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Omar - Viols lors de la croisière
inaugurale
Cruise Ship
Captives
Couylybaca / Black Demon
Le paquebot de
luxe 'Islands of Pleasure"
allait partir pour sa première croisière, un long périple de Charleston aux
Bahamas.
Cette sortie
initiale servait à tester le navire au plan commercial.
Naturellement
comme il s'agissait d'une première sortie au départ de Charleston les passagers
étaient pour la plupart des autochtones.
Les dates des
croisières futures dépendraient du succès de ce voyage inaugural, d'autres
villes étaient envisagées comme ports de départ. Le navire avait embarqué
environ 2.000 invités et 800 membres
d'équipage.
Beaucoup
d'invités voyageaient en couples, jeunes et vieux en vacances et même des
jeunes mariés en lune de miel.
Tous ces invités
recherchaient les plaisirs de la vie, ils étaient approvisionnés pour la
prochaine semaine.
L'équipage savait
qu'il allait avoir une rude semaine pour satisfaire les demandes émanant des
touristes à bord.
Un membre de
l'équipage regardait anxieusement les passagers qui embarquaient, ils
s'impatientaient de voir toutes les somptueuses beautés qui faisaient la
croisière, et plus particulièrement les femmes blanches ravissantes.
Cela faisait 15
ans qu'il travaillait sur des bateaux, Omar Shoron
avait obtenu la position qu'il désirait, il était chargé de manager l'équipage.
Dans cette
nouvelle fonction, il détenait toutes les informations qui lui étaient indispensables
pour atteindre ses buts, c'est à dire satisfaire ses luxurieux appétits de
viande blanche. Il aimait sentir vibrer de peur les femmes blanches qu'il
violait.
Depuis des années, il violait des passagères
blanches alors même qu'il n'était que simple membre d'équipage. La plupart des
femmes étaient bien trop honteuses pour révéler à leurs compagnons qu'elles
venaient de se faire violer, elles ne pouvaient pas l'identifier, il n'apparaissait
que brièvement dans l'obscurité des cabines où il les entraînait prestement.
Il n'y avait
qu'un viol qui avait fait l'objet d'une plainte, mais les lois de la mer prévalaient,
et il n'y avait pas eu d'enquête, plus particulièrement parce que la beauté
violée avait quitté le bateau en arrivant au port.
Comme les
passagers embarquaient, Omar cherchait la ravissante jeune femme qui sortirait
de l'ordinaire. Il saluerait alors la jeune femme et son escorte s'enquérant de
son numéro de cabine pour lui indiquer le chemin ou l'y faire conduire par un
membre d'équipage. Bien sur il notait par ailleurs le N° de cabine de ces
beautés qui retenaient son attention.
Pendant que les
passagers s'installaient à bord, il relut son calepin et sourit, il avait pris
des notes sur une vingtaine de femmes.
Il savait qu'il
avait manqué quelques somptueuses
créatures alors qu'il s'occupait des autres, il voulait pouvoir les
ajouter à la liste de ses victimes potentielles.
Il se lécha les
lèvres, se demandant avec combien de ces beautés il pourrait assouvir ses
appétits luxurieux.
Comme son travail
de base était de surveiller les agissements de l'équipage, il disposait de
beaucoup de temps pour faire ce qu'il voulait.
Un des aspects de
ces nouvelles fonctions lui permettait de connaître les numéros des cabines
vides, son passe lui donnait accès à toutes les cabines du navire.
Les cabines
inoccupées se trouvaient à l'intérieur du navire, toutes les cabines extérieures
étaient retenues, elles étaient bien plus confortables avec leurs hublots leur
ménageant un peu de lumière naturelle, ainsi qu'une vue sur l'extérieur.
Il adorait les
cabines intérieures, comme il n'y avait pas de hublots, elles étaient totalement
obscures la porte fermée. Ce qui voulait dire que ses victimes ne pouvaient
l'identifier à moins de voir son visage lorsqu'il les transportait dans une des
cabines disponible.
Il ne voulait pas
être pris, il ne voulait pas que le mari d'une de ses victimes arrive en
hurlant au plus mauvais moment, ce qui entraînait qu'il ne voulait pas faire
leurs affaires à ses victimes dans leurs cabines même si elles avaient une
cabine interne.
Ce premier jour
de mer était toujours très fiévreux, les couples restaient collés ensemble,
aucune opportunité de trouver une jeune beauté isolée.
le soir, assis dans sa couchette, Omar avait éliminé la
moitié de la liste, il avait étudié l'emplacement de leurs cabines, ne gardant
que celle qui se trouvaient proches d'une cabine vide, ce qui validait ses
projets.
Mais encore
fallait-il que un coup de pot pour s'une de ces beautés soit vulnérable pendant
un certain temps, il fallait que leur mari, ou leur petit ami soit pris par
ailleurs.
Le deuxième jour de la croisière s'était
avéré extrêmement frustrant pour Omar, à trois reprises il n'avait pu s'emparer
de proies qu'il convoitait.
A chaque fois,
des passagers étaient apparus dans le couloir ouvrant sur leurs cabines, lui
rendant la tâche impossible.
Lors de l'une de
ces opportunités, il allait empoigner la jeune femme lorsqu'un autre couple
apparut dans le couloir, il dut admettre que cette fois encore sa proie lui
glissait entre les griffes.
Il avait été
tenté de forcer sa porte, le couple importun ayant disparu, mais elle pourrait
l'identifier avant qu'il ne coupe la lumière, le risque était trop grand.
Le soir suivant,
il observait une des beautés portées sur sa liste se prendre le chemin du
casino. Contrôler le personnel du casino lui fournissait un prétexte pour
continuer à épier l'adorable beauté.
A l'évidence
c'était une femme mariée, elle arborait une alliance en diamant à l'annulaire.
C'était une
ravissante blonde, la trentaine, de longues jambes blanches ..... La bite
d'Omar palpitait dans son pantalon, à l'idée de ses perdre entre ces
délicieuses jambes.
Melissa et Brad
Moore s'étaient offert cette croisière pour célébrer leur dixième anniversaire
de mariage, ils étaient toujours aussi amoureux l'un de l'autre, et cela durait
depuis leurs années collège.
Ils avaient deux
enfants, une fille et un garçon, respectivement âgés de 7 et 5 ans. Ils étaient
en vacances chez les parents de Melissa pour la durée de la croisière.
A 32 ans, Melissa
faisait tourner bien des têtes masculines sur son passage, elle était en pleine
forme. Melissa adorait son boulot de dessinatrice d'intérieur alors que Brad
travaillait dans une banque d'affaires.
Comme ils avaient
dîné dans la salle à manger d'honneur,
les hommes portaient le smoking et les femmes de somptueuses robes du
soir.
Ce soir, pour se
rendre au casino, Melissa portait une robe du soir noire, des bas noirs et ses
hauts talons.
Elle était si
élégante que le commandant lui même lui en fit le compliment. Ses longs cheveux
blonds encadrant ses yeux bleus de bébé faisaient bander bien des hommes dans
l'assistance.
Mais un
admirateur plus décidé la couvait des yeux ce soir, épiant chacun de ses
mouvements, espérant bien lui tendre un traquenard cette nuit même.
