant une heure ?
- Accordé si je peux regarder !
- Encore mieux oui ! Entrez donc !
Le docteur les guida à travers quelques couloirs jusqu’une pièce médicalisée au milieu de laquelle trônait une table médicale métallique. Alexia prit beaucoup
de plaisir à y faire grimper Pauline à 4 pattes. Celle-ci essaya désespérément d’y grimper sans se remettre debout par peur d’une correction devant le docteur.
Ses gros seins s’écrasaient sur la table lors de ses efforts mais elle ne parvenait pas à y mettre un genou pour prendre un appui définitif et enfin y monter.
Alexia se régala de voir le spectacle de son amie, humiliée par cette incapacité, grotesque dans ses efforts. Cela la réjouissait de voir ses gros seins s’écraser
sur le plateau de la table et y glisser jusqu’à ce que Pauline retombe sur le sol.
Finalement, elle l’aida en lui plaquant sa main sur son cul, glissant son pouce dans l’anus de Pauline et son majeur dans son vagin. Avec cette prise, elle
la souleva pour la faire monter sur la table, sans fléchir malgré ses cris de douleur. Elle retira un immense plaisir à l’humilier ainsi.
Le médecin passa des bracelets métalliques aux 4 membres de Pauline qu’il fixa ensuite à la table. Pauline terrifiée le vit ensuite prendre des pinces crocodiles.
Elle hurla puis se mit à pleurer alors qu’il les lui mettait sur les tétons. Il accrocha ensuite des chaines qu’il tendit et relia à la table. La souffrance irradiait
dans toute sa poitrine, ne diminuant plus en raison de la tension des chaines.
Pauline vit le médecin prendre une nouvelle pince, se demandant à quoi elle pourrait bien servir.
Elle comprit en le voyant se diriger vers sa croupe. Elle sentit alors ses doigts qui lui écartaient les lèvres de sa chatte. Elle avait honte d’être ainsi intimement
ouverte par cet inconnu. La souffrance fut pire que ce à quoi elle s’attendait alors que la pince se refermait sur son clitoris.
Elle fut renforcée par la douleur en provenance de ses seins, suite à ses mouvements incontrôlables liés à ses tourments.
Alexia souriait et se sentait de plus en plus excitée. Elle avait vraiment fait le bon choix en sélectionnant ce médecin. Pauline était coincée à la table par
ses entraves et ses pinces, jamais elle n’avait pensé voir cela un jour. Ses grosses mamelles de femelles étirées par les tétons en permanence. Cette salope
le méritait ! Elle n’avait qu’à pas avoir de tels seins !
- Cela sert à quoi toutes ces pinces docteur ?
- Cela stimule la circulation sanguine chez la femelle.
- Et c’est utile pour ce que vous allez lui faire ?
- Non pas du tout ! Mais cela me fait plaisir de faire souffrir ces petites putes à gros seins !
- Humm vous avez bien raison docteur ! J’aimerais que vous deveniez son médecin traitant !
- Ce sera avec plaisir !
- Et ce martinet à quoi sert-il ?
- Je vais lui fouetter les seins !
- Elle va morfler la salope !
- Sans aucun doute ! Cela va tirer sur ses tétons même si elle parvenait à ne pas bouger en raison de l’impact sur ses seins. De plus les lanières vont forcément
heurter les chaines et tirer sur les tétons et avec la douleur elle va bouger et cela tirera aussi sur la pince de son clitoris.
- Elle va beugler !
- Elle peut ! Cela ne parviendra pas jusqu’aux voisins donc peu importe !
- Et c’est utile ?
- Cela va attendrir ses mamelles !
- Pour l’injection ?
- Non c’est juste pour le plaisir aussi !
- Je vous adore docteur !
- Vous voulez un martinet aussi ?
- Je peux ?
- Oui chacun d’un coté, chacun un sein !
- Cool oui !
Alexia prit le martinet proposé et se plaça à l’opposé du médecin, chacun d’un coté de la table.
Les coups commencèrent à pleuvoir sur les énormes seins de Pauline. Elle hurla comme jamais de sa vie. Les lanières lui martyrisaient ses globes. Chaque heurt sur
les chaines meurtrissait ses tétons. Ses mouvements désordonnés en raison des coups qui pleuvaient la faisaient se meurtrir elle-même son clitoris. Elle avait envie
de s’effondrer sur la table mais ses entraves rendaient le mouvement impossible. Elle était coincée à 4 pattes alors qu’elle aurait voulu se rouler en boule sur
cette table, se recroqueviller sur elle pour se protéger.
Elle finit par se taire, n’ayant plus la force de crier, sa voix éraillée par la trop forte sollicitation de ses cordes vocales. Ses larmes cessèrent aussi de couler,
elle n’avait plus aucune force pour rien et son esprit commençait à se réfugier dans un coin de son cerveau pour fuir la dure réalité.
Le médecin qui surveillait Pauline tout en la frappant indiqua à Alexia qu’il fallait s’arrêter. Il prit un tuyau et projeta de l’eau glacée sur la figure de Pauline
qui revint à elle et hurla à nouveau.
- Nous avons atteint ses limites.
- Déjà !
- Elle est endurante ! Très prometteuse !
- Merci !
- C’est une bonne bête que vous avez là !
- Je savais que je faisais une bonne affaire !
- Je vais faire l’injection maintenant.
Alexia frétillait de plaisir en voyant le médecin sortir une petite fiole ainsi que le nécessaire pour réaliser l’injection. Il intima l’ordre à Pauline de ne
plus bouger d’un pouce le temps de la piqure, pour son bien. Elle le regarda préparer tranquillement et longuement son matériel. Il aspira le liquide dans la
seringue lentement, comme s’il ménageait le suspense.
Finalement, il vint se placer derrière les fesses de Pauline. Il enfonça lentement l’aiguille dans son clitoris. Il le transperça complètement et l’aiguille
continua son chemin dans la chair de Pauline. Cette dernière hurlait de douleur, son clitoris déjà serré par la pince, maintenant transpercé par une aiguille.
Il appuya ensuite sur le piston de la seringue pour faire l’injection.
- C’est compliqué comme injection docteur !
- Non, ça va tout seul !
- Pas facile tout de même de passer comme cela dans le clitoris !
- Ho ce n’est pas nécessaire. Une intramusculaire toute simple suffit. C’est juste pour m’amuser.
- Vous êtes vraiment cool vous !
- Merci !
- Et maintenant ?
- Hé bien je vais avoir droit à ma rémunération !
- Je posais la question pour le lait…
- Elle devrait avoir une montée de lait d’ici demain midi dit le médecin après consultation de sa montre. Au plus tard pour 16H. Si vous la trayez bien,
la suivante se fera de façon naturelle et le lait sera de plus en plus abondant au cours des prochains jours. Au bout d’une semaine, elle sera à pleine capacité.
- Je vais me transformer en petite fermière alors.
- Il n’y a pas de sot métier !
- Oui et puis mieux vaut être fermière que vache à lait !
Alexia et le médecin rirent aux éclats. Il se présenta devant Pauline et lui ordonna d’ouvrir sa braguette. Celle-ci fit un geste d’impuissance, toujours entravée.
Il lui donna alors une bonne gifle après avoir demandé la permission de se faire à Alexia. Il la traita de petite gourde sans cervelle lui ordonnant de le faire de
la bouche et des dents.
Pauline effrayée prit la tirette entre les dents pour la baisser comme elle le pouvait. Le sexe du docteur lui jaillit sous le nez pendant qu’elle terminait d’ouvrir
sa braguette, s’allongeant et grossissant de plus en plus, menaçant de lui rentrer dans l’œil gauche.
Elle regarda effarée la longue et énorme tige qui se présentait à elle. Elle pensait que seuls les africains disposaient d’engins pareils.
Alexia regarda surprise aussi le bel engin que le médecin exhibait fièrement. Il devait bien faire une trentaine de cm de longueur et 7 cm de diamètre. Elle sentit
son sexe couler sur ses cuisses alors même que son esprit lui disait qu’elle serait bien incapable de prendre un tel sexe en elle.
Le médecin ordonna à Pauline de lui lécher son engin du haut en bas à petits coups de langue sans oublier ses couilles. Il était poilu et Pauline dut résister à
l’envie de cracher ou de vomir à plusieurs reprises alors qu’elle était obligée d’avaler quelques poils en cours d’exercice. Il n’y eu plus que le bruit de ses
lapements pendant une bonne dizaine de minutes dans la pièce.
Alexia qui avait demandé l’autorisation au médecin filma toute la scène, prenant aussi bien à l’écran le corps entravé de Pauline en vidéo ainsi que ses seins étirés
par les pinces et les chaines.
Le médecin finit par pincer le nez de Pauline et par lui enfiler sa queue dans la bouche puis la gorge, d’une seule poussée, rapide et sans aucun signe d’hésitation.
Il ne tint pas compte des signes de hauts le cœur de Pauline et ne lui libéra les narines qu’une fois sa queue plantée entièrement dans sa bouche et sa gorge.
Il poussa un grand cri et jouit dans la gorge de Pauline. Après le premier jet, il retira sa queue de sa gorge pour bien lui jouir dans sa bouche. Alexia vit du sperme
sortir entre les lèvres de Pauline et la queue du médecin, tant les jets étaient abondants.
- Voilà dit le médecin. Je préfère jouir une première fois ainsi parce que sinon je jouis trop vite. La seconde fois est plus longue à venir.