Omar observait le
couple qui se préparait à jouer, l'époux s'était dirigé vers la table de Black-jack pendant que sa belle femme préférait les machines
à sous Il voyait à ses attitudes et ses enjeux que ce n'était pas une véritable
joueuse, elle baillait tout en tirant le manche des "bandits
manchots".
- "Peut-être bien que la chance va tourner ce soir ... Je l'espère bien
..." se dit-il alors se voyant déjà enfourner sa grosse bite noire dans sa
soyeuse chatte blonde.
Rejetant un oeil sur le plan de leur quartier, il nota qu'une des
cabines face à celle du couple Moore était libre.
Se pourléchant
les babines, Omar vit la ravissante jeune femme quitter les machines à sous
pour rejoindre la table de Black-jack, se postant derrière
son mari.
Après deux mains,
alors que le banquier mélangeait les cartes, ils s'embrassèrent langoureusement
puis il lui fit un petit signe.
- "Ohhhhh .. T'es vraiment stupide mec .....On ne doit jamais laisser
une telle beauté seule ....... Hey, hey, hey ...... c'est très bien .....Un
crime va être commis à cause de ta stupidité et ta soif du jeu ....."
marmottait-il se ruant dans le vestibule.
Omar savait
qu'elle devait rejoindre l'ascenseur 4 étages plus bas pour retourner à sa
cabine.
Empruntant le
monte charge de service, il gagna rapidement le 5ème niveau et reprit son
souffle dans l'ombre entre deux cabines.
Il jeta un coup
d'oeil circulaire et
calmement se dirigea vers la cabine 515, juste face à celle de madame
Moore, il laissa la porte ouverte, il pouvait ainsi s'assurer que nul importun
ne survenait lorsque la ravissante beauté inconsciente du danger arriverait à
sa cabine.
Le personnel
était si aimable, si serviable que les Moore étaient inconscients des dangers
que pouvaient présenter une croisière.
Comme l'équipage
était composé en grandes parties d'étrangers et sue les lois de la mer
variaient d'un pays à l'autre, c'était un véritable sanctuaire pour les pervers
comme Omar.
Ils n'avaient pas
vu le dernier documentaire sur les croisières qui décrivait les dangers des
croisières et plus spécialement ceux encourus par les jeunes femmes qui
déambulaient sans escorte dans les couloirs.
Ereintée par une
première journée de croisière si excitante, Melissa attendait l'ascenseur avec
un groupe de passagers sortant du casino. L'ascenseur se vidait en descendant
les étages, elle était seule en arrivant au 5ème.
Elle parcourut le
long couloir qui menait à sa cabine, incapable de saisir sa carte magnétique en
marchant, elle s'arrêta face à la porte de sa cabine, et chercha sa clé dans
son sac.
Soudain une large
main se plaqua sur sa bouche, une autre la ceintura et saisit son sac et on la
tira brutalement dans la cabine dans son dos.
La cabine était
plongée dans l'obscurité la plus profonde, Melissa frémit de peur, la main la
bâillonnant l'empêchant de pousser un cri alors que l'autre rampait sur son
corps.
Elle entendit
alors une voix à l'accent étranger lui susurrer à l'oreille :
- "Ca fait longtemps que j'espère me faire une ravissante américaine
comme toi .... Ce soir mes rêves les plus fous vont se réaliser ..... ".
Puis il la menaça
pour prévenir ses cris :
- "Crie jolie petite madame, et ce sera ton dernier cri !....." se
faisant il appuya sur sa gorge illustrant sa menace.
Lentement il
enleva sa main posée sur sa bouche, elle sanglota sourdement tandis qu'il
caressait son corps.
Elle sanglotait
de façon incontrôlable, des grosses larmes ruisselant sur ses joues La grande
main qui lui serrait la gorge l'empêchait de bouger.
Pendant ce temps
l'autre main dans son dos la fermeture éclair de sa robe, une grosse langue mouillée
fouilla son oreille, lui donnant des nausées
- "T'es si belle madame Moore, je t'ai surveillée toute la soirée, ton
mari est stupide de te laisser seule alors qu'il joue au casino. ..."
- "S'il vous plait ...... Laissez moi partir
..... S'il vous plait ........ Non ........ Non ....... Mon mari ...... Il va
me chercher ...... Je vous en prie, j'ai de l'argent dans mon sac ..... Prenez le ....... Ne me faite pas mal ......."
sanglotait Melissa affolée.
- "Oh s'il vous plait ...... Non Je vous en prieeeeeeeeeee
....... Ne me faite pas ça ........ S'il vous plait, s'il vous pait ....... Je
vous en supplie ...... " se lamentait-elle alors qu'une main empaumait ses
seins les serrant fermement.
- "S'il vous plait, je vous en prie ..... Je vous en prie ne me violez pas
....... S'il vous plait ..." sanglota-t-elle de plus belle.
Pantelante, elle
réalisa qu'il devait s'agir d'un homme d'équipage, puisqu'il connaissait son
nom et il semblait étranger, à en croire son accent, comme beaucoup des membres d'équipage.
Elle gémit
sachant que la majorité des hommes d'équipage qu'elle avait vu venaient
d'Afrique. Elle frémit à l'horrible d'idée d'être violée par un noir.
Elle sentit à ce
moment sa robe chuter à ses pieds, la large main courut sur sa poitrine, lui pinçant et roulant les tétons au travers de la fine
étoffe de son soutien-gorge en dentelle.
Elle sentit les
mains de son agresseur dégrafer son soutien-gorge, le repoussant sur ses
épaules. Elle gémit seins nus livrés à sa convoitise, il les tritura rudement.
Tétanisée elle
sentit alors sa main libre saisir la ceinture élastiquée de ses collants et de
sa petite culotte les roulant d'un même geste à mi cuisses. Elle frissonna
alors qu'il lui caressait la face interne des cuisses, s'approchant lentement
de son intimité.
- "Oohhhhhhh ...... Oohhhhhhhhhhh
....... Ohhh, mon Dieu ..... S'il vous plait
......"
Un doigt
cherchait son clito si sensible.
- "Mon Dieu ...... Mon Dieu ...... Je vous en priiiiiiiiiiiiieeee
....... Nonnnnnnnnnn ....." larmoyait-elle alors
que des frissons couraient dans tout son corps stimulait par les caresses
ensorcelantes de son clito.
- "Oahhhhhh ...... Ahhhhh
....... Ohhhhhh !......." gémit-elle humiliée
alors qu'un doigt long et épais allait et venait lascivement dans sa féminité.
Omar s'était prestement
dévêtu il ne portait plus que son cache sexe.
- "Tends tes mains derrière toi ... Tu vas avoir la chance d'être la
première beauté américaine à tester cette conséquente virilité africaine
....... Allez tend les mains dans ton dos pour voir ce que j'ai rien que pour
toi ...... " gronda-t-il soudain lui serrant brutalement la gorge pour lui
enjoindre de s'exécuter.
Tremblant comme
une feuille Melissa obéit tendant ses mains dans son dos ses doigts entrèrent
en contact avec le fin tissu de son caleçon.
Enervée, elle se
força à glisser ses doigts sous l'élastique de la taille, puis elle descendit
la main dans son cache sexe.