Il détacha les chaines de Pauline ainsi que ses entraves puis lui retira les pinces une à une, la laissant bien hurler après chaque retrait, alors que le sang
irriguait à nouveau les parties libérées. Pauline en tomba à genoux de couleur puis s’effondra sur le sol lors du retrait de la pince de son clitoris.
- Ca leur fait toujours de l’effet !
- Je vois ça !
- Les fois suivantes, c’est tout juste si elles ne supplient pas pour rester avec les pinces ces salopes ! Alors que ça se lamente quand on leur en met !
- Les bêtes, ça ne sait jamais ce que cela veut !
Le médecin poussa le corps de Pauline du pied pour qu’elle s’allonge sur le dos. Il la guida de sa semelle pour qu’elle se place selon ses désirs, l’humiliant
un peu plus encore. Il s’assit sur son ventre, une jambe de chaque coté de ses hanches, plaçant sa queue entre ses deux globes. Il attrapa les tetons entre
ses pouces et index et serra ainsi les seins de Pauline sur sa queue, s’en faisant un doux fourreau. Alexia n’en manquait pas une miette, filmant bien toute la scène.
Le médecin ne bougeait pas, jouant à remuer les mamelles de Pauline sur sa queue en les agitant par les tétons. Pauline visiblement souffrait de nouveau
physiquement en plus de subir ces multiples humiliations. Elle ne ressentait aucune once de plaisir à être traitée ainsi. La douleur était partout présente
en elle et cette queue énorme qui s’agitait entre ses seins l’inquiétait. Elle avait peur que l’idée ne vienne au médecin d’essayer de la pénétrer et
son engin était bien trop gros pour elle.
Il poussa sa queue plus haut entre ses seins jusqu’à ce que son gland heurte le menton de Pauline. Une fois ainsi, il ordonna à la petite femelle de lui lécher
le gland pendant qu’il se massait avec ses seins.
Alexia continua de tourner autour d’eux pour immortaliser la scène sous tous ses angles. Elle était la culotte sur ses genoux et avait retroussé sa jupe sur
ses hanches pour se caresser le clito à son aise tout en matant ce qui se passait. C’était trop émotionnellement pour elle, elle avait besoin de se soulager
en jouissant.
Sa jouissance éclata lorsqu’elle vit le sperme jaillir du gland du médecin et arroser toute la figure et la chevelure de Pauline, laissant des trainées blanches
dans ses cheveux bruns.
Elle se dit dommage pour le film, ayant perdu le cadrage alors qu’elle jouissait. Tout un métier que de prendre des images pornographiques tout en gérant son plaisir.
Le médecin racla son sperme des doigts sur le visage ou dans les cheveux de Pauline pour le lui donner à laper. Il lui flatta les seins en la traitant de brave bête.
Pauline commençait à s’habituer à cela et n’en rougissait plus en l’entendant.
Le médecin se leva et chuchota une demande à l’oreille d’Alexia qui acquiesça avec enthousiasme. Pauline l’entendit angoissée dire qu’entre animaux, il fallait
bien se rendre des petits services.
L’homme s’absenta quelques minutes alors qu’Alexia ordonnait à Pauline de se remettre à 4 pattes.
- Tu es une belle salope comme ça !
- S’il te plait Alex, partons…
- Non ! Le paiement du service n’est pas terminé !
- Mais je l’ai fait jouir deux fois !
- Il n’y a pas que lui ! Ne soit pas si égoïste sale bête !
- Je n’en peux plus ! J’ai trop mal partout…
- Je te soignerai ce soir quand nous serons rentrées.
- Pitié…
- Tu veux une correction ?
- Non non Alex.
- Alors tais-toi ! Et appelle-moi maitresse ou je te claque tes énormes mamelles de vache !
Le médecin rentra dans la pièce accompagné par un gigantesque danois noir. Le chien était tout excité, la queue battant ses reins.
Pauline poussa un petit cri de terreur en voyant le chien entrer dans la salle. Le voir depuis sa position à 4 pattes rendait la bête encore plus impressionnante
qu’en position debout.
Le chien vint aussitôt renifler ses fesses et lui laper son anus et sa chatte. Pauline baissa la tête écœurée et humiliée de devoir se laisser faire par l’animal.
Elle aurait bien voulu pouvoir se lever et courir pour fuir jusque la voiture mais elle savait que ni Alexia ni le médecin ne la laisserait faire. Ce qui l’inquiétait
aussi, c’était les représailles qui s’ensuivraient immanquablement.
Ce docteur avait l’air de disposer de matériel et d’imagination dans le domaine de la torture. Elle ne tenait pas à ce qu’il lui gâche encore plus sa soirée.
Pauline reçut l’ordre de sucer le chien pour le faire bien bander. Elle le regarda longuement, effarée de recevoir un tel ordre. Les menaces de pinces sur son clito
et ses tétons revinrent aussitôt, accompagnées d’une menace d’injection d’une solution saline douloureuse dans ses seins pour la punir.