Elle haleta
lourdement lorsque ses doigts rencontrèrent une barre de chair d'une taille
monstrueuse, bien plus grosse qu'elle se serait jamais
imaginée qu'une bite puisse l'être.
- "Ohhhhhhhhh ... Mon Dieu ........ Qu'elle
est grossssssssssse ..... Ca va me tuer ...... Peut
être qu'il se contentera d'une branlette à la main ....... " priait-elle
serrant ses doigts sur l'épaisse hampe de chair, la branlant le poing fermé.
Elle se mit à le
branler de plus en plus rudement, de plus en plus rapidement, elle espérait
satisfaire ses appétits de cette façon, puis qu'il la laisserait s'enfuir.
Omar sourit
ironiquement en sentant ses mains s'agiter sur sa colonne, il savait
pertinemment ce qu'elle espérait.
Sans dénier le
plaisir de ses mains le branlant vigoureusement, il savait que son contrôle de
soi était suffisant pour éviter toute éjaculation précoce.
- "On va voir qui jouira le premier ma petite madame !....." se
marrait-il tout en triturant son clito de plus en plus fort, de plus en plus
vite, la fourrant de plus en plus profondément de trois doigts joints.
Melissa suppliait
son agresseur :
- "S'il vous plait .... Je vous en prie ..... Laissez
moi partir ...... Je vous en prie .... Je ne le dirai à personne ..... Ne me violez pas ..... S'il
vous plait ne me violez pas ...... Je vous en prie ne faite pas ça, je pourrai tomber enceinte
!......"
Mais sous les
continuelles caresses sur son clito, alors que ses doigts entraient et
sortaient divinement de sa chatte, elle ne pouvait s'empêcher de serrer les
cuisses sur l'ensorcelante main, ses muscles vaginaux étreignant fermement ses
doigts.
- "Ooh, oooohhhhh
...... Nonnnnnnn ...... Nonnnnnnn........"
gémit elle à haute voix, elle frissonnait terrassée par un orgasme non désiré.
Elle n'avait
jamais atteint l'orgasme de cette façon, pas plus avec d'autres hommes qu'avec
son mari.
Alors que son
corps était parcouru de frissons de plaisir, il lui lâcha la gorge, sa main
descendit et captura un de ses mamelons, le triturant langoureusement, la
stimulant encore plus.
- "C'est bon petite chienne ....enlève tes chaussures et ne réfléchis
pas à comment me blesser en le faisant !....."
Sur ce, comme il
connaissait l'exacte disposition de la cabine, l'obscurité ne le gêna pas pour
l'entraîner, toute pleurnicheuse, vers le lit.
La retenant d'une
main, il la dépouilla rudement de ses collants et de sa petite culotte de
l'autre, il disposait d'elle, maintenant, entièrement nue.
Ses pleurs
redoublèrent alors qu'elle plaidait :
- "S'il vous plait ... S'il vous plait laissez moi
partir .... Je vous en prie ne me violez pas ..... S'il vous plait ...... J'aime
mon mari ...... Je vous en prie ...... Ne me faite pas de mal ...... Ne me
violez pas ...... Je ne veux pas être enceinte !......."
Ses pleurs
redoublèrent tandis que son agresseur lui caressait tendrement les seins,
roulant ses mamelons dardés, stimulant ses sens contre son gré.
C'est alors
qu'une horrible idée la traversa :
- "Je voulais que Brand me mette enceinte au cours de cette croisière
...... Je ne peux pas laisser ce noir m'engrosser ..... Je ne veux pas qu'il me
mette enceinte !....."
- "Ooh, nonnnnn
....... Nonnnnnnnnn !......." geignait-elle
alors qu'il s'appesantissait sur elle, s'installant de force entre ses cuisses.
- "S'il vous plait ... Je vous en prie ...... S'il vous plait laissez moi partir ..... Ne me violez pas ..... Je vous en
supplie .... S'il vous plait ne me faite pas de mal ..... " soupirait-elle
effrayée.
Elle sentait le
gland épais s'immiscer entre ses babines et savait qu'elle ne pourrait rien
faire pour empêcher ce vicieux viol, maintenant qu'elle connaissait de tactu la taille énorme de son pénis, elle craignait qu'il
la déchire.
La douleur de
l'intrusion initiale était si vive, qu'elle s'obligea à écarter les cuisses au
maximum pour minorer la douleur.
- " Nonnnnnnn ..... Ohhhhhhh
..... Ohhhhhh ....... Ohhh,
s'il vous plait ..... Je vous en prie ......Ne faite pas cela ...... Argghhhhhhhhhhhh !...."cria Melissa alors que l'épais
gourdin s'enfouissait dans son étroite petite chatte.
Puis son
agresseur la poignarda de plus en plus profondément, forant impitoyablement son
chemin jusqu'au col de son utérus.
- "Oh mon Dieu .....Oh......Oh .......Oh ...... Oh......Oh ..... Oh
.....Oh, nonnnnnnn
...... Oh, mon Dieu ..... Nonnnnnnnn
!....." hurlait-elle trahie par son corps.
Ses jambes se
levaient d'elles mêmes pour se nouer dans le dos de son assaillant, alors que
son bassin s'arquait pour accueillir plus profondément son monstrueux visiteur.
Une heure après
avoir soumis la jeune américaine, Omar se rhabilla. Sortant son appareil photo,
il prit quelques clichés au flash, la capturant nue, souillée de sperme.
Il se pencha sur
la jeune femme qui pleurnichait, lui lécha tendrement les lobes des oreilles,
susurrant :
- "Rien de mieux qu'un bonne bite d'Africain, n'est ce pas mignonne
petite Américaine ...... J'ai ton adresse et ton numéro de téléphone à
Charleston madame Moore ….. Peut-être qu'une prochaine croisière me ramènera
dans ce port ..... Je t'appellerai alors de façon à ce que tu puisses à nouveau
goûter à ma grosse queue d'Africain ..."
Sûr qu'elle lui
tournait le dos, il ouvrit la porte et disparut aussitôt, laissant la jeune
femme sangloter dans l'obscurité de la cabine.
Remâchant son
épreuve, Melissa explora à tâtons la cabine obscure et trouva finalement le
commutateur.
Elle jeta un oeil sur l'horloge du bureau et réalisa qu'il y avait plus
d'une heure qu'il l'avait enlevée. Elle réalisa soudain, que son mari venait certainement
de rejoindre leur cabine ; il lui avait
dit qu'il jouait encore une petite heure à la table de Black-jack,
puis qu'il rentrerait.
Elle frissonna,
sachant qu'elle était incapable de lui avouer qu'elle venait de se faire violer
par un noir dans la cabine face à la leur.
Assise sur le lit
elle réfléchissait à ce qu'elle pouvait bien faire, puis elle décida de prendre
une bonne douche.
Se regardant dans
le miroir, elle chassa ses larmes, et se fit présentable avant de retourner à
sa cabine.
Elle se brossa
les cheveux et se remaquilla, puis elle chercha sa petite culotte, mais en
vain. Son soutien-gorge était déchiré, sa fermeture était cassée, il était
inutilisable, elle le rangea donc dans son sac.
Ses collants
noirs aussi étaient déchirés, ils rejoignirent son soutien-gorge dans son sac.
Elle ne pouvait qu'espérer que Brad ne remarquerait pas ces changements dans sa
tenue.
Elle remit sa
robe noire, et se chaussa avant d'ouvrir la porte de la cabine à quelque pas de
la sienne.
Prenant un bon
bol d'air, elle se prépara, se força à sourire, Melissa ouvrit la porte de leur
cabine et entra.
Ne voulant pas
ravoir à répondre à ses questions, elle mit tout de suite les choses au point,
elle pensait que dans ce cas la meilleure défense était l'attaque.
- "Oh chéri, je suis désolée .... J'aurai du te laisser un mot te disant
que je sortais un petit moment ..... Je suis allée boire un coca au bar, mais
le pianiste était si bon que je me suis assise pour l'écouter et que j'ai perdu
la notion du temps qui passait !....." mentit-elle sans vergogne.
Elle fut très
heureuse de voir que Brad lui souriait et se relevait pour venir l'embrasser,
mais elle frémit lorsqu'il la prit dans ses bras, elle se sentait indigne de
son amour. Elle chassa ses larmes, réalisant que fort probablement son
agresseur l'avait violée alors que son mari était dans une cabine à quelques
mètres d'eux.
Le jour suivant
fut encore un jour de totale frustration pour Omar, deux beautés insouciantes
lui échappèrent de justesse. Sauvées par d'autres passagers qui étaient apparus
dans le couloir à l'instant où il allait les agresser.
Cette nuit, il ne
pourrait que rêver à ces ravissantes jeunes femmes et se remémorer le plaisir
qu'il avait pris à violer la jeune blonde la veille.
Le lendemain
après-midi, Omar se pourlécha les lèvres en lorgnant une de ses proies
potentielles se faire bronzer étendue sur une chaise longue sur le pont
supérieur.
C'était une voluptueuse rousse, avec un joli ton de peau,
avec un corps sans défaut. Il dévisageait tous les hommes présents avec
insistance cherchant à repérer son compagnon.
Omar avait les
yeux braqués sur la jeune beauté lorsqu'elle se retourna sur le dos pour se
faire dorer l'autre face. Elle portait un minuscule bikini blanc.
- "Ohhhhhh Je n'ai jamais vu d'aussi jolie
rousse auparavant !.... Ca doit être un excellent coup .... Mmmmmmmmm
je sens qu'elle va se défendre pour m'empêcher de lui fourrer ma grosse bite
noire d'Africain dans son ravissant petit corps !.... " réfléchissait-il
envieusement.
-
Jetant un oeil sur ses notes, il constata que la jeune beauté avait
une cabine au 6ème niveau, au milieu du couloir, la cabine était enregistrée au
nom de monsieur et madame John Atkins.
Il remarqua une
pastille verte dans les notifications particulières concernant le couple, il
consulta alors son lexique pour déterminer la signification de cette marque. Il
sourit en lisant que ce point vert signifiait qu'il s'agissait d'un couple de
jeunes mariés en lune de miel.
La seule cabine
libre dans ce couloir, était située entre l'ascenseur et la leur au N° 638. Ce
ne serait pas aussi facile que la nuit dernière.
Quitterait-elle
un moment donné son mari pour regagner seule sa cabine se demandait-il assez anxieux.
Sa bite palpitait
follement dans son caleçon, il avait une envie folle de se faire cette beauté
rousse.
Sous son poste de
guet, John et Carol Atkins allongés cote à cote se tenaient main dans la main. Leur lune de miel se
déroulait au mieux. La noce s'était déroulée sans accros, et ils éperdument épris l'un de l'autre, et ce depuis leur dernière année
collège.
Ils avaient
quitté le collège ensemble, avaient obtenus leurs diplômes ensemble, ils
avaient tous deux un bon boulot et semblait former un couple modèle.
Les quatre
premiers jours de croisière, ils se seraient crus au paradis gaspillant leur
temps au restaurant d'honneur, mais le plus souvent, ils restaient dans leur
cabine à faire l'amour.
La chaleur du soleil augmentant, Carol se dit
qu'elle ne pouvait pas s'exposer plus longtemps, elle risquait un coup de
soleil.
Soucieuse de ne
pas écourter les délices de son mari, elle lui dit de rester sur le pont à
profiter du soleil, qu'elle allait se changer puis qu'elle irait visiter la
galerie d'art.
Elle savait
pertinemment que John n'aimait pas ce genre de distraction, ils convinrent de
se retrouver à la cabine une paire d'heures plus tard pour se rendre au
restaurant français.
Omar commença à
saliver en voyant la jeune beauté prendre son sac et sa serviette. Il se
dirigea vers le chemin menant aux ponts inférieurs dans l'espoir de voir ses
espoirs se concrétiser. Il l'observa se pencher pour embrasser son mari, puis
posant la serviette sur ses épaules puis elle traversa la haie de choses
longues garnissant le pont.
Si elle se
rendait à sa cabine, il avait tout le temps de lui dresser un traquenard, il
emprunta rapidement le monte charge de l'équipage.
Il saisit une
pile de serviettes disposée à chaque niveau passager, les étendit sur son bras et se posta près des
portes des ascenseurs.
Lorsque le signal
indiqua qu'il allait s'arrêter au 6ème niveau, suivit du bruit sourd de
l'ouverture de la porte, il partit vers la cabine vide.
Il tenait le bras
tendu, serviettes pendantes, faisant comme s'il amenait des serviettes dans une
cabine.
Comme l'ascenseur
descendait au 6ème niveau, Carol ne pouvait réprimer un large sourire en voyant
les deux hommes dans l'ascenseur lorgnaient discrètement ses charmes alors
qu'ils étaient en compagnie de leurs épouses.
En quittant
l'ascenseur, elle sentait leurs yeux collés à sa croupe
- "Désolé les gars, mais mon petit cul n'est plus libre !.... "
rigolait-elle intérieurement en prenant le chemin de sa cabine.
Elle savait que
ses formes captivaient les hommes et ces deux là ne dérogeaient pas à la règle,
en la voyant parader dans son minuscule bikini.
Gardant une
distance constante entre l'insouciante jeune femme et lui, Omar se tourna de
profil pour ouvrir la porte de la cabine sans fournir d'image claire de
lui-même.
Il laissa
dépasser une serviette qui bloquait la fermeture de la porte, la jeune femme
était sur le point de le dépasser, une seconde plus tard il lui covrait la bouche de sa large main et l'entraînait dans la
cabine obscure.
Sentant la jeune
femme serrée contre lui frémir d'angoisse, il relacha
son étreinte la laissant respirer tout en lui susurrant à l'oreille :
- "Apprécies tu ta lune de miel madame Atkins ?
..... Un époux attentionné ne devrait pas laisser sa délicieuse jeune femme
déambuler seule, pas même une seconde ......Il devrait se soucier de la
protéger à chaque instant ... On ne sait jamais ce qui peut arriver sur un paquebot
aussi grand que celui-ci ....... Quelqu'un pourrait entraîner sa jeune épouse
dans une cabine déserte pour lui faire goûter une grosse bite africaine
....." accablait-il la jeune femme qui se débattait.