Terrorisée, Pauline passa la tête sous le ventre de la bête. L’odeur envahit aussitôt ses narines. Cela sentait très fort le chien. Elle fut agréablement surprise
cependant que cela ne sente ni l’urine ni le sperme. C’est vrai que les chiens passent le temps à se lécher pensa t’elle pour se rassurer, se dégouttant par
la même occasion en pensant à la salive qui devait y avoir séché.
Elle essaya de faire abstraction de l’odeur et sortit sa langue pour laper le bout du fourreau. Une petite pointe lisse en sortit rapidement qu’elle s’empressa
de lécher encore. Le sexe continua de sortir et de s’allonger devant sa bouche. Elle fit coulisser sa langue tout du long ainsi que sur la pointe et la boule
commença à se former à la base. La taille de sa pine était aussi imposante que celle de son maitre.
Le chien reçut alors l’ordre de se coucher sur le sol puis de se mettre sur le dos. Le docteur montra à Pauline comment prendre la queue de la main derrière la boule
pour faire croire au chien qu’il était dans une femelle et ainsi l’empêcher de bouger.
Pauline prit la queue du chien comme indiqué. Elle était grosse, longue et lourde, très douce au touché et aussi très chaude. Elle eut honte d’elle. Elle avait
léché cette queue et maintenant elle la prenait en main. Une queue de chien…
Elle reçut alors l’ordre de masser cette queue de ses mamelles jusqu’à ce que le chien ait fini de jouir. Ecœurée par le contact contre ses tétons et ses seins,
elle se força à obéir par peur de la torture évoquée par le docteur. Elle fit passer ses tétons tour à tour tout le long de la queue du chien qui semblait apprécier
le traitement puis elle joua avec sur la pointe du gland. De petits jets de liquide séminal commencèrent à se produire. Elle accentua sa caresse, pressant
ses mamelles sur la queue, la branlant de ses seins.
Elle poussa un grand cri de douleur alors que le docteur la pénétrait de son gland. Il venait de la saisir par les hanches de ses mains et d’un grand coup de reins,
il venait de faire entrer la première moitié de son sexe dans son vagin. Il enchaina les coups de queue en elle sans se soucier de ses cris, pilonnant
son col de l’utérus. Pauline essaya de se concentrer sur la tache qui lui avait été confiée, tout en oubliant le viol dont elle était l’objet. Les jets du chien
devinrent tout à coup plus blancs et plus épais. Il jouissait enfin. Cela coulait partout sur elle et sur le sol, bien plus abondant que chez un homme.
L’homme pendant ce temps continuait de travailler son col à coup de gland au fond d’elle. Il poussa enfin tout en la tirant violemment des hanches et Pauline
hurla transpercée, pleurant toutes les larmes de son corps. Le gland énorme du docteur venait de forcer son col et de passer dans son utérus. L’homme continua
sa poussée pour entrer jusqu’à la garde, ses couilles venant battre contre les fesses de Pauline.
Alexia se caressait à nouveau le clitoris tout en filmant la pénétration sauvage et les jets de sperme du chien qui frappaient toujours les seins, le visage
et les cheveux de Pauline.
Elle jouit juste avant l’homme dont la queue était bien trop agréablement massée par l’utérus de son amie pour qu’il tienne plus longuement sans se laisser aller.
Alexia, après avoir repris quelque peu ses esprits, ordonna à Pauline de sucer la queue du chien pour la nettoyer et le remercier de son bon vouloir.
Le docteur sortit du vagin de Pauline et se nettoya d’une lingette avant de proposer un rafraichissement à Alexia.
- Pas de raison que votre animal se désaltère en buvant mon chien et que nous nous mourrions de soif ! Dit il en riant.
- Vous avez raison docteur !
- Whisky ?
- Bonne idée oui avec un glaçon s’il vous plait !
Ils s’assirent dans un coin de la pièce à une petite table et commencèrent à siroter leurs verres tout en regardant Pauline qui s’activait sur la queue du chien.
Il finit par débander et s’éloigna d’elle pour aller se reposer dans une autre pièce.
- Je suis gentille, pas de raison que tu ne puisses pas boire aussi un peu de whisky !
Alexia s’approcha de Pauline et versa quelques gouttes de son verre dans la petite flaque de sperme canin sur le sol.
- Allez lape bien tout ! Nous ne partirons pas tant que tout ne sera pas bien propre petite souillon !
Le docteur rit et leur resservit à boire, pendant que Pauline dégoutée se résignait à avaler tout le sperme en l’aspirant et en le léchant sur le sol…
A suivre...
Mes histoires vous plaisent, n'hésitez pas à m'écrire french_master@hotmail.fr