Carol était en
pleine panique, se débattant de toutes ses forces, cherchant à lui donner des
coups de pieds et à desserrer son étreinte. Elle avait perdu ses sandales dans
la lutte, ses coups de pieds n'avaient aucun effet sur lui.
Elle sentit même
qu'il l'entraînait plus loin, elle tomba sur le lit, le corps de son agresseur
la recouvrant immédiatement.
La main la
bâillonnant lui interdisait de crier.
- "Oh, non ...... Nonn ..... Mon Dieu ...." se disait-elle alors
qu'elle le sentait lui arracher son cache sexe, puis son soutien-gorge.
Epinglée sur le
lit, , incapable de résister plus longtemps, elle
frissonnait de peur.
Ses larmes
jaillirent et ruisselèrent sur ses joues, elle
émettait des cris voilés, soudain une main entreprit de lui caresser
l'intérieur des cuisses.
Elle entendit son
assaillant lui enjoindre de ne pas crier si elle voulait revoir son mari. Elle
frissonna alors que la main fureteuse la touchait là où jusqu'ici seul son mari
l'avait touchée.
Il la menaça à
nouveau et soudain enleva sa main qui la bâillonnait, elle était si effrayée
qu'elle éclata en sanglots.
Omar caressait sa
tendre jeune chair à deux mains, excité
à la pensée de posséder cette beauté aux
cheveux roux flamboyants.
Il aimait sa
façon de se tortiller alors qu'il lui pinçait les tétons, alors que son autre
main empaumait son pubis, un doigt se posant sur son clito si sensible.
Puis pour
assommer la tendre jeune épouse, il lui murmura à l'oreille :
- "Bien qu'avec du retard, je vais offrir mon cadeau de noce à la jeune
épousée ... Une chose qu'one lui a jamais offert !.... Eh oui ma petite chérie,
un vrai homme va te posséder aujourd'hui ....."
Remontant un peu,
il disposa sa bite devant sa fentine lisse, la
parcourant d'un gland suintant. Il poussa sa bite entre ses babines, il adora
le cri angoissé qu'elle poussa alors que sa grosse bite s'immisçait dans son
étroite petite chatte.
Centimètre par
centimètre il s'enfonçait lentement dans le fourreau étroit de la jeune femme
qui sanglotait. Il l'agrippa aux hanches se préparant à la défoncer d'un brutal
coup de boutoir.
- "Oh s'il vous plait ......Non, je vous en prie ..... J'ai mal ... J'ai
trop mal .... S'il vous plait nonnnnnnnn .... Vous
êtes beaucoup trop gros ........!..." le suppliai-t-elle misérablement.
Elle ne pouvait
que sangloter alors que son épreuve se poursuivait, la douleur au creux de son
entrecuisse grandissait encore, la paralysant.
- "Oh mon Dieu ... Que vais-je dire à John .... Il ne voudra plus jamais
me toucher s'il vient à savoir que j'ai été violée par un nègre ..... Oh mon
Dieu dire qu'il me répétait que mon petit bikini était bien trop provocant
!..... Il me blâmera à coup sur d'avoir allumé cet homme ..." se
tracassait-elle.
L'empoignant
fermement aux hanches, il prit son élan et s'engouffra en elle brutalement.
- "Oaieeeeeeeeeee ...... Arrrrrggggggh
....... Nonnnnnnnnn ....... Nonnnnnnn
........ Ohhhhhhhhh ...... Nonnnnnnnn
!.... " geignait la pitoyable jeune femme effondrée.
Ses plaintes
enchantaient Omar comme le faisait une
douce musique, il n'aimait rien de mieux que d'entendre gémir les jeunes femme qu'il défonçait comme des truies. Engagé de
moitié en elle, il se retira et s'enfouit d'un dernier élan définitif que
brutal.
- "Oarrrrghhhhhhh ...... S'il vous plait .....
Oh, Je vous en prie ... Arrêtez .... Arrêtez .....!..." sanglotait-elle de
plus belle.
Omar rit, sa bite
était maintenant entièrement enfouie dans son ventre, il savait qu'elle n'avait
jamais été baisée par une bite aussi longue et épaisse.
Il lui massa le
clito du pouce alors qu'il entamait des vas et viens langoureux dans sa chatoune dévastée.
Carol n'avait
jamais été prise dans cette position, elle ne parvenait pas à repousser ses
sensations enivrantes.
- "Ooh
..... Oh ....... Ohhhhhhh ...... Ohhhhhhhhhhhhh
!..." geignait-elle alors que le doigt expert affolait ses sens.
- "Oohhhhhhhh ..... Oh, mon Dieu .... Ohhhhh ....... Nonnnnnnn .... Que
m'arrive-til ? ..... Mon Dieu, je vais jouyiiiiiiiiir
!...." haletait-elle serrant les cuisses sur la bite fureteuse.
Terrassée par
l'orgasme elle s'est écroulée hors de service pour un bon moment.
Paniquée elle
revint à elle quelques instants plus tard, toujours épinglée sur le lit par la
grosse mentule de son agresseur. Alors qu'il
reprenait ses allées et venues en elle,
elle sanglotait constatant que son corps réagissait mécaniquement s'offrant
lubriquement à ses assauts.
- "Ohhh mon Dieu ..... Mon Dieu .... Oh ... Oh
... oh .... Nonnnnn ....' se lamentait-elle, alors
que la grosse bite palpitait et battait follement dans son ventre, les ce
qu'annonçait ces prémisses étaient facile à concevoir:
- "Ohh Mon Dieu .... Non !..... Non ... S'il
vous plait .... Nonnnn .....Ne faite pas ça ..... Ne
jouissez pas en moi ...... Je vous en prie ...... S'il vous plait ... Je suis
en pleine période de fécondité ..... " le suppliait-elle.
- "Ohhhhhh ... Ma chère madame Atkins, tu
devrais être honteuse de jouir sous les assaut d'un autre homme alors que t'es
en voyage de noce ...... Je sens que je vais te faire couler à nouveau chérie
....... " gronda-t-il la baisant encore et encore.
Lui titillant le
clito alors qu'il la labourait furieusement, il savait qu'il amenait cette
petite salope juste au point qu'il le voulait, il sentait son corps trembler
lorsqu'un orgasme majeur la terrassa à nouveau.
En entendant ses
lourds gémissements, il sut qu'elle
jouissait à nouveau, lui agrippant les hanches, il bourra son énorme bitte au
fin fond de son utérus lui demandant ironiquement :
- "Ton petit couple avait-il programmé de démarrer sa famille pendant
cette croisière ? ..... Alors laisse moi t'aider
......"
Sur ces mots,
Omar s'enfouit au plus profond de son fourreau embrasé et projeta des salves de
sperme actif dans son ventre fertile.
Une heure plus
tard, la belle Madame Carol Atkins sanglotait assise sur le lit.
Ayant trouvé le
commutateur, et la salle de bain, elle avait lié ses vêtements déchirés sur son
corps, ils dissimuleraient ses charmes le temps de regagner sa cabine.
Ses cuisses lui
faisaient mal d'avoir été si brutalement écartées, il lui semblait que sa
chatte avait été déchirée lors de ce viol brutal. Lorsqu'il eut fini de la
baiser de dos, il l'avait retournée et était reparti pour une seconde
chevauchée.
- "Mon Dieu, pourquoi ai-je répondu à ses assauts ?..."
sanglotait-elle, se rappelant avoir verrouillé ses chevilles dans son dos le
suppliant de la faire jouir à nouveau.
Elle frissonna en
se rappelant les deux flashs lumineux alors qu'elle gisait cuisses grandes
écartées sur le lit puis son violeur lui avait dit qu'il l'appellerait
lorsqu'il reviendrait à Charleston.
La croisière se
terminait dans une journée et ses plans pour se faire une dernière touriste
avaient tous échoué pour différentes raisons. Il avait eu plusieurs
opportunités, mais à chaque fois d'autres passagers avaient surgis au mauvais
moment, le laissant totalement frustré dans la cabine vide.
Ainsi plusieurs
innocentes beautés ignoraient à quel point elles avaient proches de se faire
violer.
Les chances de se
faire une ultime victime le dernier jour étaient quasiment nulles, le navire
venait de s'amarrer et l'on déchargeait les bagages. Omar soupira de
désappointement, les choses avaient été de mal en pis depuis le cinquième jour
de croisière.
Maintenant les
invités avaient quasiment tous quittés leurs cabines et flâner sur les ponts
attendant le moment du départ.
Omar braqua les
yeux sur une jeune beauté aux cheveux bruns, couleur de miel, une jeune beauté
sur laquelle il avait flashé dès les premiers jours.
Une jeune beauté
qu'il avait rayée de sa liste des proies potentielles étant donné
le manque de cabine libre proche de la sienne.
Il l'avait vue
plusieurs fois, toujours aussi élégante dans ses vêtements de jour et toujours
si sensuelle dans ses petits bikinis.
Aujourd'hui elle
portait une robe vert émeraude, visiblement elle se préparait à quitter le
navire.
Sa bite frémit en
observant ses longues jambes, regrettant amèrement de ne pas avoir pu goûter à
ses charmes.
Mariés depuis
trois ans, Wendy et Peter Anderson avaient posés leurs vacances avec leurs
employeurs lorsqu'ils avaient entendu parler de la croisière inaugurale programmée au départ de
Charleston.
Agés de 26 ans
ils possédaient une jolie maison en banlieue et les choses allaient bien pour
eux.
C'était un rêve
qu'ils caressaient depuis longtemps, ils voulaient aller aux Bahamas mais la
plupart des départs se faisaient de Miami et cela demandait un long voyage pour
s'y rendre. Cette croisière au départ de Charleston leur offrait la possibilité
de concrétiser leur rêve.
Ils n'avaient pas
d'enfants et se disaient qu'il était temps maintenant de fonder leur famille
puisque tous deux jouissaient d'un travail sécurisé et bien payé.
La chance tourna
brusquement lorsqu'Omar vit la jeune femme paniquée elle venait de découvrir
qu'elle avait oublié un de ses bracelets dans sa cabine.
Le couple écouta
le speaker annoncer la couleur de leur code de départ, les avisant de procéder
à l'enregistrement de leurs bagages.
Se tenant à
proximité du couple, il entendit la
jeune femme dire à son mari de s'occuper de leurs bagages tandis qu'elle retournait
à leur cabine pour y chercher le bracelet oublié.
Omar quitta
rapidement le pont et empruntant le monte charge de l'équipage il se pressa de
rejoindre le lieu vers lequel elle se dirigeait.
Ouvrant la porte,
il vit un homme de service nanti d'un chariot de nettoyage sur le point de
nettoyer les cabines.
L'interpellant il
l'informa qu'il y avait un changement et que ce travail était reporté.
Le bruit de
l'ascenseur s'arrêtant à ce niveau retentit alors que l'homme de service
disparaissait au coin du couloir.
Se ruant dans le
couloir, il passa le coin, épiant l'insouciante jeune femme qui s'approchait.
Il entendit les
pas s'approcher puis le bruit de la clenche de porte que l'on secoue, Omar
surgit dans son dos au moment ou elle ouvrait la porte de la cabine.
Avant qu'elle
n'ait pu appuyer sur le commutateur, il l'avait poussée dans la cabine obscure
et l'avait bâillonnée de la main. Comme son mari attendait son retour sur le
pont, il devait la baiser vite fait bien fait.
Mais il avait été
si frustré ces deux derniers jours, cela ne prendrait pas longtemps lorsqu'il
aurait inséré sa grosse bite entre les lèvres de son petit chaton.
S'entendant
menacée par une grosse voix rude, Wendy s'étranglait de peur, alors qu'une
large main rampait sur sa robe.
- "Oh s'il vous plait ;... Je vous en prie .... Ne faite pas ça
..." se lamentait-elle alors qu'il roulait sa petite culotte sur ses
cuisses, le repoussant sous ses genoux d'où il chut au sol.
Le sentant
tâtonner dans son dos, puis entendant le "zip" d'une fermeture éclair
que l'on descendait, elle se débattit tout en reprenant ses supplications :
- "Ohhh ... S'il vous plait ..... Arrêtez ...
Arrêtez ... je vous en prie .... je suis
mariée ..... S'il vous plait .... Je veux rester fidèle à mon mari ..... S'il
vous plait .... Nonnnnnn ..... Arrêtez ...... Arrêtez
....."
Il la repoussa
contre le mur l'élevant, elle sentit alors un gros bourgeon frôler sa chatte,
soudain il la projeta contre le mur, l'épais gland s'encastrant d'un seul coup
de boutoir dans sa chatte affolée.
- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee …… Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh …..... Aargggggggggggggg
!......” grogna-t-elle alors que son violeur bourrait sa bite dans son
fourreau.
- "Oh s'il vous plait ...... Je vous en prie ..... Mon Dieu .... J'ai
mal ..... Si mal ...... Si maaaaaaal ..."
criait-elle au bord de l'agonie, elle, pleurnicha de plus belle lorsqu'il
s'enfouit au coeur de son intimité.
- "Ooh .... Oh ....... Oh ...... Nonnnnnnnnnn ! ....." se lamentait-elle alors que son
impitoyable envahisseur commençait d'aller et venir lascivement dans sa moule.
Puis un doigt
épais vint frotter rudement son clito, elle en grogna alors que ses muscles
vaginaux se crispaient sur l'imposante hampe, inconsciemment ses glandes
secrétaient un flot de cyprine qui facilitait le coulissement de la grosse bite
en elle.
Ses larges mains
posées sur ses hanches, son violeur la martelait, visiblement pressé de
conclure son viol.
- "Oh mon Dieu ..... Nonnnnnnn ... Ahhhhhhhhhh ...... Nonnnnnnnn
!...." gémissait-elle alors que son corps était saisi de convulsions lubriques.
Sentant
l'adorable jeune femme jouir, Omar s'enfonça jusqu'à la racine dans sa
cramouille affolée et projeta ses chaudes salves de foutre au fin fond de son
intimité.
Se penchant sur
elle il lui murmura à l'oreille :
- "Tu représentes exactement ce que j'ai lu dans les magazines
américains ... Une belle plante du sud ..... Maintenant tu pourras dire à ton
mari que tu as goûté à une grosse bite africaine ..... Dis lui comment une
grosse bite noire t'as dévastée ......"
Sur ces mots, il
abandonna la jeune femme sanglotante dans la cabine
et gagna une planque où il pourrait l'épier.
Dix minutes plus
tard, il vit sa dernière victime se diriger lentement vers le pont supérieur,
il la regarda rejoindre son mari pour se rendre au bureau des douanes.
Il était un peu
embêté de l'avoir violée alors qu'ils étaient au port, il se disait que si par
malheur elle portait plainte, il risquait de tomber sous la juridiction locale.
Ce serait bien
plus dangereux que si son crime avait eu lieu dans les eaux internationales
De toute manière,il paraissait évident que
madame Anderson ne voulait pas que son mari sache qu'elle avait été violée dans
le court laps de temps où elle s'était absentée.
Six mois plus
tard, l'"Island of pleasure" était à
l'ancre dans le port de Charleston, l'équipage préparait la croisière suivante
au départ de Charleston. C'est le petit matin, l'équipage avait eu toute la
nuit pour satisfaire leurs envies. Une grande partie du personnel du navire
était rassemblée dans la suite d'un hôtel des bas fonds de Charleston.
Ils étaient tous
vêtus comme s'ils se rendaient à une réunion d'affaires. Et de fait c'en était
une, chaque membre d'équipage avait payé 500 $ pour obtenir une invitation pour
assister à l'affaire proposée par leur chef.
Omar souriait en
voyant la scène qui se déroulait sous ses yeux. Il avait traité en ami le
patron de cet hôtel lorsqu'il l'avait rencontré sur le navire. En échange de
ses faveurs, le patron avait lui loué la suite pour un prix très compétitif, de
ce fait il était invité à titre gracieux à cette petite fête qu'Omar comptait
bien renouveler chaque fois qu'ils feraient escale à Charleston.
Jetant un oeil circulaire sur la pièce, il regarda ses homme
d'équipage se réjouirent ensemble, choisissant les boissons de leur goût.
Tous les visages
de ces males noirs s'éclairaient de larges sourires lorsqu'ils braquaient leurs
regards sur une des trois hôtesses qui les servaient.
Tous ces
gaillards musclés se rassemblaient autour d'elles essayant d'échanger quelques
mots avec la ravissante hôtesse la plus proche, ils pensaient tous qu'ils seraient très heureux de faire l'amour
avec de si exquises créatures.
Omar les avait prévenu qu'il pourrait être remboursé s'ils partaient lors
de la première heure de la petite fête, il savait que personne ne partirait. Il
sourit, ses 30 invités avaient tous acquittés leurs droits d'entrée, ce qui
laissait quand même 10.000 $ dans la poche d'Omar une fois les frais déduits.
Arpentant pièce,
Omar sourit en voyant que les belles hôtesses faisaient vraiment tourner la
tête de ces hommes. Les hôtesses avaient préparées la soirée un
heure avant le début de la fête, il leur avait dit comment exciter ces hommes
qu'elles allaient rencontrer, et de quel façon il avait appris qu'aucun de ces
hommes n'avaient jamais envisagé de se trouver un jour dans les bras d'une
femme blanche, il avait apprécié de les voir sourire en apprenant cela.
Il savourait la
vue de ces trois jeunes femmes faisant de leurs mieux pour attirer ces hommes,
chacune tenant sa coupe de champagne de la main gauche. Omar savait qu'elle
faisait cela pour les allumer.
Il les avait
prévenues qu'ils savaient tous qu'elles étaient mariées, et mariées avec des
blancs.
- "Rien ne plait plus à un noir que de s'envoyer une blanche, et plus
spécialement si elle est mariée à un blanc !......" les avait-il
instruites.
Le verre dans la
main gauche, ils savouraient la façon dont elles faisaient miroiter leurs
alliances cherchant à les exciter à mort à l'idée de posséder la propriété d'un
homme blanc.
Alors que
l'alcool coulait à flot arriva le moment où Omar devait tirer au sort le nom du
premier gagnant, l'instant d'après il partait au bras d'une des hôtesses dans
une des trois chambres.
Encore un peu pus
tard, les trois chambres étaient occupées par les heureux gagnants. Une fois
que tous les noms furent appelés, alors ils purent choisir leur hôtesse, bien
sur ils devaient avoir mis leurs noms sur la liste et devaient attendre leur
tour.
A minuit, afin
que les hommes restent sereins, et pour faire avancer plus rapidement les
choses c'est par groupe de 2 ou 3 qu'ils entrèrent dans les chambres, les
adorables hôtesses s'occupant d'eux
simultanément.
La fête dura
pendant une bonne partie de la nuit, jusqu'au moment où l'équipage devait
réintégrer le navire.
Le lendemain,
les trois hôtesses étaient attablées
dans la suite de l'hôtel, le personnel
leur avait amené un fabuleux déjeuner. L'organisateur de la fête avait
tenu à ce qu'elles soient traitées comme des reines, elles avaient pris du
champagne pour aiguiser leur appétit, à leur grande surprise on leur remit à
chacune une enveloppe, ouvrant les enveloppes elles y trouvèrent 10 billet s de
100 $.
Elles n'avaient
été présentées les unes aux autres que la nuit précédente, juste avant
l'arrivée des invités, de ce fait elles ignoraient toutes ce qui les avaient
amenés à participer à cette fête.
En discutant, elle se trouvèrent pas mal de points communs et se lièrent
d'amitié.
Sans même en discuter,
elles savaient que toutes trois elles aimaient se faire baiser par de grosses
bites noires, en discutant elles comprirent qu'elles participaient à cette
petite fête pour les mêmes raisons.
Elles avaient
toutes trois participé à la croisière inaugurale de Charleston aux Bahamas.
Une fois cette
similitude établie, elles se regardèrent les unes les autres, hésitant toutes
trois à dire ce qu'elles avaient en tête. Un silence total régna quelques
instants, puis, Melissa Moore demanda :
- "Carol ..... Wendy ...... Avez-vous ..... Avez-vous été violée à bord
du navire ? ..."
Comme Wendy et
Carol opinaient de la tête, elles surent que toutes trois elles avaient vécues
des événements similaires. Elles se racontèrent alors leur histoire,
s'attardant sur le viol subi dans une cabine vide.
- "Melissa ...... Wendy .... Omar vous a-t-il appelées trois mois plus
tard alors que le navire était à dock avant sa deuxième croisière ?...."
les interrogea Carol.
Voyant les deux
jeunes femmes hocher la tête, elle poursuivit :
- "Moi aussi ... Il ma 'appelée chez moi .... Il ne m'a ni menacée ni
fait chanter ..... Il m'a tout simplement demandé ... Si je voulais ..... Si je
voulais goûter à nouveau à sa grosse bite noire .....Si je voulais, qu'il me
baise à nouveau comme lors de la croisière !.... Si je voulais goûter à nouveau
à sa queue, il me donnait rendez-vous dans sa chambre dans cet hôtel..... J'ai
menti à mon mari .... Lui disant que de bonnes amies venaient en ville Vendredi
... Que j'allais les rejoindre pour
faire des courses avec elles ..... Et que nous passerions la nuit à l'hôtel
!.... Je quittais tôt mon travail ce vendredi, passais la soirée et la nuit
avec Omar et je rentrais chez moi le lendemain matin !...."
- "Mon Dieu ...... J'ai déjeuné avec Omar samedi midi, ici même dans cet
hôtel, puis j'ai passé le reste de la journée et la nuit au lit à me faire
baiser comme jamais. Il m'a baisée si ardemment que je pensais qu'il y avait
une bonne semaine qu'il n'avait pas rencontré de femme" s'exclama Wendy.
- "Je me suis servi du même mensonge que Carol en disant à mon mari que
j'allais faire du shopping en ville avec des amies et que je passerai la nuit en ville !....
J'aurai aimé rester avec lui le dimanche matin, mais il me dit de partir tôt le
matin, prétextant un rendez-vous....."
- "Je suppose que c'était moi la cause de ton départ prématuré Wendy,
..... Il m'attendait en bas de l'escalier pour le déjeuner au champagne servi
le dimanche, inutile de vous dire que comme vous deux j'ai passé le reste de la
journée sur le dos à me faire baiser par Omar, j'ai utilisé la même excuse que
vous ; le rendez-vous avec des amies pour faire du shopping, mais je n'ai pas
pu rester la nuit avec lui, pas un dimanche soir, pas avec deux enfants allant
à l'école le lundi, je suis rentrée rapidement chez moi pour préparer le souper
et mettre les enfants au lits " leur rapporta Melissa.
Dès qu'il fut
établi que toutes trois elles avaient fait la même chose, elles dégustèrent
leur festin arrosé de champagne. Elles étaient rapidement devenues des amies
riant de concert en se racontant leurs exploits avec Omar. Puis elles
comparèrent leurs expériences avec les invités de la petite fête, elles avaient
toute trois perdus le compte du nombre d'hommes qui avaient visités leur
chambre cette nuit.
Il y en a un
cependant dont elles se rappelaient toutes trois, un colosse de 175 kg qui se
les étaient faites, toutes trois, brutalement, par les trois trous, elles se
rappelaient la monstrueuse taille de sa bite et sa manière brutale d'en user.
- "Mon Dieu, il m'a littéralement fait grimper aux rideaux quand il m'a
fourré sa grosse bite dans le trou du cul !.....Je crois qu'il s'appelait Tiny ....." s'esclaffa Wendy sous les rires de ses
deux nouvelles amies.
- "Sûr qu'il a tiré le meilleur de moi, j'ai essayé de boucler mes
chevilles dans son dos, mais c'était physiquement impossible, je n'en faisais
pas le tour ..." se marra Melissa. Carol ajouta alors :
- "C'était le premier gagnant à disposer de moi et son fantasme était de
voir une belle femme blanche agenouillée lui faire une pipe ….. J'étouffais quasiment lorsqu'il éjacula dans
ma bouche, il se retira alors de ma bouche et m'envoya ses dernières salves sur
le visage.... la seconde fois, il m'a pris en levrette tandis que je suçais un
de ses copains ...."
Trois semaines
plus tard, dans la maison de banlieue des Anderson, les trois couples étaient
assis autour de la table du patio tandis que les steaks grillaient sur le
barbecue.
Wendy avait
présenté son mari lors de l'arrivée de ses amies, et tout se passait bien.
Lorsqu'ils
évoquèrent la croisière, Wendy commenta :
- "Je suis heureuse de vous avoir rencontrée lors du récital de piano
sur le bateau, sans cela, nous ne serions jamais devenus amies et nous n'aurions
pas pu nous livrer à ces deux formidables journées de shopping que nous avons
organisée ensuite.....Je suis très contente que Melissa ait suggéré qu'on se
rencontre tous, ainsi vous avez pu vous rencontrer les hommes !....."
- "Ouai nous ne voudrions surtout pas que vous
pensiez qu'on vous trompe lorsque nous sortons toutes trois ensembles et qu'on
discute entre filles toute la nuit ......." renchérit Carol.
Melissa se lova
contre son mari, l'embrassa sur la joue et poursuivit
- "Tu sais bien que tu es mon seul amour, chéri !...."
- "En ce qui me concerne, vous pouvez bien passer autant de temps que
vous le voulez ensembles !... Carol était si heureuse la dernière fois que vous
êtes sorties que j'aimerai vous sortiez
ensembles deux fois par mois !...." commenta John Atkins.
- "On a vraiment pris du bon temps lors de cette croisière ! "
ajouta Carol posant sa tête sur l'épaule de son mari.
- "J'espère bien que Charleston deviendra le port d'attache de ces
croisières, j'ai justement vu dans les journaux l'annonce que la prochaine
croisière au départ de Charleston était prévue fin septembre....."
intervint alors Brad Moore;
- "Oh mais c'est à peu prêt le moment où nous avions programmé notre
prochaine sortie entre filles ... Mais bon sang que ça paraît loin ..... Je
pense qu'on devrait faire un petit voyage entre temps ..... " répondit sa
femme, espérant une réponse favorable de la part de ses amies.
Lorsqu'elles se
retrouvèrent toutes trois dans la cuisine pour faire la vaisselle, elles
commentèrent excitées le prochain départ d'une croisière. La dernière petite
fête avait attiré tant de monde, au vu de son succès, les jeunes femmes en
conclurent que cela ne ferait que croître et que la prochaine fois il y aurait
sans doute le double "d'invités".
- "Mon Dieu, Ils m'ont baisée jusqu'au petit matin, au moment de leur
départ, que va-t-il se passer s'il vient le double de clients ?..... " dit
Carol tracassée.
- "Oui mais rappelle toi qu'il y a eu deux nouvelles croisières depuis
la notre, Je suis bien sûre qu'Omar à du recruter de nouvelles "hôtesses"
pour ses petites fêtes ... " rit Melissa.
Comme par un coup
de veine, les trois amies avaient
organisée une sortie fin juillet, avec la bénédiction de leurs tendres époux. Elle voulaient visiter la ville de Savanah,
et y passer un week-end, plusieurs heures de voyage séparaient les deux villes.
Lorsque les trois
jeunes femmes avaient été prévenues que l'"Island of pleasure"
allait faire sa première croisière au départ de Savanah,
il n'y avait pas d'autres "hôtesses" de disponibles à cet instant.
Aussi
étaient-elles en chemin pour se rendre à Savanah.
Elles allaient y participer à un petite fête dans un hôtel retenu pour cette
occasion, et cela les réjouissaient toutes trois.
Sur le long
chemin elles se relayèrent au volant de la voiture de Carol, toutes trois
impatientes d'arriver sur les lieux de la fête.
- "Lorsqu'Omar m'a appelée, il m'a dit que c'était Tiny
qui nous avait réclamée ..... Il parait qu'il veut vous faire grimper toutes
deux aux rideaux cette fois ..... Je vous plains les filles ...... Laissez moi vous dire qu'il m'a fait hurler de douleur quand
il m'a enfoncé sa monstrueuse bite dans la chatte !..." se marrait Wendy.
- Coulybaca
- Avec l'aimable autorisation de Black Demon
- blackdemonstories@yahoo.com